Église Saint-Martin de Sousceyrac — Wikipédia

Église Saint-Martin de Sousceyrac
L'église vue depuis la place du Prieuré.
Présentation
Type
Culte
catholique romain
Destination initiale
lieu de culte
Destination actuelle
lieu de culte
Rattachement
Diocèse
Dédicataire
Saint Martin
Style
Architecte
Jean-Baptiste Chevalt puis M. Théron.
Construction
1864-1897
Inauguration
1914
Hauteur
38 mètres
Propriétaire
Commune
Localisation
Pays
Commune
Coordonnées
Carte

L'église Saint-Martin de Sousceyrac est une église dédiée à Martin de Tours. Elle se trouve à Sousceyrac-en-Quercy dans le département du Lot.

Cette église est située dans l'ancienne commune de Sousceyrac dans le département du Lot.

Le prieuré bénédictin et l'église romane

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Le vocable de l'église[1] évoque l'ancienneté de la paroisse. Au XIIe siècle, il existait un prieuré dépendant de l'abbaye de Figeac ensuite rattaché en 1335 à l'abbaye de Maurs dans le Cantal.

De ce prieuré il n'en reste pas grand-chose si ce n'est la façade d'une maison voisine avec une porte romane et une baie géminée du XIIIe siècle.

Le prieuré avait une certaine importance puisque que l'évêque de Rodez, sous la demande de l'abbaye de Figeac, y enverra vite le seigneur de Calmont d'Olt afin de le protéger.

L'église gothique

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L'édifice actuel succède à une église construite après les guerres de Religion qui conservait des éléments romans réutilisés.

Ainsi un chapiteau du milieu du XIIe siècle est conservé sur un mur près de la porte Saint-Antoine.

Cette église était orientée, elle était plus petite avec un bas-côté au nord avec la chapelle Scribe ou Verdale, et une petite chapelle dite chapelle des Bessonies au sud. Le clocher se trouvait au nord de l'édifice, collé aux chapelles. La voûte s'est effondré durant la guerre de Cent Ans, on voyait donc une belle charpente jusqu'à la démolition de 1864.

L'abbé Arsène Landes a écrit : Pas d'archives ni écrites ni maçonniques. Son peu d'ampleur à cette époque s'explique par son emplacement dans l'enceinte fortifiée et par l'existence de la chapellenie du Grand-Saignes.[2]

Étapes de la construction de l'église actuelle

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Vue générale de Sousceyrac vers 1895, le clocher n'est pas encore construit.

En 1864 et 1865, avec une souscription de 12000 F., un emprunt de 2700 F. et un don de 1500 F. de la famille La Roussilhe, sont construits le chœur actuel sur le terrain acheté par l'abbé Ladoux, et la première travée de la nef sur les fondations des remparts. La crypte date de cette époque mais fut longtemps encombrée par un bloc de maçonnerie qui avait son utilité pour le soutien du chœur élevé sur le terrain peu ferme des fossés. L'autel est taillé en 1869 par Jean Calmon de Cahors.

En 1876, l'abbé Orliac, M. Piales-d'Axtrez, maire, et la Fabrique, avec un emprunt de 7000 F., construction des deux chapelles.

En 1888, l'abbé Vayssié obtient la réfection de la toiture et de la double sacristie, la construction de la décharge actuelle sur l'emplacement de vielles maisons achetées par ses prédécesseurs.

En 1896-1897, l'abbé Vayssié, M. Espinadel, maire, et la Fabrique, avec 9200 F. de souscription, 10000 F. de la commune et 3000 F. de l'État, commence la construction de la dernière travée de la nef et du clocher.

En 1900, les travaux peuvent se poursuivre et se terminer grâce à un emprunt par la fabrique de 3000 F. et un secours de l'État de 4000 F.

En 1913-1914, souscription de 4800 F. et dépenses de 7650 F. du temps de l'abbé Alaman:

  • Dans la crypte : enlèvement du bloc de maçonnerie, installation de charpentes métalliques.
  • Dans la nef : grattage des murs, crépis et peintures, réparation des vitraux.

Le 28 mai 1914, consécration de l'église St Martin de Sousceyrac par l'évêque de Cahors, Pierre-Célestin Cézerac[3].

Témoignage des travaux...

