Église Saint-Martin de Clamecy — Wikipédia
La collégiale Saint-Martin de Clamecy
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin de Clamecy est une église collégiale située dans la ville de Clamecy, dans la région actuelle Bourgogne Franche-Comté, au sein du département de la Nièvre.
Historique des phases de construction
[modifier | modifier le code]Type | Collégiale |
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Diocèse | Diocèse de Nevers |
Paroisse | Paroisse Sainte-Marie de Bethléem |
Dédicataire | Saint-Martin |
Style | Gothique flamboyant |
Construction | 1215 - 1525 |
Religion | |
Patrimonialité | Protection au titre des Monuments Historiques depuis 1840 |
Site web |
Pays | France |
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Division administrative | Région Bourgogne Franche-Comté |
Subdivision administrative | Département de la Nièvre |
Commune | Clamecy |
Coordonnées |
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Fondation de la collégiale
[modifier | modifier le code]La collégiale Saint-Martin de Clamecy a pour origine une chapelle paroissiale, datée du VIIIe siècle. Au IXe siècle, les comtes de Nevers sont venus s'installer à Clamecy, en participant activement au développement de la ville. Ils ont notamment fondé une paroisse, un château-fort et une chapelle paroissiale[1].
La reconstruction de la chapelle paroissiale primitive au XIe siècle à été décidée respectivement par le vicomte Guy de Clamecy et l'évêque d'Auxerre Geoffroy de Champallement, afin d'accueillir un collège de huit chanoines destiné à célébrer le culte divin[2]. L'édifice est dans un premier temps dédié à Saint-Potentien; grand évangélisateur de la région.
Le chapitre et sa collégiale vont prospérer grâce à des soutiens financiers. Des dîmes, des rentes, des droits de pêche et de chasse, des terres et vignobles seront accordés par le vicomte Guy de Clamecy. Sa femme, la comtesse Ida sera aussi à l'origine de la croissance du chapitre, grâce à ses dons d'argent, de pièces d'argenterie et de rentes en nature. La comtesse de Nevers, Mahaut de Courtenay attribuera de son côté cents sols de rente annuelle aux chanoines.
Il n'y a pas de texte officiel qui permet d'attester avec précision le début des travaux d'amélioration de l'édifice primitif. La plupart des historiens s'accordent sur la date de 1215, qui correspond à la date d'affranchissement de la ville dictée par le comte Hervé de Nevers[3].
Campagne principale de travaux
[modifier | modifier le code]La période des travaux s'étend de 1215 à 1520 environ.
En 1240 avait lieu la seconde campagne de construction de la nef avec la réalisation des trois premières travées[4]. Les deux travées précédant le jubé seront édifiées lors de la même période que le chœur, considéré comme "le plus bel exemple du gothique bourguignon"[5]. Des inspirations cisterciennes sont utilisées, en particulier sur les congés des arcatures des collatéraux d'ailleurs très présents dans la région au XIIIe siècle[6]. Il faut aussi noter l'alternance des supports : pile simple ou pile complexe supportant des arcs surhaussés et décorés de têtes humaines sculptées et les voûtes sont sur croisée d'ogives.
Il faudra attendre le XVe siècle pour l'achèvement de la dernière travée de la nef, montrant le plan final de la collégiale, avec la particularité d'avoir un chevet plat.
En 1437 "fut faite toute neuve la charpenterie dessus la nef"[7] et l'année suivante le vocable change. La collégiale est dès lors dédiée à saint Martin « le dimanche après l'apparition de Nostre Seigneur, l'an mil quatre cent trente-huit »[8] pour rendre hommage à l'un des plus grands évangélisateurs de la Gaule.
L'an 1497 est une année clé dans l'édification de la collégiale. Elle correspond à la construction de la tour monumentale orientée au sud-ouest. C'est la partie qui constitue la fierté des habitants de la ville puisque la tour et le portail ont été faits grâce à la "piété et à la munificence des seuls habitants de Clamecy"[9]. La pierre de Basseville utilisée pour la construction était issue d'une carrière locale située le long du canal du Nivernais. La construction revient à Pierre Cuvé dit "Bat-le-Duc" et son équipe d'ouvriers.

