16e régiment d'infanterie (France) — Wikipédia

16e régiment d'infanterie de ligne
Image illustrative de l’article 16e régiment d'infanterie (France)
Drapeau du 16e R.I.

Création 1776
Dissolution 1924
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'infanterie
Rôle Infanterie
Garnison Montbrison
Clermont-Ferrand.
Ancienne dénomination 16e demi-brigade
Légion du Gard
Inscriptions
sur l’emblème
Hohenlinden 1800
Wagram 1809
Sagonte 1811
Zaatcha 1849
Lorraine 1914
Verdun 1916-1917
Tardenois 1918
L'Aisne 1918
Guerres Guerres de la Révolution
Révolution haïtienne
conquête de la Belgique
campagne de Flandre (en)
Guerres napoléoniennes
Campagne de Suisse
Campagne d'Allemagne et d'Autriche
Guerre d'indépendance espagnole
Campagne d'Allemagne
Campagne de France
Expédition d'Espagne
Guerre d'indépendance grecque
Première Guerre mondiale
Batailles Siège de Namur
Siège de Furnes
Siège de Maastricht
Bataille de Neerwinden
Siège de Valenciennes
Bataille de Hondscoote
Combat de Poperinge
Bataille de Tourcoing
Bataille de Stockach
Bataille d'Engen
Bataille de Biberach
Combat d'Erbach
Bataille d'Ampfing
Bataille de Hohenlinden
Bataille de Trafalgar
Bataille de Neumarkt-Sankt Veit
Bataille d'Ebersberg
Bataille d'Essling
Bataille de Wagram
Bataille de Znaïm
Siège de Gérone
Bataille de Sagonte
Siège de Valence
Siège de Tarragone
Bataille de Vitoria
Bataille de Lützen
Bataille de Bautzen
Bataille de Dresde
Bataille de Leipzig
Bataille de La Rothière
Bataille de Vauchamps
Bataille de Fère-Champenoise
Bataille de Paris
Expédition de Morée
Insurrection républicaine à Paris
Bataille de Verdun
Bataille de la Marne
Bataille de l'Aisne
Fourragères aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918
Décorations Croix de guerre 1914-1918 trois palmes

Le 16e régiment d'infanterie (16e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment d'Agénois, un régiment français d'Ancien Régime.

Création et différentes dénominations

[modifier | modifier le code]

(*) Officier qui devint par la suite général de brigade. (**) Officier qui devint par la suite général de division.

Colonels tués ou blessé alors qu'il commandait le 16e RIL:

  • Colonel Gudin : blessé le et le

Officiers tués ou blessés alors qu'ils servaient au 16e RIL durant la période 1804-1815 :

  • Officiers tués : 35
  • Officiers mort des suites de leurs blessures : 11
  • Officiers blessés : 126

Historique des garnisons, combats et batailles du 16e RI

[modifier | modifier le code]

Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

16e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Agénois (1791-1793)

[modifier | modifier le code]

L'ordonnance du 1er janvier 1791 fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le terme ci-devant, comme 16e régiment d'infanterie ci-devant Agénois.
Chaque régiment n'eut plus qu'un drapeau aux couleurs rouge, blanc et bleu, ayant d'un côté cette inscription : Obéissance à la Loi et de l'autre le numéro du régiment et les noms des actions éclatantes où il s'était trouvé.

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier | modifier le code]
1er bataillon

Cette même année le 1er bataillon alla occuper les postes du Château Trompette et de Blaye, avant d'être dirigé sur Tours, puis sur Épernay en juillet 1792. Au mois d'octobre, après la bataille de Valmy, il rallie l'armée de Kellermann, et passe plus tard à l'armée du Nord.
Il prend part à la conquête de la Belgique, dont le siège de Namur, qu'il occupe quelque temps puis au siège et capture de Furnes et se distingue, le , au siège de Maastricht, le 18 mars à la bataille de Neerwinden. Pendant la campagne de Flandre (en) de la guerre de la Première Coalition, il revint sur la frontière, combat devant Valenciennes les 12 avril et 23 mai, participe à la défense de Dunkerque et à la victoire de Hondscoote au mois de septembre, avant de se trouver le 17 novembre au combat de Poperinge.
Le , lors du premier amalgame le 1er bataillon du 16e régiment d'infanterie (ci-devant Agénois) est amalgamé avec le 1er bataillon de volontaires d'Ille-et-Vilaine et le 2e bataillon de volontaires d'Ille-et-Vilaine pour former la 31e demi-brigade de première formation.