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  • Monsieur Piales-d'Astrez, maire de Sousceyrac à écrit dans ses mémoires :

Dans les premiers jours du moi d'avril 1864 ont commencé les travaux d'agrandissement de l'Église paroissiale qui doivent comprendre le Chœur de l'Église de Sousceyrac. Ce n'est pas sans difficulté que nous sommes venus à bout d'établir les fondations. Il a fallu pour cela creuser à quatre mètres dans l'ancien fossé de la ville, pour arriver au terrain solide. Cette première difficulté surmontée, les travaux ont bien marché, exécutés par des maçons venus de la Corrèze, sous la direction d'un maitre tailleur de pierre ou appareilleur intelligent nommé Teillet. Il a compris et fait exécuter les plans dessinés par Monsieur l'abbé Chevalt habile architecte demeurant a Rocamadour. Nous avons été obligés à cause des difficultés des fondations de faire exécuter les travaux à la journées, ce qui nous a couté cher, le prix de la journée de la plupart des tailleurs de pierre, du moins des plus habiles, était de 3 francs par jour. Nous avons été obligés d'acheter cinq petits jardins appelés les balats pour la construction du sanctuaire de l'Église. Il est vrai que Monsieur le Chanoine de Laroussilhe avait acheté deux de ces jardins pour cette construction. Les paroissiens se sont rendus avec grand empressement à l'appel de Monsieur le Curé pour transporter les matériaux nécessaires à cette construction. La pierre de taille est de bonne qualité mais difficile à extraire dans la côte de Laroussilhe. Les arbres pour la toiture et la travée du chœur ont été donnés aussi par les habitants. Le 24 Octobre 1864, le chœur de l'Église qui avait été commencé au printemps de la même année a été terminé, c'est a dire que les murs et la toiture couverte d'ardoises étaient finis, mais non la voute. les travaux ont été suspendus jusqu'au printemps a cause du mauvais temps et aussi parce que les jours était trop courts. L'ouvrage exécuté jusqu'à ce jour a été paye grâce aux souscriptions volontaires et aux dons de quelques personnes e la paroisse. Mlle Félicité LAROUSSILHE et Mlle Louise ont fortement contribué à cette réparation ainsi que Mr.de LAROUSSILHE qui a adressé 1000 Francs at a permis d'extraire toute la pierre nécessaire dans sa propriété de Laroussilhe. En construisant le nouveau sanctuaire nous avons aussi agrandi la Sacristie. Cette réparation généralement très désirée a trouvé cependant quelques opposants. Le Maire et le Curé ont bien eu des difficultés pour venir a bout de leur entreprise. Les personnes opposés trouvaient que le plan était grandiose et que cette construction ruinerait la paroisse et que l'on donnait une journée trop forte aux ouvriers. Nous avons commandé trois vitraux pour le chœur à Mr. H. LAGAYE pour le prix de 600 francs. Un des vitraux représentera Saint-Martin, patron de la paroisse.

Le 1er Mars 1865, nous avons repris les maçons afin de pouvoir continuer cette réparation de l'Église. Nous nous proposons d'élever les murs de l'ancien édifice à la hauteur du nouveau sanctuaire construit en 1864. Huit tailleurs de pierre conduit par l'appareilleur Tillet de la Corrèze. Un emprunt de de HUIT MILLE FRANCS remboursable en vingt ans à été demandé au CREDIT FONCIER de FRANCE soit 640 francs par ans d'annuité. On compte obtenir un secours important de l'Etat. Le 12 mai on pose les premières pierres de la chapelle Notre-Dame. Le 4 juin 1865 ont été placés les trois vitraux du chœur. C'est Mr. Hypolite de Lagaye, peintre sur verre, domicilié a Clermont-Ferrand qui les a faits et placés lui-même. En creusant les fondations de la chapelle de l'est et sur l'emplacement de l'ancien cimetière, il a été trouvé trois pièces de monnaie en cuivre qui doivent être anciennes. Sur l'une des pièces, on y lit tournois, on y remarque une fleur de lys et une Croix de Malte. Dans les murs de l'ancienne Église que nous avons été obligés de démolir, nous avons trouvé des pierres taillées ayant appartenues a des piliers de colonnes. Un chapiteau intact bien taillé ayant les caractères de l'architecture du XIIe siècle se fait remarquer parmi ces pierres. On en fait un bénitier près de la porte d'entrée de l'Église. Tout montre qu'il a existé anciennement et sur l'emplacement actuel de la nouvelle Église, une Église voutée et régulièrement construite. Elle a du être en partie démolie à l'époque des guerres de religion qui furent terribles dans notre pays. La toiture et la voute durent disparaitre alors. Plus tard on s'est borné a poser une charpente grossière sur les anciens murs. Le malheur du temps n'ayant pas permis de réédifier les voûtes, les habitants du pays avaient cruellement souffert et se trouvaient ruinés par suite de ces guerres désastreuses. Si l'ancien bâtiment n'avait pas du supporter des voutes, on aurait pas bâti avec tant de précautions des murs d'un mètre d'épaisseur flanqués de solides contreforts. Il semble que l'Église était placée autrefois dans le sens opposé à celle que nous bâtissons. Une porte placée a l'Ouest l'indique suffisamment. En démolissant la Chapelle du Saint Sacrement placée du côté du cimetière, qui avait été bâti par nos ancêtre et que l'on désigne encore sous le nom de CHAPELLE de la BESSONIE, nous avons trouvé une grande quantité d'ossement humains. Nos ancêtres avaient été enterres sous les dalles de la Chapelle même, comme cela était l'usage avant le Révolution. Je possède dans les archives de la maison, l'acte de concession souscrit par l'abbé de Maurs, dont les droits s'étendaient jusque sur la paroisse de Sousceyrac. Dans cet acte, il autorise mes ancêtres (1640) a bâtir une Chapelle a leurs frais et dépens, a la condition qu'ils pourvoiraient a l'entretien nécessaire. Ils en auraient la jouissance exclusive. Une balustrade qui la fermait la separait de la Nef. Mon bisaïeul y a été enterré.