L'année 1515 marque un tournant dans la construction de la collégiale : la fin des travaux concernant la tour et le début de l'édification du portail et de la façade. Le portail majestueux surmonté des trente-deux scènes de la vie de Saint-Martin est essentiellement gothique. D'un point de vue iconographique, il s'agirait de l'ensemble le plus complet de la vie du saint. La façade quant à elle est qualifiée "d'excessivement ornée et apparaissant comme un placage"[10]probablement "la plus richement décorée de tout le diocèse"[11].
Malgré son savoir-faire impressionnant, l'architecte Pierre Cuvé mourut sous le poids des blocs de pierre. La légende raconte qu'un bloc serait tombé de la tour et aurait écrasé Bat-le-Duc. Le bloc en question à été sculpté par un de ses élèves, reprenant la silhouette de son maître. La sculpture est aujourd'hui exposé à l'entrée de Clamecy rue du Grenier à Sel[12]. Cet évènement tragique n'a pas été le seul : le 4 décembre 1654, lors de la fête de la Sainte-Barbe, un mouvement de foule a eu lieu lors de la visite de la tour, provoquant la mort par étouffement de plusieurs clamecycois[10].
De la fin des travaux jusqu'à nos jours
[modifier | modifier le code]Dès 1520 les gros travaux de la collégiale sont terminés. Le monument va en revanche susciter des interrogations fondamentales dès l'année suivante. En 1521, le roi de France François Ier passe par Clamecy. Il est frappé par la forme des mus intérieurs qui penchent dangereusement vers l'extérieur[13]. En conséquence, le roi fait don d'une somme d'argent pour aider les chanoines à réaliser des travaux de soutènement, consistant en l'installation d'un jubé. C'est le chanoine Guillaume Colas qui est chargé de son installation et achèvera les travaux en 1525. Certains pensent que ce jubé est à l'origine du fléchissement des murs tandis que d'autres estiment qu'il compense ce fléchissement[14]. Jusqu'à ce que le jubé soit retiré en 1840 par Eugène Viollet-le-Duc au moment du classement de la collégiale sur la première liste des Monuments Historiques, il continuera d'interroger les architectes, les évêques et les ingénieurs qui feront des demandes de financement pour protéger les murs qui menaçaient de tomber en ruine.

Durant la même année 1525, les portes en chêne massif sont installées à l'entrée de la collégiale.
Le 18 novembre 1778 marque la date de la bénédiction des cloches de la tour. Martine, la première est parrainée par le duc du nivernais Louis-Jules Barbon-Mazzarini-Mancini et marainée par son épouse, la duchesse du nivernais, Hélène Phélipaux de Pontchartrain. La deuxième cloche, Marie est parrainée par le marquis de Chabannes Claude-François et marrainée par sa femme Marie-Henriette de Fourvière de Cuncy-sur-Yonne. La dernière, Gabrielle ne semble pas avoir été baptisée[15].
Un tournant important à lieu lors de la Révolution française. Le chapitre de chanoines est supprimé et l'édifice devient un Temple de la Raison, destiné à accueillir les cérémonies des révolutionnaires. De nombreuses dégradations sont notables à cette période. En 1793, Fouché donnait l'ordre de démolir la tour de la collégiale. Il souhaitait retirer les gouttières et les gargouilles afin que les eaux de pluie s'infiltrent et provoquent l'écroulement supposé naturel de la tour. Il avait aussi ordonné de faire retirer les cloches pour en faire des canons. Seule Martine est restée jusqu'en 1851 où elle a été fendue par des émeutiers de la révolte de 1848. Le son des cloches ne sera rétabli qu'en 1857 grâce au financement de familles locales et leur bénédiction sera donnée le 17 décembre 1857 par l'évêque de Nevers Dominique-Augustin Dufêtre. On dit qu'elles sonnent depuis "le plus beau son du diocèse de Nevers et d'Auxerre"[16].
La collégiale a connu différents événements à la fin du XXe et au tout début du XXIe siècle. Le lundi 20 mai 1935, un drapeau rouge a été placé au sommet de la tour suite à l'élection du conseil municipal à majorité communiste. Ce drapeau rouge est venu remplacer le drapeau tricolore de la Révolution (qui sera lui-même replacé après la Seconde Guerre Mondiale et est encore en place aujourd'hui)[17].
