Dans le journal Paris-Match, André Breton réfute la version de Françoise Gilot qu'elle a donné de la dernière rencontre avec Picasso en 1946 : « ... et je n'ai jamais refusé de lui serrer la main non plus qu'hésité à le faire. »[3]
Vernissage de la XIe exposition internationale du surréalisme intitulée L'Écart absolu, en hommage au socialiste utopiste Charles Fourier, à Paris, galerie de la revue L'Œil[4]. À cette occasion, il est distribué le tract Tranchons-en qui proteste contre : « l'effritement vertigineux des notions morales les plus élémentaires [et] le rabais généralisé de la culture. »[5]
Création collective du Désordinateur : armoire anthropomorphe munie d'une vitre sans tain et de boutons sur lesquels le visiteur était invité à appuyer éclairant ainsi un objet correspondant à un texte du catalogue[6],[7].
Le Surréalisme et la peinture, nouvelle édition avec jaquette décorée d'une reproduction du tableau de Yves Laloy, Les Petits pois sont verts... les petits poissons rouges..., achevé d'imprimé le 15 octobre[14]
Les Petits pois sont verts… les petits poissons rouges…, huile sur toile[21]. Cette peinture illustre la jaquette de l'ouvrage de Breton, Le Surréalisme et la peinture.
↑Description et photographies de l'exposition dans Henri Béhar, « XIe Exposition internationale du surréalisme. L’Écart absolu, 1965 », dans Didier Ottinger (dir.), Dictionnaire de l'objet surréaliste (exposition, Paris, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, 30 octobre 2013-3 mars 2014), Gallimard, Centre Pompidou, (ISBN978-2-07-014181-4), p. 116-120.
↑Collection privée. Reproduction dans Alexandrian, p. 202.
↑22 × 16 cm. Collection Mony Vibescu. Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 53.