Le 10 Décembre 1865, on a pu célébrer la messe et tous les offices du dimanche dans l'Église.

La toiture est terminée ainsi que tous les murs. La voûte reste a faire ainsi que la finition des ouvertures.

Monsieur le curé Ladoux a fait dont à l'Église de sa table de communion qui sépare le Chœur du reste de l'Église. Le Ministère des cultes donne une subvention de 2.500 FRANCS

Mlle Louise de la Roussilhe a payé l'autel en marbre blanc placé dans le chœur dont le cout est de 200 francs. L'autel a été sculpté par Mr. Calmon de Cahors et pèse 40 quintaux. On a fait construire sous le chœur, dans la chapelle souterraine, un massif de maçonnerie pour supporter le poids.

Le 29 septembre a été placé dans l'Église un chemin de croix, dons des paroissiens de 1000 francs. L'ostensoir en vermeil qui a été offert à la paroisse par Mme Félicité de Larousilhe, est des plus beau du diocèse de Cahors.

La voûte a été construite en 1866.

Le 8 mars 1867, le Curé de Sousceyrac a reçu de la Grande Aumônerie de France, six chandeliers et une Croix dorée pour décorer le Maitre-Autel. Les paroissiens ont offert le 9 Octobre 1868 deux statues en plâtre de deux mètres de hauteur : Saint-Joseph et Sainte-Anne. Une statue de Sainte Germaine a été placée dans la Chapelle du Sacré-Cœur.

En Juin 1869, deux anges adorateurs en terre cuite, placés de chaque côté de l'autel ont été offerts par Louise de Laroussilhe.

En février 1875, le terrain de l'ancien cimetière attenant à l'Église a été nettoyé par des prestations volontaires des habitants du bourg. Les ossements recueillis ont été transportés au nouveau cimetière. On a placé des arbres sur cette petite place et conservé les petits murs la bordant.

En avril et mai 1893, il a été effectué le crépissage de la voute et le blanchissement du chœur et de la nef. Les vitraux aux fenêtres du fond de l'Église ont été placés:

  • Un vitrail offert par la famille Bessonie d'Alzac.
  • Un vitrail offert par la famille de la Roussilhe.
  • Un vitrail offert par la famille Piales-d'Astrez.

Des dons supplémentaires des paroissiens ont permis de placer deux lustres dans le chœur et deux lustres dans la nef.

Ici s'arrête cette partie des mémoires du Maire de l'époque, Piales-d'Astrez, qui ne verra pas la fin de la construction de cette grande Église de Sousceyrac. La dernière travée de nef et le clocher étant construits entre 1897-1900[4].

Description

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Cette église néo-gothique, orientée nord-sud, comporte une nef unique voûtée en croisé d'ogives, l'abside est à trois pans coupés. La nef est coupée par un faux transept composé de deux chapelles : la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes à l'ouest et la chapelle du Sacré-Cœur à l'est qui se trouve sur l'emplacement de l'abside de l'ancienne église[5]. L'extérieur est assez simple, les contreforts ont un effet de fortifications. Le clocher, plus tardif, est un peu plus sculpté surtout autour de la rosace et les contours des ouvertures sont peints avec de la chaux ce qui contraste avec le granite du Ségala Lotois. Les modillons de la toiture de la nef sont simples. Un toit en ardoise recouvre la nef. Le clocher couronné d'une flèche domine le village.