La guerre de 1939 à 1945 n'a eu qu'un impact mineur sur l'édifice. La collégiale a connu quelques bombardements allemands, causant la chute de gargouilles de la tour le 16 juin 1940.
Description de l'édifice
[modifier | modifier le code]Structure interne
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Les travées internes de la collégiale sont toutes réalisées dans un style semblable : grandes arcades, quatre arcades sur le triforium et fenêtres hautes à remplage. La rangée de fenêtres hautes est en arrière des arcs du triforium avec des dalles horizontales sur les deux étages. Les fenêtres hautes sont géminées et tréflées. La présence de rosaces quadrilobée est également notable ainsi qu'une rose à sept lobes sur les deux premières travées des bas-côtés. La dernière travée réalisée est cependant plus complexe que les quatre premières. Elle possède une voûte nervurée à lierne et tiercerons. Il s'agit d'un élément clé de l'architecture flamboyante reconnaissable grâce des subdivisions de branches en plus de la voûte classique. Les autres travées sont simplement construites grâce à une voûte sur croisée d'ogives.
Une gravure est présente dès l'entrée, face aux bénitiers, en latin et en grec pour inciter les fidèles à suivre correctement les règles religieuses : "Nipson anomhata mh monan opsin" et "Lava peccata non solam frontem" qu'il est possible de traduire comme suite : "Efface mes fautes, ne regarde pas seulement mes péchés, lave mes péchés, non seulement mon visage"[18].
L'intérieur de l'édifice comprend aussi huit chapelles dédiées :
- Chapelle des Fonts Baptismaux
- Chapelle de Saint-Joseph
- Chapelle de l'Annonciation
- Chapelle du Crucifix (ou chapelle Saint-Jacques ou chapelle du Saint-Sacrement)
- Chapelle de la Sainte-Vierge
- Chapelle du collège
- Chapelle de Jeanne d'Arc
- Chapelle de la tour
Le jubé
[modifier | modifier le code]Le jubé primitif de 1525 était maintenu par quatre colonnes avec des niches pour abriter des statues des Docteurs de l'Eglise ainsi que deux bas-reliefs sculptés illustrant La Cène et la Mise au Tombeau. Le premier bas-relief présente dix personnages autour d'une table, un agneau dans un plat. Saint-Jean à le visage caché, deux couples de disciples échangent des regards autour du Christ tandis qu'un autre lève les yeux au ciel. Saint-Pierre se retourne et regarde hors-champ. A gauche, Judas se distingue grâce à la bourse, récompense de sa trahison. Les drapés et les plis des vêtements sont souples et naturels, la nappe est légèrement froissée à cause du mouvement des personnages. Le second bas-relief est frappant grâce au visage détendu du Christ en comparaison avec les expressions de souffrance des cinq personnes autour du tombeau.
Aujourd'hui et depuis la destruction du jubé en 1840, les deux bas-reliefs sont exposés dans la nef de la collégiale
La tour
[modifier | modifier le code]La tour comprend deux étages de plan carré, située au sud contre la deuxième travée du bas-côté de la nef. Deux arcatures ornées de moulures ont été réalisées au deuxième étage avec des consoles pour soutenir des statues. De nombreux décors architecturaux sont ajoutés tels que des fleurons aux feuilles déchiquetées. Deux baies sont visibles à l'est et à l'ouest à mi-hauteur de la tour avec des abat-son.
A l'image de la structure interne, le deuxième étage est en retrait par rapport au premier, ce qui a facilité la pose d'une balustrade en encorbellement. Quatre baies aux remplages flamboyants permettent d'ajourer les côtés.
Une terrasse est présente au sommet de la tour. Elle est sécurisée grâce à une balustrade et renforcée par des contreforts d'angle. Toute la hauteur est agrémentée de gargouilles permettant l'évacuation des eaux de pluie et jouant un rôle décoratif. Le sommet était orné d'une horloge et de trois cloches.
L'accès à la terrasse se fait par la tour d'escalier située dans l'angle sud-ouest mais aussi par la chapelle de la tour qui présente un accès direct.
