Abd al-Malik al-Muzaffar — Wikipédia
Abd al-Malik al-Muzaffar
Hadjib | |
---|---|
- | |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Domicile | |
Activités | Homme politique, militaire |
Père | |
Fratrie |
Abd al-Malik ibn Abi al-Muzaffar[1] (975-1008) fut le fils et successeur d'Almanzor, comme hadjib (chef politique et militaire) d'Al-Andalus d'août 1002 à octobre 1008, sous le califat d'Hicham II.
Biographie
[modifier | modifier le code]Il maintint l'hégémonie militaire du califat sur les royaumes chrétiens, obligeant leurs souverains à respecter les trêves et à l'accepter comme arbitre dans leurs disputes.
Il mourut près de Cordoue, soupçonné d'avoir été empoisonné par son frère ´Abd al-Rahman Sanchuelo. Sa mort provoqua le début de la guerre civile en al-Andalus, qui eut pour conséquence la chute du califat.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- arabe : ʾabū marwān “al-muẓaffar” ʿabd al-malik ben ʾabī ʿāmir,
أبو مروان "المظفر" عبد الملك بن أبي عامر
Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Charles Romey, Histoire d'Espagne, t. 5, , chap. 18 (« Fin du règne d'Hescham — Gouvernement d'Abd el Melek, fils d'El Mansour »), p. 1-9
Article connexe
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- (ar) الأمويون/أمويو الأندلس/بنو أمية في الأندلس- ثم بني حمود, Les Omeyyades d'Andalousie, puis les Hammudites