Ángel de la Independencia — Wikipédia

Colonne de l'Indépendance
Columna de la Independencia
Présentation
Type
Destination initiale
Commémoration du 100e anniversaire de l'Indépendance du Mexique
Style
Architecte
Antonio Rivas Mercado (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Créateur
Enrique Alciati (sculpture)Voir et modifier les données sur Wikidata
Construction
Hauteur
45 m
Propriétaire
Patrimonialité
Artistical monument (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte du Mexique
voir sur la carte du Mexique
Localisation sur la carte de Mexico
voir sur la carte de Mexico
L'ange de l'indépendance.

El Ángel de la Independencia (« L'Ange de l'Indépendance ») est une colonne sise sur un rond-point du centre de Mexico sur l'avenue Paseo de la Reforma.

La colonne mesure 36 mètres, et la statue à son sommet, qui pèse 7 tonnes pour 6,7 mètres de hauteur, est faite bronze couvert de feuilles d'or. L'ensemble mesure 45 mètres, en comptant la base.

El Ángel a été inauguré le par le président Porfirio Díaz en commémoration du centenaire du début de l'indépendance du Mexique.

En 1925, l'édifice est transformé en mausolée ; sa base renferme les restes des héros de l'indépendance du Mexique :

L'Angel de la Independencia a été endommagé par le séisme de 2017 dans l'État de Puebla[4].

Le , les travaux de rénovation démarrent, par l'installation d'un échafaudage qui permet aux experts de mener des analyses scientifiques de l'intérieur et de l'extérieur de l'ouvrage, afin de pouvoir planifier intégralement la restauration de la structure du bâtiment[4].

L'Angel est fermé pour une période indéterminée depuis le , après avoir été vandalisé la veille par des anarcha-féministes durant des manifestations (un mouvement qui réclamait l'ouverture d'enquête sur des viols présumés commis par des policiers municipaux de Mexico sur des femmes et des jeunes filles).

Colonne de la Victoire (Berlin)

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. José Mariano Jiménez
  2. Mariano Matamoros
  3. Francisco Javier Mina
  4. a et b (es) « El Angel, a punto de restauración », sur jornada.com.mx, La Jornada, (consulté le )