La portail
[modifier | modifier le code]Le portail est richement décoré et remarquable grâce aux trente-deux scènes représentant la vie de Saint-Martin et surmontées de dais. Les scènes sont réparties sur quatre voussures disposées en arc brisé. Le portail est riche mais reste mal conservé à cause des nids d'hirondelles installés au fil du temps, c'est pourquoi toutes les scènes ne sont pas identifiées[19] :

- Saint-Martine Cathécumène partageant son manteau avec un pauvre aux portes d'Amiens
- Le baptême de Saint-Martin
- L'ordination de Saint-Martin à genoux devant un évêque et deux clercs
- La mort de l'évêque de Tours (prédécesseur de Saint-Martin)
- La réception de l'onction pontificale
- Saint-Martin guérissant un lépreux en l'embrassant
- La messe de Saint-Martin
- La tentation de Saint-Martin
- La célébration du Saint-Sacrifice
- Saint-Martin impose ses main à des idoles qu'il vient de convertir
- La mort de Saint-Martin
- Le voyage de Saint-Martin en Lombardie
- Le corps de Saint-Martin voyageant en barque avec un évêque
Le tympan du portail est aussi très décoré. Deux figures sont en prière au sommet de deux tours devant une forme triangulaire évoquant la Trinité avec la mention de Dieu gravé en hébreu. Deux inscriptions latines permettent d'appuyer la dédicace de l'édifice : "Solideo Optimo Maximo" et "Sub Invocatione Sti Martini" qu'il est possible de traduire par "A Dieu, très bon et très grand" et "Sous l'invocation de Saint-Martin". De part et d'autre des tours sculptées sont représentées des niches surmontées de dais avec des ceps de vigne gravées sur le pourtour de l'arc brisé, inscrivant l'architecture dans son contexte régional bourguignon.
L'autre partie richement très richement décorée sont les soubassements des piédroits du portail. Des sybilles et des apôtres sont reconnaissables[20] :
- Saint-Pierre et les clés
- Saint-Paul et le glaive
- Saint-Jean et le calice
- Saint-André et la croix
- Saint-Jacques et le bâton de pèlerin
- Saint-Barthélemy et le couteau et l'Evangile
- Sibylle libyque et la lanterne
- Sibylle cumanne et le berceau
- Sibylle delphique et l'enfant nu et la couronne d'épines
- Sibylle cimmérienne et le biberon
- Sibylle persique et le gant
- Sibylle agrippine nue et le fouet et la ceinture
- Sibylles europa et hellespontique et le glaivre
- Sibylle samienne et la croix de la Passion
- Sibylle phrygienne et le miroir et le crâne
- Sibylle tiburtine et la croix triomphale
- Sibylle erythrée et la couronne royale et l'épée du Jugement Dernier
D'autres personnages sont gravés tels que des génies musiciens, des sagittaires et diverses figures ailées.
Le façade
[modifier | modifier le code]Deux parties distinctes sont visibles sur la façade grâce à leurs discontinuités. La partie inférieure correspond à la largeur de l'édifice avec le portail au centre et la partie supérieure plus étroite, correspondant à la largeur de la nef, en arrière de la balustrade. Le lien entre les deux parties se fait grâce aux deux contreforts d'angle polygonaux aux sommets ornés de fleurons et reliés à la partie centrale grâce à des arcs-boutants ciselés. L'ensemble de la façade est ornée de moulurations, de niches à consoles, de grands dais de balustrades ajourées et de différentes figures : personnages et animaux. La façade présente aussi une grand rosace entourée de ceps de vigne avec un remplage flamboyant, des soufflets et des mouchettes gothiques, le tout surmonté d'un pignon.
