10e division de cavalerie (France) — Wikipédia

10e division de cavalerie
Image illustrative de l’article 10e division de cavalerie (France)
Création
Dissolution
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Division de cavalerie
Rôle Cavalerie
Garnison Montauban
Guerres Première Guerre mondiale
Batailles 1914 - Bataille de Sarrebourg
1914 - Bataille de la Marne
(Bataille des Deux Morins)
1914 - 1re Bataille de Picardie
1914 - 1re Bataille d'Artois
1914 - Première bataille d'Ypres

La 10e division de cavalerie est une division de cavalerie de l'armée française créée en 1913 et qui a participé à la Première Guerre mondiale jusqu'à sa dissolution en juin 1916.

Chefs de corps

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  • 1er septembre 1913 -  : général Conneau[1]
  • -  : général Grellet (par intérim)[1]
  •  : général de Contades-Gizeux[1]

Composition

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Composition à la mobilisation

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Composition en janvier 1915

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  • 10e brigade de dragons[2]
    • 15e régiment de dragons
    • 20e régiment de dragons
  • 15e brigade de dragons[2][2]
    • 10e régiment de dragons
    • 19e régiment de dragons
  • Brigade Matuzinsky[2]
  • Éléments organiques divisionnaires[2] :
    • Infanterie :
      • 10e groupement cycliste du 1er bataillon de chasseurs à pied
      • 10e groupe léger de cavalerie à pied
    • Artillerie : 1 groupe de 75, 14e régiment d'artillerie de campagne

Composition en juillet 1915

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  • 10e brigade de dragons[2]
    • 15e régiment de dragons
    • 20e régiment de dragons
  • 15e brigade de dragons[2]
    • 10e régiment de dragons
    • 19e régiment de dragons
  • 23e brigade légère[2]
  • Éléments organiques divisionnaires[2] :
    • Infanterie :
      • 10e groupement cycliste du 1er bataillon de chasseurs à pied
      • 10e groupe léger de cavalerie à pied
    • Artillerie : 1 groupe de 75, 14e régiment d'artillerie de campagne

Composition en mai 1916

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La division est créée par le décret du , qui passe de huit à dix le nombre de divisions de cavalerie de l'Armée française[3]. Elle ne comporte que deux brigades, plus, en temps de paix, une brigade de cavalerie légère destinée à servir dans les corps d'armée[4].

1915 - 1916

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  • -  : occupation, avec des éléments territoriaux, d'un secteur entre Leimbach et Burnhaupt-le-Haut[6].
  • -  : retrait du front ; repos vers Montreux-Vieux[6].
  • 7 -  : occupation, avec des éléments territoriaux, d'un secteur entre Leimbach et Burnhaupt-le-Haut.
  • -  : retrait du front, repos vers Montreux-Vieux ; travaux, éléments en surveillance le long de la frontière suisse[6].
  •  : dissolution[6].

Rattachement

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Notes et références

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  1. a b c d e f g h i et j AFGG, X-2, p. 1065.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o et p AFGG, X-2, p. 1066-1067.
  3. Guinard, Devos et Nicot 1975, p. 32.
  4. Guinard, Devos et Nicot 1975, p. 105.
  5. a b c d e f g h i et j AFGG, X-2, p. 1068.
  6. a b c d e f g et h AFGG, X-2, p. 1069.

Bibliographie

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  • Service historique de l'état-major des armées, Les Armées françaises dans la Grande guerre, Paris, Impr. nationale, 1922-1934, onze tomes subdivisés en 30 volumes (BNF 41052951)
    • AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
  • Pierre Guinard, Jean-Claude Devos et Jean Nicot, Inventaire des archives de la Guerre : Série N 1872-1919, vol. 1 : Introduction, guide des sources, bibliographie, Troyes, Imprimerie La Renaissance, (lire en ligne).

Articles connexes

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