Énergide — Wikipédia
Dans un syncytium ou dans un plasmode, une énergide est l'ensemble constitué par un noyau et le cytoplasme qui l'entoure.
Définitions
[modifier | modifier le code]L'énergide (en grec ancien : ἐενεργός, littéralement « active ») définie comme l'unité physiologique composée du noyau cellulaire et du cytoplasme qui l'entoure[1], est introduite pour la première fois en biologie par le botaniste Julius von Sachs en 1892[2]. Après 1909, le zoologue Max Hartmann (de) l'applique également à la physiologie du développement[3].
Les cellules peuvent être mononucléées (monoénergides) ou multinucléées (polyénergides). Les cellules polyénergides sont souvent appelées syncytium, notamment lorsqu'elles proviennent de la fusion de cellules initialement mononucléées.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Energide » (voir la liste des auteurs).
- (de) Elke Brechner et al., Kompaktlexikon der Biologie., Heidelberg, Spektrum, (ISBN 978-3827416506)
- (de) Julius Sachs, Gesammelte Abhandlungen über Pflanzen-Physiologie, Leipzig, Engelmann,
- (de) Heng-an Chen, Die Sexualitätstheorie und "Theoretische Biologie" von Max Hartmann in der ersten Hälfte des zwanzigsten Jahrhunderts, Stuttgart, Steiner, coll. « Sudhoffs Archiv - Beihefte » (no 46), (ISBN 978-3-515-07896-2)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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