Les vitraux
[modifier | modifier le code]- Annonciation, chapelle de la Vierge
- Baptême du Christ par Jean-Baptiste, chapelle des Fonts Baptismaux
- Bon pasteur, chevet
- Jeanne d'Arc, chapelle de Jeanne d'Arc
- Mariage de Marie et Joseph, chapelle de la Vierge
- Mort de Saint Joseph et enfance du Christ, chapelle de St-Joseph
- Pietà, chapelle Notre-Dame des sept douleurs
- Rosace de Jessé, façade ouest
- Saint-Augustin, croisée du transept
- Saint-François d'Assise, chevet
- Saint-Gabriel et Saint-Michel, croisée du transept
- Saint-Henri et Saint-Pie, croisée du transept
- Saint-Jean et l'Aigle, croisée du transept
- Saint-Louis et Sainte-Valentine, collatéral nord
- Saint-Luc et le taureau, croisée du transept
- Saint-Marc et le lion, croisée du transept
- Saint-Martin, chevet
- Saint-Mathieu et l'Ange, croisée du transept
- Saint-Nicolas, chevet
- Sainte-Anne, chevet
- Trinité et scènes du Christ, chapelle du Sacré-Cœur
- Triomphe de la Croix, chapelle de la tour
- Vie de Saint-Martin, chapelle de la tour
Références
[modifier | modifier le code]- ↑ René Surugue, Le Nivernais et la Nièvre IIème partie – Notice II, « Clamecy et l’évêché de Bethléem », Besançon, Imprimerie de l’Est, , p.227
- ↑ Abbé Jean Lebeuf, Mémorial concernant l’histoire civile et ecclésiastique d’Auxerre et de son ancien diocèse, t. IV, Auxerre, Perriquet éditeurs, , p.146
- ↑ Marcel Anfray, La cathédrale de Nevers et les églises gothiques du nivernais, "Chapitre II : Saint-Martin de Clamecy", Paris, A. et J. Picard et Cie, , p.59 - 68
- ↑ Dossier "Edifices de la Nièvre protégés au titre des Monuments Historiques", carton D/1/58/8-5, Médiathèque du patrimoine et de la photographie (Charenton-le-Pont)
- ↑ (en) Robert Branner, Burgundian gothic architecture, Londres, A. Zwemmer, , p.50
- ↑ René Surugue, Le Nivernais et la Nièvre IIe partie - Notice II, "Clamecy et l'évêché de Bethléem", Besançon, Imprimerie de l'Est, , p.254
- ↑ Madeline Eperon, L'église Saint-Martin et l'évêché de Bethléem, Clamecy, P. Viloin-Goulet éditeurs, , p.15
- ↑ Madeline Eperon, L'église Saint-Martin et l'évêché de Bethléem, Clamecy, P. Viloin-Goulet, , p.15
- ↑ René Surugue, Clamecy et l'évêché de Bethléem, Besançon, Imprimerie de l'Est, , p.228
- René Surugue, Clamecy et l'évêché de Bethléem, Besançon, Imprimerie de l'Est, , p.243
- ↑ Madeline Eperon, L'église Saint-Martin et l'évêché de Bethléem, Clamecy, P. Viloin-Goulet, , p.21
- ↑ Léon Mirot, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Pierre Cuvé et sa légende", 53e année, 3e série, n°5, Clamecy, Société Scientifique et Artistique de Clamecy (SSAC), , p;65 - 71
- ↑ Paul Marichal, Catalogue des actes de François Ier, tome VIII, Paris, Hachette, , p.433 - 434
- ↑ Pierre Quarré, Congrès archéologique de France de la Société française d'archéologie, "La collégiale Saint-Martin de Clamecy", 125e session, Paris, Société française d'archéologie, , p.104 - 118
- ↑ Abbé Charrier, Bulletin de la Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts, "Notice historique sur la collégiale Saint-Martin de Clamecy", tome 3, série 3, XIIIe volume de la collection, Clamecy, Société Scientifique et Artistique de Clamecy (SSAC), , p.37 - 73
- ↑ René Surugue, Le Nivernais et la Nièvre IIe partie - Notice II, "Clamecy et l'évêché de Bethléem", Besançon, Imprimerie de l'Est, , p.246
- ↑ Mgr Crosnier, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Ancienne église collégiale Saint-Martin de Clamecy", 96e année, n°47, Clamecy, Société Scientifique et Artistique de Clamecy (SSAC), , p.85 - 97
- ↑ Jean-Baptise de Rossi, Bulletin d'Archéologie Chrétienne, 5e volume de la série, Paris, Charles Leguay éditions,
- ↑ Madeline Eperon, L'église Saint-Martin et l'évêché de Bethléem, Clamecy, P. Viloin-Goulet éditeurs, , p.21
- ↑ Annick Lebreton, Le décor sculpté de la collégiale Saint-Martin de Clamecy et sa place dans la sculpture gothique (Thèse de doctorat), Paris IV,
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie indicative
[modifier | modifier le code]- Abbé BOUTILLIER, Bulletin de la Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts, "Livre des évangiles de Saint-Martin de Clamecy", Tome 3, série 3, XIIIe volume de la collection, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 28 janvier 1886, pp182 - 200