Le mobilier du XIXe siècle est d'une grande qualité, cependant la chaire a été enlevée ainsi que deux anges rédempteurs et un clocheton qui se trouvait sur l'autel. Un tableau offert par l'impératrice Eugénie représentant l'Ascension de la Vierge se trouve dans la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes. Les vitraux datent de 1900, ils proviennent de l'atelier toulousain Louis-Victor Gesta. Les vitraux modernes du cœur datent de la fin du XXe siècle car les anciens étaient endommagés. Un morceau du retable baroque de l'ancienne église est conservé dans la crypte et doit dater du XVIIe siècle, il représente la crucifixion du Christ[6], il est inscrit aux objets des monuments historiques. Les quatre vitraux de la nef représentent le Bienheureux Perboyre, Sainte-Jeanne-d'Arc, Saint-Ludovic (Saint-Louis) et Sainte-Élisabeth. Des statues représentent saint Jean-Marie Vianney (curé d'Ars), sainte Jeanne d'Arc, Saint-Michel, Sainte-Anne, Saint-Joseph, Sainte-Thérèse de Lisieux et de Saint-Antoine. Un vitrail moderne représentant Saint-Gérard Majella a été installé dans la chapelle du Sacré-Cœur, il est illuminé[7].

Les cloches

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  • Le bourdon fut inauguré la même année que le clocher, le parrain est M. Piales-d'Astrez et la marraine est Hélène Piales-d'Astrez.
  • Une des cloches de 1860 à comme parrain un certain Colonel de Verdal, peut-être un ancêtre du châtelain de Grugnac Jacques de Verdal.

Liste des curés de la paroisse de Sousceyrac

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l'abbé Arsène Landes et l'école pour jeunes-filles du couvent des Ursulines.
Liste des Curés et Vicaires de la paroisse[3]
Période Curés Période Vicaires
1309-1311 Pierre de Sénalhac × ×
av.1387 Géraud Molinier × ×
ap.1387 Guillaume de Fontanges x x
1516 Georges Rous × ×
× Césaire Vernhol 1631-1633 M. Asfaux
1633-1695 Jean Labrousse × ×
1704 François Boutaric × ×
1727-1771 Jean-Baptiste Scribe 1733 Pierre Revel
1737 M. Paliès
1753 Raymond Cazals
1757 M. Gailhard
1764 Jean-Baptiste Cazals
1765 Jaques Laroussilhe
1768 Jean Reygade
1771 Guillaume Besayrie x x
1774-1803 Jean Clamagirand 1789 M. Jauzac
1790 Alexandre Roussilhe
1793 M. Patey
1803-1824 Alexandre Roussilhe 1802 M. Raymond
1809 Jean-Vincent Bex
1815 M. Paramelle
1818 M. Irondelle
1820 Jean-Pierre Ladoux
1821 M. Pons
1824-1832 M. Laporte 1826 M. Girma
1827 M. Moussié
1829 M. Souques
1832 Jean-Pierre Ladoux x x
1850-1860 Jean-Baptiste Larribe 1852 M. Lherm
1854 M. Cros
1855 M. Vernhes
1856 M. Destruel
1860-1866 Jean-Pierre Ladoux 1861 M. Guarrigue
1864 M. Gouzou
1866-1876 M. Orliac 1869 Augustin Roussilhe
1876-1887 Augustin Roussilhe 1879-1881 M. Vieillescaza
1881-1887 Henri Lamouroux
1887-1898 Frédéric Vayssié 1886-1892 Félix Labrousse
1887-1897 Antoine Jammes
1897 M. Gombert
1898-1908 Louis Lafon 1899 M. Laubertie
1900 Emile Bailles
1900 Antoine Dardennes
1905 Ludovic Paramelle
1908-1936 Joseph Alaman 1910-1914 Clément Audubert
1936-1965 Arsène Landes x x
1965-1969 André Verdier 1965-1969 Christian Combalbert
1969-2000 Louis Delrieu 1969-1977 Leopold Castagné et Jean Cancès
1977-1988 René Cadiergues
1988-2017 Hugues de Traversay x x
2017-... Christian Durand (Curé de Saint-Céré) 2017-... René Rougier (Curé de Girac)

Églises du regroupement paroissial

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Notes et références

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  1. Association Sousceyrac d'hier à aujourd'hui
  2. Yvette Deviers-Aquioupou, Quand les églises du Ségala ont la parole canton de Sousceyrac et ses abords, Association Sousceyrac d'hier à aujourd'hui, , 190 p. (ISBN 2-9503757-6-6)
  3. a et b Archives paroissiales de Sousceyrac.
  4. Archives Familiales des Piales-d'Astrez;
  5. Pays d'art et d'histoire de la vallée de la Dordogne lotoise
  6. « Haut-relief : la Crucifixion », notice no PM4600029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  7. Dominique Bex, Architecture et ornementation néo-médiévales en Quercy, une vision pittoresque du Moyen-Âge au XIXe siècle., caisse nationale des monuments historiques et des sites, , 10 p. (lire en ligne), p. 8

Bibliographie

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  • Yvette Aquioupou, Quand les églises du Ségala ont la parole, 2006, 192 p, 330 photographies, Association Sousceyrac d’hier à aujourd’hui. (ISBN 2-9503757-6-6) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

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