2e bataillon

Au mois de juin 1791, le 2e bataillon partit pour Saint-Domingue, d'où il ne revint qu'en 1794 que trois officiers et vingt-trois hommes. Le bataillon ne fut jamais amalgamé.

16e demi-brigade de première formation (1793-1796)

[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier | modifier le code]

En 1793, lors du premier amalgame la 16e demi-brigade de première formation est formée avec les :

En 1794 affecté à l'armée du Nord il combat à Boeschequepe, au siège et capture de Menin, à la bataille de Tourcoing, au siège de Ypres et l'île de Casandra.

Lors du second amalgame, elle est incorporée dans la 26e demi-brigade de deuxième formation.

16e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)

[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier | modifier le code]

La 16e demi-brigade de deuxième formation est formée le 1er ventôse an IV () par l'amalgame des :

La 16e demi-brigade, fait les campagnes de l'an IV (1796) et de l'an V (1797) à l'armée de Sambre-et-Meuse et combat, en 1796 à Wetzlar (en), Bamberg, Forcheim, Neukirchen, Köfering[4] durant le combat d'Amberg et Wurtzbourg puis en 1797 à Giessen et Neuwied.

Elle fait celle de l'an VI (1798) aux armées de Sambre-et-Meuse, d'Allemagne et de l'Ouest, celle de l'an VII (1799) aux armées de l'Ouest, du Danube et du Rhin ou il combat à Offenbourg.
Un noyau de la 16e demi-brigade de deuxième formation sera utilisé pour former, à Rouen le 25 nivôse an VII (), la 65e demi-brigade de deuxième formation.

Il fait les campagnes de l'an VIII (1800) et de l'an IX (1801) à l'armée du Rhin et participe aux batailles de Stockach, d'Engen, Biberach, Erbach, Ampfing et Hohenlinden.

16e régiment d'infanterie de ligne (1803-1815)

[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier | modifier le code]

Par décret du 1er vendémiaire an XII (), le Premier Consul prescrit une nouvelle réorganisation de l'armée française. Il est essentiel de faire remarquer, pour faire comprendre comment, souvent le même régiment avait en même temps des bataillons en Allemagne, en Espagne et en Portugal, ou dans d'autres pays de l'Europe, que, depuis 1808, quelques régiments comptaient jusqu'à 6 bataillons disséminés, par un ou par deux, dans des garnisons lointaines et dans les diverses armées mises sur pied depuis cette date jusqu'en 1815.
Ainsi, le 16e régiment d'infanterie de ligne est formé à 3 bataillons avec la 1er, 2e et 3e bataillons de la 16e demi-brigade de deuxième formation.

Le 16e régiment d'infanterie de ligne, fait la campagne de l'an XII (1804) à l'armée d'Italie en garnison à Alexandrie.

En l'an XIII (1805), XIV (1805) et 1806, il est embarqué sur l'escadre à Toulon et participe à la bataille de Trafalgar.

En 1807 il est à l'armée d'Italie et au corps d'observation de la Grande Armée.

En 1808 le 16e est au 4e corps de la Grande Armée et au corps d'observation des Pyrénées-Occidentales,

En 1809 au 4e corps de l'armée d'Allemagne, au corps d'observation de la Hollande et se trouve engagé durant la campagne d'Allemagne et d'Autriche dans les combats et batailles de Neumarkt, d'Ebersberg, d'Aspern-Essling, de Wagram et de Znaïm

En 1810, 1811, 1812, 1813 il est au 7e corps de l'armée d'Espagne, à l'armée de Catalogne et d'Aragon, Siège de Roses et Gérone, Capture du fort Olivio, Siège de Tarragone et Montserrat en 1810, Siège de Sagonte, bataille de Sagonte, sièges de Valence, d'Alicante et de Saint-Felipe, siège et prise de Tarragone et bataille de Vitoria () durant laquelle le Colonel Borgarelli d'Ison est blessé et fait prisonnier par les troupes alliées commandées par Wellington. Soigné au lazaret de Bilbao, il s'en évade avec deux autres officiers, vole une barque, et rallie à la rame le territoire français.
Une partie du régiment participe à la campagne d'Allemagne qui se trouve engagé dans les batailles de Lützen, de Bautzen, de Wurschen, de Dresde et de Leipzig.

En 1814 affecté au 6e corps de la Grande Armée, il se trouve sous Lyon, à l'armée d'Italie et à l'armée de réserve du Midi. Il est ensuite engagé, durant la campagne de France dans les batailles de La Rothière, de Vauchamps ( 14 février 1814), de La Fère-Champenoise et la bataille de Paris.