- Abbé CHARRIER, Bulletin de la Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts, "Notice historique sur la collégiale Saint-Martin de Clamecy", tome 3, série 3, XIIIe volume de la collection, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1886, pp37 - 73
- AMEDEE Julien, La Nièvre à travers le passé, topographie historique de ses principales villes décrites et gravées, éditions A. Quentin imprimeur, Paris, 1883, pp99 - 114
- ANFRAY Marcel, La cathédrale de Nevers et les églises gothiques du nivernais, "Chapitre II : Saint-Martin de Clamecy", éditions A. et J. Picard et Cie, Paris, 1964, pp59 - 68
- ARAGUAS Philippe, Architecture religieuse gothique : diversités régionales (XII - XIVe siècles), éditions Rempart Desclée De Brouwer, Paris, 2000
- BINET A, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Le mobilier de la collégiale Saint-Martin de Clamecy en 1789", 35 et 36emes années, nouvelle série, n°7, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1911 - 1912, pp36 - 44
- BINET A, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Quelques inhumations en la collégiale Saint-Martin de Clamecy", 54e année, 3e série, n°6, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1930, pp85 - 89
- COUROT Edme, Annales de Clamecy, "Notice concernant la petite histoire de l'église Saint-Martin de Clamecy jusqu'en 1852", Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1901
- CROSNIER (Mgr), Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Ancienne église collégiale Saint-Martin de Clamecy", 96e année, n°47, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1860, pp85 - 97
- DESSANE Nicolas, Collégiale Saint-Martin, éditions Cylasde, Clamecy, 2008
- DUPONT Jacques, Les annales du Pays Nivernais, "Clamecy : collégiale Saint-Martin", n°21, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1978, pp5 - 6
- EPERON Madeline, L'église Saint-Martin et l'évêché de Bethléem, P. Viloin-Goulet éditeurs, Clamecy, 1934
- LEBEUF Jean (abbé Lebeuf), Mémorial concernant l'histoire civile et ecclésiastique d'Auxerre et de son ancien diocèse, t. IV, Perriquet éditeurs, Auxerre, 1855, p.146
- LEBRETON Annick, Le décor sculpté de la collégiale Saint-Martin de Clamecy et sa place dans la sculpture gothique, thèse de doctorat, Paris IV, 1998 (MS 259-1, Archives départementales de Nevers)
- Maître Robert, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Le drapeau de la Tour Saint-Martin", 93e année, 3e série, n°44, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1969 - 1970, p37
- MENAGER Philippe, Sites et monuments remarquables de la Nièvre, éditions L'escargot Savant, Beaune, 2013
- MILANDRE Charles-Paul, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "A propos des Reliques de Saint-Martin de l'ancienne collégiale de Clamecy", 55e année, 3e série, n°7, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1931, pp21 - 58
- MILANDRE Charles-Paul, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Vieilleries Clamecycoises, note historique sur les cloches de l'ex collégiale de Saint-Martin de Clamecy", 63e année, 3e série, n°15, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1939, pp22 - 61
- MIROT Léon, Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, "Pierre Cuvé et sa légende", 53e année, 3e série, n°5, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, Clamecy, 1929, pp65 - 71
- MIROT Léon, Inventaire des archives de la Société Scientifique de Clamecy, "Obituaire de l'église collégiale Saint-Martin de Clamecy", 1898, éditions Vallière, Nevers, pp11 - 16
- QUARRE Pierre, Congrès archéologique de France de la Société française d'archéologie, "La collégiale Saint-Martin de Clamecy", 125e session, Paris, 1967, pp104 - 118
- SANCHEZ Marc et Rolande, Eglises et cathédrales gothiques en Bourgogne XIIe et XIIIe siècles, éditions La Besacière, Saint-Galmier, 1998
- SONNIE-MORET A. Ephémérides Clamecycoises, Imprimerie de V. Cégrétin, Clamecy, 1872, pp100 - 105
- SURUGUE René, Le Nivernais et la Nièvre IIe partie - Notice II, "Clamecy et l'évêché de Bethléem", Imprimerie de l'Est, Besançon, 1925