Amandine Albisson — Wikipédia
Naissance | Marseille |
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Activité principale | Danseuse étoile |
Style | Danse classique Danse néo-classique Danse contemporaine |
Lieux d'activité | Paris |
Années d'activité | Depuis 2006 |
Formation | École de Danse de l'Opéra national de Paris |
Maîtres | Clotilde Vayer Patrice Bart Laurent Hilaire |
Récompenses | Prix du Cercle Carpeaux Prix de l'AROP |
Scènes principales
Amandine Albisson, née le à Marseille, est une danseuse française. Elle est étoile du ballet de l'Opéra de Paris[1].
Biographie
[modifier | modifier le code]Les débuts
[modifier | modifier le code]Amandine Albisson commence la danse en 1993, à l'âge de quatre ans, à Marseille.
École de danse
[modifier | modifier le code]Elle entre à l’école de danse de l'Opéra de Paris en 1999.
En 2003 elle participe aux spectacles annuels de l'école ainsi qu'aux tournées à Cannes et, en 2006, aux Washington.
Elle aborde ainsi ses premiers rôles de soliste dans Péchés de jeunesse de Jean-Guillaume Bart, Divertimento de George Balanchine et Variations Don Giovanni de Maurice Béjart.
Amandine Albisson participe également, pendant sa scolarité, à différentes productions du Ballet de l'Opéra, dont Casse-noisette, La Bayadère, Le Lac des cygnes de Rudolf Noureev ou Paquita de Pierre Lacotte.
Dans le ballet de l'Opéra de Paris
[modifier | modifier le code]Engagée à 17 ans dans le corps de ballet de l’Opéra en 2006, elle est promue coryphée en 2009, sujet en 2010 et première danseuse le [2].
Danseuse étoile
[modifier | modifier le code]Amandine Albisson est nommée étoile[3] le , à l'issue d'une représentation d' Onéguine de John Cranko, où elle interprète le rôle de Tatiana[4].
Répertoire[5]
[modifier | modifier le code]- Apollon musagète de George Balanchine : Polymnie
- Giselle, d'après Jean Coralli et Jules Perrot : pas de deux des paysans
- Rain d'Anne Teresa De Keersmaeker
- In the Middle, Somewhat Elevated de William Forsythe
- Onéguine de John Cranko : Tatiana
- Suite en blanc de Serge Lifar
- L'Après-midi d'un faune de Vaslav Nijinski : la nymphe
- Don Quichotte : la reine des Dryades
- Cendrillon de Rudolf Noureev : une des deux sœurs
- Le Loup de Roland Petit : la Bohémienne et la jeune fille
- L'Arlésienne de Roland Petit : Vivette
- Le Rendez-vous de Roland Petit : la plus belle fille du monde
- Afternoon of a Faun de Jerome Robbins : la jeune fille
- La Sylphide de Pierre Lacotte : rôle-titre
- Psyché d'Alexei Ratmansky : Vénus (2011)
- Paquita : rôle-titre[6].
- Boléro de Maurice Béjart : danseuse (2018)
- Le Lac des Cygnes de Rudolf Noureev : Odette-Odile
- Roméo et Juliette de Sasha Waltz : Juliette
- Notre-Dame de Paris de Roland Petit : Esmeralda
Distinctions
[modifier | modifier le code]Décoration
[modifier | modifier le code]- Chevalier de l'ordre national du Mérite par décret du 21 mai 2021[7]
Récompenses
[modifier | modifier le code]- Prix du Cercle Carpeaux en 2009[8]
- Prix de l'AROP de la Danse en 2013[9]
Références
[modifier | modifier le code]- Amandine Albisson, nouvelle danseuse étoile de l’Opéra de Paris, France Musique.
- Concours interne de promotion 2013 du Ballet de l’Opéra de Paris : résultats des danseuses, récit d'Amélie Bertrand du 9 novembre 2013.
- Ariane Bavelier, « Amandine Albisson, une étoile est née », Le Figaro, (lire en ligne).
- Rosita Boisseau, « Amandine Albisson, l'instinct de la danse », Le Monde, (lire en ligne).
- « Amandine Albisson », sur Opéra national de Paris (consulté le ).
- (en) « Amandine Albisson : la danseuse étoile qui fera vibrer Montréal (ENTREVUE/VIDÉO) », sur quebec.huffingtonpost.ca, HuffPost, (consulté le ).
- « Décret du 21 mai 2021 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite », sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le )
- Prix de danse 2009 du Cercle Carpeaux à Amandine Albisson
- « Prix de la danse AROP 2013 », sur Les chroniques d'un petit rat parisien, (consulté le ).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Modern Muse Moments featuring Amandine Albisson, vidéo, 5:11 min