Après l'exil de Napoléon Ier à l'île d'Elbe, l'ordonnance royale du qui réorganise les corps de l'armée française permet, le , l'incorporation des débris du 145e régiment d'infanterie de ligne dans le 16e régiment d'infanterie de ligne.

En 1815, durant les Cent Jours, il est au 9e corps de la Grande Armée.

Après la seconde abdication de l'Empereur, Louis XVIII réorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire du Premier Empire.
A cet effet une ordonnance du licencie l'ensemble des unités militaires françaises.

Légion du Gard (1815-1820)

[modifier | modifier le code]

Par ordonnance du , Louis XVIII crée les légions départementales. La Légion du Gard, qui deviendra le 16e régiment d'infanterie de ligne en 1820, est créée.

16e régiment d'infanterie de ligne (1820-1882)

[modifier | modifier le code]

En 1820 une ordonnance royale de Louis XVIII réorganise les corps de l'armée française en transformant les légions départementales régiments d'infanterie de ligne. Ainsi, le 16e régiment d'infanterie de ligne est formé, à Grenoble, avec les 3 bataillons de la légion du Gard.

1820 à 1848

[modifier | modifier le code]

Le 16e régiment d'infanterie de ligne fait la campagne de 1823 au 5e corps de l'armée d'Espagne.
De 1824 à 1828, il fait partie du corps d'occupation d'Espagne et se distingue à l'affaire de Jorba et aux combats sous Tarragone, les 23 et 28 juillet 1825.

De 1828 à 1833, il participe à l’expédition de Morée pour soutenir les insurgés grecs lors de la guerre d'indépendance grecque et fait partie des troupes d'occupation de la ville et de la citadelle de Navarin en 1828.
En 1828-1829, le 16e régiment d'infanterie de ligne, affecté à la première brigade, qui était commandé par le Colonel comte Borgarelli d'Ison était constitué, outre le colonel, de 58 officiers, 1 264 hommes de troupe, et comptait, 7 chevaux d'officiers et 13 chevaux de trait[5].

Une ordonnance du créé le 4e bataillon et porte le régiment, complet, à 3 000 hommes[6].

En juin 1832, il participe à la répression de l'insurrection républicaine à Paris

De 1845 à 1850, le régiment est en Algérie ou il participe à la prise de Zaatcha.

Second Empire

[modifier | modifier le code]

De 1852 à 1870, le régiment n'est pas présent sur les champs de batailles de Crimée de 1853 à 1856, d'Italie en 1859, et du Mexique de 1861 à 1867, mais il fournit des volontaires pour les corps expéditionnaires.

En 1852, le régiment, réuni, tient garnison à Bordeaux puis il envoie le 2e bataillon à Paris et le 3e bataillon à Condé.

En septembre 1855, 615 hommes du régiment sont incorporés dans les 20e, 31e, 39e et 94e régiments d'infanterie de ligne partant pour la Crimée.

Le 1er mai 1856, une ordonnance ministérielle supprime les 4e bataillons et reforme les régiments à 3 bataillons.

En 1858 le 16e de ligne est en garnison à Dunkerque, Bergues et Gravelines puis le 2e bataillon quitte Dunkerque pour tenir garnison à Lille.

Le 19 avril 1859, l'infanterie subit une réorganisation et le régiment procède à la formation de 3 bataillons actifs à 6 compagnies, dont 2 d'élite et un bataillon de dépôt, formé par les 5e et 6e compagnies de fusiliers supprimées dans les bataillons. Par décret du le 16e régiment d'infanterie fournit une compagnie pour concourir former le 102e régiment d'infanterie de ligne qui s'organisait à Besançon.

En 1866, le 16e régiment d'infanterie de ligne quitte Lyon pour Saint-Étienne, puis revient à Lyon. .

Guerre franco-prussienne de 1870

1871 à 1914

[modifier | modifier le code]
  • reçoit des engagés volontaires pour la durée de la guerre.

Le 27 avril 1881, le 3e bataillon quitte Lyon pour l'Algérie et arrive à Tlemcen le 10 mai pour y tenir garnison. En mai 1883, il embarque à Oran, débarque à Marseille et va tenir garnison à Lyon.

En octobre 1884, le 16e régiment d'infanterie de ligne quitte Saint-Étienne pour aller à Lyon et son dépôt est transféré de Montbrison à Roanne.

En octobre 1887, le 16e régiment d'infanterie de ligne quitte Lyon pour tenir garnison à Saint-Étienne et son dépôt est transféré de Roanne à Montbrison.

16e régiment d'infanterie

[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]
Un soldat du 16e RI en 1916 ou 1917.

Affectation : 50e brigade d'infanterie, 25e Division d'Infanterie, 13e corps d'armée d' à .

