Allonville — Wikipédia

Allonville
Allonville
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Audrey Boché
2020-2026
Code postal 80260
Code commune 80020
Démographie
Gentilé Allonvillois
Population
municipale
775 hab. (2021 en évolution de +4,45 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 56′ 29″ nord, 2° 21′ 48″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 114 m
Superficie 10,37 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-2
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Allonville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Allonville
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Allonville
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Allonville
Liens
Site web http://www.ville-allonville.fr/

Allonville est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes d’Allonville
Cardonnette Saint-Gratien
Poulainville Allonville Querrieux
Amiens Rivery Camon

Description

[modifier | modifier le code]

Allonville est un village périurbain picard de l'Amiénois jouxtant au nord-est d'Amiens, situé à 21 km au sud-ouest d'Albert et à 24 km au sud de Doullens.

Il est desservi par le tracé initial de l'ancienne Route nationale 319 (actuelle RD 919) qui relie Amiens à Arras.

La commune est desservie par le réseau de transports en commun d'Amiens Ametis.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Allonville[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Allonville est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Voies des communications et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est accessible a une sortie de la route D929 (Rue du Petit Camon)

La commune est desservie partiellement par la ligne 9 du réseau Ametis, certains passages effectuent leur terminus a la ZA La Haute Borne et sont complétées par des TAD pour atteindre la commune.

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), forêts (6,4 %), zones urbanisées (4,6 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Alunvilla en 1147 (Dans le cartulaire de l'abbaye de Saint Laurent)[réf. nécessaire]

Alonville en picard.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom de personne Alo d'origine germanique[12].

Sur l'emplacement d'une ancienne forteresse, Jean Vaysse de Longueval fit construire un château résidentiel. Placé à 110 mètres d'altitude, il dominait du haut de ses tourelles la plaine s'étendant au sud et à l'ouest jusqu'à Camon, Amiens et Poulainville ; à l'est c'était encore une plaine qui se prolongeait en direction de Querrieu, entourée au nord-est et au sud-est par des bois giboyeux.

Le château était en brique et pierre, comportant un rez-de-chaussée et un étage, un corps de logis principal avec pavillon carré formant tourelle à chaque extrémité, et deux corps de logis en retour, terminés eux aussi par un même pavillon, de sorte que les bâtiments formaient les trois côtés d'une cour d'honneur carrée de cent pieds de côté, ouverte au sud vers l'église et le village.

Le château a été habité jusqu'au début du XXe siècle, par les descendants de Jean Vaysse de Longueval, qui avaient pris le nom de Vaysse de Rainneville après la Révolution. Il a été entièrement détruit en 1944.

Le château d'Allonville en 1871.

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Offensive allemande du printemps 1918

[modifier | modifier le code]

Dans la nuit du 30 mai, l'artillerie allemande tirant des obus à shrapnels est guidée vers Allonville par un avion. Dans les premières heures du 31 mai, un canon envoie des obus toutes les cinq minutes sur le village. À cette date la 4e division d'infanterie australienne a établi son quartier général au château d'Allonville. Deux compagnies du 14e bataillon sont cantonnées dans deux grandes écuries. Le troisième ou quatrième obus éclate dans une des écuries, faisant tomber une poutre supportant le toit et causant son effondrement avec une partie des murs sur la compagnie endormie. L'obus tue 13 hommes et en blesse 56 ; ce fut la plus coûteuse explosion dans l'histoire de l'Australian Imperial Force. Le suivant tombe dans l'écurie voisine, explose au sol, faisant 6 morts et 12 blessés de l'autre compagnie.

Les vingt officiers et soldats australiens, morts le , sont inhumés dans le cimetière communal d'Allonville[13].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

De 1790 à 1801, Allonville est l'une des quatorze communes relevant du canton de Querrieux et de sa Justice de paix.

En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an X (), tous les mariages civils du canton de Querrieux sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la Loy du 13 fructidor de l'an VI ().

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune est membre depuis le du district du Grand Amiens, devenu depuis la communauté d'agglomération Amiens Métropole.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Raymond Aubin DVG  
Les données manquantes sont à compléter.
1992[14] 2014 Dominique Capart[15]    
2014[16] 2020[17] Joël Delrue    
juillet 2020[18],[19] En cours
(au 15 mars 2021)
Audrey Boché    

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 775 habitants[Note 3], en évolution de +4,45 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
683633724689770787802762782
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
766724701679653629578534497
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
452436369355340320308341314
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
292318334453560572583579760
2015 2020 2021 - - - - - -
742774775------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population est « tombée » de plus de moitié en un siècle (1850-1950)... remarquable exemple d'exode rural. On note que la population croît de manière dynamique depuis l'effondrement de 1962, mais la population active n'est sans doute plus principalement constituée d'agriculteurs.

