Ambrières-les-Vallées — Wikipédia
Ambrières-les-Vallées | |||||
Vue du bourg et de l'église Notre-Dame depuis la mairie. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Mayenne | ||||
Arrondissement | Mayenne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bocage Mayennais | ||||
Maire Mandat | Guy Ménard 2020-2026 | ||||
Code postal | 53300 | ||||
Code commune | 53003 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Amboriverain | ||||
Population municipale | 2 623 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 68 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 24′ 08″ nord, 0° 37′ 50″ ouest | ||||
Altitude | Min. 95 m Max. 162 m | ||||
Superficie | 38,78 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Ambrières-les-Vallées (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Mayenne (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gorron | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Mayenne Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire | |||||
Liens | |||||
Site web | www.ambriereslesvallees.mairie53.fr | ||||
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Ambrières-les-Vallées est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 2 623 habitants[Note 1].
Son nom est Ambrières jusqu'en 1910, puis devient Ambrières-le-Grand pour réduire les confusions postales avec la commune homonyme du département de la Marne. En 1972, la commune fusionne avec Cigné et La Haie-Traversaine et prend alors le nom d'Ambrières-les-Vallées. La Haie-Traversaine redevient commune en 1986.
La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.
Géographie
[modifier | modifier le code]C'est un chef-lieu de canton situé à 115 m d'altitude, à 42 km de Laval et 11 km de Mayenne. Ville-porte du parc naturel régional Normandie-Maine et Station verte, elle doit son nom à sa position à proximité du confluent de la Varenne, de la Mayenne et de la Colmont, rivières entre lesquelles elle s'est peu à peu développée.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 851 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Mayenne à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ambrières-les-Vallées est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ambrières-les-Vallées[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mayenne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,5 %), terres arables (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), zones urbanisées (5,7 %), eaux continentales[Note 4] (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations anciennes[15] :
- Ambreras (1080)
- de Ambres (1201)
- de Ambreriis (1024)
- Ambreres (1241)
Selon Lucien Beszard[16], se prononce « anbrer ».
Dans le premier élément du nom, on peut reconnaître le radical de l'hydronyme gaulois ambra, dérivé d'une racine indo-européenne signifiant « eau », « humidité »[17], interprétation justifiée, comme l'écrit l'abbé Angot[18] : « La situation du bourg, entre les deux rivières de la Mayenne et de la Varenne, et si près de leur jonction, donne l'explication étymologique de ce nom ».
Le gentilé est Amboriverain.
Histoire
[modifier | modifier le code]Époque féodale
[modifier | modifier le code]Ambreras en 1080, G. de Ambarils en 1128, Ambieras en 1135, son histoire commence vers 1049. À cette lointaine époque, Guillaume le Conquérant vient de prendre Lassay. Pour répondre aux attaques d'Henri Ier, roi de France et de Geoffroy Martel, comte d'Anjou, il décide de bâtir une forteresse, sur le territoire du baron de Mayenne qui prenait parti pour son adversaire. L'actuel hôtel de ville est élevé sur l'emplacement de cette place forte (1049-1066) assise sur un rocher escarpé et inaccessible du côté de la Varenne et bénéficiant du retranchement naturel de deux vallées et de leurs cours d'eau. Ce château est à l'origine de la ville qui se trouvait à la frontière du Maine et en avant-poste de la Normandie. En 1199 les barons du Maine n’acceptent pas la succession de Jean sans Terre aux possessions angevines de Richard Cœur de Lion. Grâce à l’intervention du jeune Arthur de Bretagne (et avec l’appui de Philippe II August et de Guillaume des Roches) Juhel III de Mayenne reçoit, donc, le château[19]. Les guerres féodales terminées, les habitants vont s'agglomérer près de l'église, sur l'autre rive de la Varenne et c'est là qu'Ambrières prendra réellement son extension.
Du XVIe au XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]Vers la fin du XVIIe siècle, Ambrières est toujours une ville murée ; les vestiges des remparts limitent encore, face à la rivière, la place du château. Le , Anne Leclerc, qui était veuve de Pierre Drouet, juge général de la baronnie d'Ambrières lègue « tous ses meubles, tous ses acquêts, et la tierce partie de ses propres pour la fondation d'un hôpital où il y aura des personnes qui instruiront les jeunes enfants ».
Révolution française
[modifier | modifier le code]Pendant la tourmente révolutionnaire, Ambrières est souvent le théâtre d'opérations menées par Louis de Frotté. Ce dernier, à la tête d'une armée qui a compté jusqu'à 4 000 hommes recrutés pour la plupart dans la région, étendait son action jusqu'à Domfront, Juvigny-sous-Andaine, Pré-en-Pail, Villaines-la-Juhel, Gorron et Mayenne. Sanctionnés par des mesures cruelles, les Chouans se rebellèrent. Le , à 21 heures, « quinze à dix-huit hommes pénètrent dans la ville, massacrant le corps de garde, saisissent le commandant de la garde nationale, tuent sous ses yeux ceux dont ils avaient décrété la mort et l'égorgent le dernier ». On emmène les familles suspectes en prison à Laval ou à Rochefort-sur-Loire et les administrateurs du canton n'osent plus exercer leurs fonctions. Maîtres de la ville de à , les Chouans de Frotté se font payer les fermages des biens nationaux sans oublier d'opérer des réquisitions et d'exiger une rançon de 300 francs de toutes les familles qui ont un fils enrôlé dans la garde mobile. En 1799, la division royaliste d'Ambrières est sous les ordres du baron Armand-Joseph de Commarque, chef d'état-major dans l'armée de Frotté ; on le fusille avec son chef à Verneuil.[citation nécessaire]
Le , la localité subit les assauts d'une épidémie de choléra qui fait dix-neuf victimes en quelques jours. Soignés par les sœurs d'Évron, les malades reçoivent la visite de Mgr Wicart et du préfet de la Mayenne. Le fléau se termina, avec une procession en l'honneur de saint Roch, le .[citation nécessaire]
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Ambrières-les-Vallées se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 2 623 habitants[Note 8], en évolution de −6,25 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La commune d'Ambrières-les-Vallées propose de nombreuses manifestations culturelles notamment par le biais de l'association Au Cœur d'Ambrières, l'association des artisans, commerçants et industriels d'Ambrières-les-Vallées[réf. nécessaire].
Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]- Maine plastiques, transformation de matières plastiques, clôtures et portails pvc et aluminium, 145 emplois[27].
- Ovoteam (groupe Avril), ovoproduits pour l'industrie alimentaire, 81 emplois[27].
- Mayen'Voyages, transports réguliers de voyageurs, 68 emplois[27].
- Corlet roto, imprimerie, 54 emplois[27].
- Sumca, mécanique de haute précision, 49 emplois[27].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune abrite deux monuments historiques :
- L'église Notre-Dame, inscrite par arrêté du [28] ;
- Le moulin de Champs, inscrit par arrêté du [29].
Autres monuments :
- Château d'Ambrières ; fondé vers 1051-1052 par Guillaume le Bâtard, le futur Conquérant qui y établit une garnison, prélude à la conquête du Maine qui interviendra quelques années plus tard : donjon carré flanqué de contreforts[30] ;
- Au sud-ouest, ruines du château de Châteauneuf : donjon carré, flanqué de contreforts ;
- Château du Tertre, dessiné par Eugène Viollet-le-Duc ;
- Musée des Tisserands, inauguré en 1988.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Athanase Auger (1734-1792), écrivain, curé d'Ambrières en 1766 ;
- Robert Julien Billard de Veaux (1773-1846), commanda la division chouanne d'Ambrières ;
- Louis Tanquerel des Planches (1810 à Ambrières-1862), médecin et agronome ;
- Jacques Foccart (1913 à Ambrières-1997), homme politique ;
- Yves Durand (né en 1946 à Ambrières), homme politique socialiste ;
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Mayenne
- Liste des anciennes communes de la Mayenne
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix de guerre
Sources
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Ambrières-les-Vallées », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, A. Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (BNF 34106789, présentation en ligne)
- Marquis de Beauchêne, Histoire d'Ambrières, Monographies des villes et villages de France de Micberth. 1992, réimp. édit. 1929, 14 × 20, br., 120 p. (ISBN 2-87760-858-1)
- Victor Jousset, Ambrières-les-Vallées, mon pays, éditions Charles Corlet, 2001 (ISBN 2-85480-974-2)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Il est autorisé en 1868 à ajouter à son nom patronymique celui de Foccart, et à s'appeler, à l'avenir, Koch-Foccart. Il est un des ancêtres de Jacques Foccart.
- Né le 1er mars 1840 à Brumath, il décède à Monaco le 10 mars 1916. Propriétaire de la Villa Auguste, il hivernait à Monaco depuis une quarantaine d'années. Selon un rapport effectué pour Roger Frey, Louis serait liée à la famille de Monaco et serait le fils naturel de Marie-Amélie de Bade.
- Né le 17 août 1900 à Dol-de-Bretagne, mort le à Ambrières. Industriel paternaliste, il a hérité d'une distillerie qu'il a fait prospérer. Catholique, démocrate chrétienne, notable, père de dix enfants, directeur d'usine dans l'Ouest et le Sud-Ouest de la France. Il s'occupe de diverses œuvres, dont une dans la lutte contre l'alcoolisme. Il est le beau-père de Francis Bouygues.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 86
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambrières-les-Vallées et Mayenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mayenne », sur la commune de Mayenne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mayenne », sur la commune de Mayenne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Ambrières-les-Vallées », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mayenne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Léon Maître, Dictionnaire topographique du département de la Mayenne,1878.
- "Notes de topographie mayennaise", in Bulletin de la commission historique et archéologique de la Mayenne, consultable sur Gallica.
- Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne, Errance (2012).
- Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, 1900-1910.
- « 1199 le vicomte de Thouars s'empare de Tours - Don du château de Langeais à Robert de Vitré par Arthur 1er, duc de Bretagne. - PHystorique- Les Portes du Temps », sur lesportesdutemps.com, (consulté le ).
- « Deux chantiers Argent de poche mis en place cet été », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- https://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Mayenne.-Dominique-Collet-maire-d-Ambrieres-les-Vallees-rejoint-l-UDI_40813-2154870------53147-aud_actu.Htm
- « Ambrières-les-Vallées (53300) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Communauté de communes du Bocage mayennais - Annuaire des entreprises » (consulté le ).
- « Église », notice no PA00109454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin de Champs », notice no PA00135552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94, juillet-août-septembre 2015, p. 41-42 (ISSN 1271-6006).