  • août : Lorraine, environs de Sarrebourg, combats à Schneckenbusch et Brouderdorf
  • septembre :
    • Vosges, Roville-aux-Chênes, Xaffevillers
    • Oise, Ribécourt, Dreslincourt
  • octobre à novembre : Picardie, bois des Loges
  • à  : Oise, secteur de Canny-sur-Matz
  • à  : Oise, ferme d'Antoval
  • mars : Verdun, Mort-Homme
  • juin à septembre : l'Aisne, Autrêches
  • octobre à novembre : la Somme, bois de Chaulnes, bois Kratz
  • janvier à mars : Oise, Canny-sur-Matz
  • mars : marche sur Saint-Quentin
  • avril à juin : tentatives pour prendre Saint-Quentin, Rocourt, Oëstres
  • août : Verdun, bois d'Avocourt
  • septembre à novembre : Argonne, Boureuilles
  • à  : Verdun, Bezonvaux

à retenir : une rue à Saint-Etienne porte le nom d'un officier du 16e RI tué, il s'agit du sous-lieutenant Joseph Vergnette, tué le à Canny-sur-Matz, tombe à voir au cimetière du Crêt de Roch Autre nom : Marcel Déat, qui a collaboré, était lieutenant au 16e RI en 1914-1918

Montbrison et Saint-Etienne

Entre-deux-guerres

[modifier | modifier le code]
  •  : Dissolution[8]

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Le régiment n'est pas recréé pendant la Seconde Guerre mondiale. Son numéro et ses traditions sont reprises par la 16e demi-brigade alpine de forteresse, constituée des 70e et 80e bataillons alpins de forteresse et du 6e bataillon de chasseurs mitrailleurs.

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[9] :

Fourragère aux couleurs de la croix de guerre 1914-1918.

Drapeau du 16e régiment d'infanterie de ligne.

Décorations

[modifier | modifier le code]

Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec trois citations à l'ordre de l'armée.

Il a le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.

Personnes célèbres ayant servi au 16e RI

[modifier | modifier le code]


Marie René Philippe Rebilliard

[modifier | modifier le code]

Marie René Philippe Rebilliard est né le 18 septembre 1815 à Louhans. Saint-Cyrien, il est nommé sous-lieutenant au 62e régiment d'infanterie le 1er octobre 1837. Envoyé en Algérie, il est promu lieutenant en 1840, revient en métropole en 1841.
Promu capitaine en décembre 1845 puis major en 1853, il quitte le 62e RI pour le 2e régiment des grenadiers de la Garde Impériale.
Le 7 mars 1861, il est nommé lieutenant-colonel au 13e régiment d'infanterie de ligne et fait la campagne de Syrie[11].

Le 20 décembre 1862, il est nommé commandant en second de l'école de Saint Cyr jusqu'à sa nomination au grade de colonel, le 12 juin 1866. C'est à la tête de son régiment, le 16e régiment d'infanterie de ligne, qu'il débarque à Oran en 1868.

A la déclaration de la guerre de 1870 le régiment se trouve en Algérie, à Sétif. Nommé général de brigade le 24 septembre 1870, il débarque à Toulon le 13 octobre 1870 avec les 1er et 3e bataillons, attachés à la 1re brigade de la 3e division du 15e corps de l'armée de la Loire avec laquelle il combat à Orléans ou il est blessé à la cuisse.

Nommé général de division à titre provisoire, il prend le commandement de la 7e division militaire le 10 mars 1871.

Après la paix, il retourne en Algérie ou il exerce plusieurs commandements dont commandant la subdivision de Bône.

Il meurt le 23 avril 1897[12].

Décorations

Sources et bibliographie

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Né le 17 juin 1787 à Alexandrie dans l'ancien département de Marengo
  2. Né le 28 décembre 1818 à Behren-lès-Forbach, décédé le 23 février 1872 à Brest
  3. Né le 9 janvier 1819 à Versailles, décédé le 5 octobre 1883 à Mirande
  4. Köfering est écrit Wolfering
  5. Souvenirs de la Morée, pour servir à l'histoire de l'expédition Française, par M. A. DUHEAUME, capitaine au 58e régiment d'Infanterie de ligne Anselin libraire à Paris
  6. Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
  7. La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 guerre de 1870-1871 d'Aristide Martinien page 69
  8. Auguste Édouard Hirschauer, « Annexe 2 : Notice Historique », dans Rapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions du Sénat (no 263), (lire en ligne), p. 196-197.
  9. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
  10. François Auguste Logerot sur military-photos.com
  11. L'Ecole Spéciale militaire de Saint Cyr
  12. Légion d'Honneur


Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]