Enseignement

[modifier | modifier le code]

L'école Maurice-Choquet accueille les élèves de l'enseignement élémentaire[24].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le monument aux morts, réalisé par Athanase Fossé.
  • L'église Saint-Jean-Baptiste, construite en brique en 1850 dans le style néo-gothique, avec un clocher formant porche. La longueur intérieure est de 24 mètres, la largeur est de 16,65 mètres. Elle comporte six travées dont cinq de nefs séparées par des colonnes et deux bas-côtés. La nef se termine en berceau plein-cintre et le chœur en voûte d'arête. Elle est fermée au public par arrêté municipal, en attente de travaux de sécurisation, des vitraux sont cassés en 2020[25],[26]..
    L'église contient l'apothéose de Jeanne d'Arc, par Athanase Fossé, un haut-relief, représentant Jeanne d'Arc sortant des flammes ardentes du bûcher, enlevée, délivrée par la mort.
  • Oratoire de la Vierge à l'enfant, qui renferme une statue d'un mètre de haut qui pourrait être Notre-Dame Auxiliatrice. la tradition veut qu'elle ait été offerte par des Espagnols au XVIIIe siècle[27].
  • Monument aux morts pour la patrie, par Athanase Fossé, inauguré en 1920 et comprenant un bas-relief de l'allégorie du souvenir : personnage de femme éplorée qui protège les morts de son bras et d'une palme[28].
  • Carré militaire britannique, dans le cimetière communal

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Alphonse Vaysse de Rainneville, député, propriétaire à Allonville ;
  • Marie-Joseph Vaysse de Rainneville, fils du précédent, conseiller général, député, puis sénateur de la Somme, né à Allonville ;
  • Athanase Fossé (1851-1923), sculpteur, né et inhumé à Allonville, décédé à Paris. Nombreuses œuvres à Amiens (hôtel de ville, musées, cimetière de la Madeleine) et à Paris.
Liste de seigneurs d'Allonville

La seigneurie était tenue de la châtellenie de Picquigny, mouvant du comté de Corbie. Les seigneurs en furent :

  • Philippe de Créquy en 1363,
  • Dame Philippe de Crèvecœur, épouse de Charles d'Ailly, baron de Picquigny, vidame d'Amiens. L'usufruit était aux mains de dame Marguerite de La Trémouille, dame d'Allonville, douairière de Crèvecœur en 1507,
  • Marie de May, alliée à Antoine de Saint-Denys, seigneur de Haucourt en 1520 (un prêche fut établi à Allonville en 1581, par Pierre de Saint-Denys),
  • Joachim de Maillefeu en 1620.
  • Jean Vaysse de Longueval (1620-1662), officier à la citadelle d'Amiens, en 1656. Commandant pour le Roy en la citadelle d'Amiens en 1682[29]. Chevalier, il achète la seigneurie et les terres d'Allonville en 1662[30].
  • Jean-Baptiste Vaysse de Longueval (1687-1754)[31].
  • Louis Alexandre Vaysse de Longueval (1729-1804). Le , il achète à Honoré de Barjac, la terre et la seigneurie de Rainneville, ainsi que la seigneurie de Beauvoir l'Abbaye sise à Rainneville pour la somme de 106 000 livres "dont il en a 63 000 livres pour ce qui relève de la châtellenie de Vinacourt, 36 000 livres pour ce qui relève du marquisat de Querrieu et de 7 000 livres pour le moulin de Rainneville...". Louis Alexandre Vaysse devient : seigneur d'Allonville, Rainneville et Beauvoir l'Abbaye (noblesse héréditaire et titres seront abolis par décret voté le par l'Assemblée Constituante).
  • Louis Alexandre Vaysse de Longueval, possédait 1 506 journaux (653 hectares53 ares) sur le terroir d'Allonville et 1 398 journaux (590 hectares) sur le terroir de Rainneville.
    N'ayant pas émigré et résidant de manière permanente en son château d'Allonville, il garda la complète propriété de ses biens.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Inventaire général du Patrimoine culturel. Églises et chapelles des XIXe et XXe siècles (Amiens métropole). Textes : Isabelle Barbedor. Photographies : Thierry Lefébure (collection Parcours du Patrimoine no 331). Lyon : Lieux-Dits, 2008, 72 pages. (ISBN 978-2-914528-47-4).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Allonville » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Allonville et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 923 - (ISBN 2600001336).
  13. Official history of Australia in the war 1914-1918, volume VI (Anzac museum de Villers-Bretonneux)
  14. Dominique Capart, « Le mot du maire », Le Trait d'union (journal municipal),‎ janvier 2008 (n°36) (lire en ligne, consulté le ).
  15. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  17. « Joël Delrue jette l'éponge à Allonville : Le maire de la commune ne se représentera pas aux prochaines élections municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  19. Christophe Niopel, « La maire, Audrey Boché , veut réduire la vitesse à Allonville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle connaît parfaitement les rouages du système pour avoir été, jusqu'en mars dernier, 1re adjointe de l'ancien maire Joël Delrue ».
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Les travaux de l'école ont démarré à Allonville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Vers la création d'une association pour rénover l'église », Courrier picard,‎ , p. 16.
  26. Isabelle Barbedor, « Église paroissiale et ancien cimetière de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste d'Allonville : Dossier IA80002529 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  27. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 187 (ASIN B000WR15W8).
  28. Dominique Guerrini, Jean-Etienne Guerrini, Judith Förstel, Isabelle Barbedor, « Monument aux morts d'Allonville : Dossier IA80000040 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  29. Archives communales d'Amiens : AA 86, folio 307
  30. Dictionnaire archéologique et historique de la Somme
  31. Isabelle Barbedor, « Tombeau (stèle funéraire) des seigneurs d'Allonville : Dossier IM80000847 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).