Artonne — Wikipédia
Artonne | |||||
Mairie. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Riom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Plaine Limagne | ||||
Maire Mandat | Stéphane Houssier 2020-2026 | ||||
Code postal | 63460 | ||||
Code commune | 63012 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Artonnois | ||||
Population municipale | 935 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 00′ 15″ nord, 3° 08′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 334 m Max. 532 m | ||||
Superficie | 17,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aigueperse | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
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Artonne est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Artonne est située au nord du département du Puy-de-Dôme. Les hameaux de Glénat et Bicon sont sur son territoire.
Huit communes sont limitrophes d'Artonne, en incluant le quadripoint avec la commune nouvelle de Chambaron-sur-Morge (ancienne commune de La Moutade)[1] :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 761 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Artonne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (4 %), forêts (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par les routes départementales 985 (ancienne route nationale 685 reliant Aigueperse à Saint-Myon, prolongée par la route départementale 223 vers Combronde et l'autoroute A71), 15 (en direction de Jozerand au nord-ouest) et 22 (reliant Saint-Agoulin au nord à Aubiat au sud-est)[1].
La ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac passe à l'est de la commune. Les gares les plus proches, à Aigueperse et à Aubiat, assurent exclusivement une desserte régionale (TER Auvergne-Rhône-Alpes) entre Gannat, Riom et Clermont-Ferrand.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la ville d'Artonne vient du toponyme gaulois Artodunum qui signifie « forteresse de l'ours » (« arto » voulant dire « ours » en langue gauloise[13])[14]. Il a évolué et s'est simplifié plus tard en Artona.
On trouve plusieurs mentions du nom chez Grégoire de Tours, notamment dans le récit de la visite de saint Martin au tombeau de Vitaline d'Artonne[15], où le lieu est qualifié de vicus : Arthona Arvernensis vicus, vicus Arcthonensis (= « Village arverne d'Artonne »).
Histoire
[modifier | modifier le code]La première mention d'Artonne est faite dans La Vie des Pères de Grégoire de Tours[16] : le roi franc Thierry, qui guerroyait en Auvergne, campe dans des paries situées au-dessous du bourg[17].
Artonne est à l'époque médiévale un centre important du nord de la Basse-Auvergne[18]. Elle fait partie du comté d'Auvergne puis de la principauté de Montpensier qui s'est extirpé du duché d'Auvergne. Avec l'acquisition du territoire auvergnat par les Bourbons, l'actuelle commune passe entre 1531 et 1789, sous l'administration du duché de Bourbon qui a relié à son territoire celui des ducs de Bourbon-Montpensier[19].
Artonne a été chef-lieu de canton de 1793 à 1801. Son canton a depuis été rattaché à celui d'Aigueperse[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune d'Artonne est membre de la communauté de communes Plaine Limagne[9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aigueperse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aigueperse pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[22].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections de 2020
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal d'Artonne, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[23] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[24]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente candidats en lice[25], quinze ont été élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 71,54 %[26].
Chronologie des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont nommés les Artonnois[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 935 habitants[Note 2], en évolution de +6,01 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Artonne dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.
Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique[34]. Ils la poursuivent au collège Diderot d'Aigueperse[35] puis à Riom, au lycée Virlogeux pour les filières générales et STMG ou au lycée Pierre-Joël-Bonté pour la filière STI2D[36].
Il existe aussi une école élémentaire privée (Sainte-Hélène)[34].
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Artonne possède quatre édifices protégés au titre des monuments historiques :
- l'église Saint-Martin d'Artonne (XIIe siècle), classée en 1886[37] ;
- les fontaines du XIIe siècle, situées place Montjoly et Grande-Rue, toutes deux inscrites en 1926[38],[39] ;
- le château du Verger (XVIIe et XVIIIe siècles), inscrit en 2010[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sainte Vitaline : Vitaline vivait au IVe siècle à Artonne, où ses reliques sont toujours conservées. Cette pieuse vierge commit un petit péché de vanité, qui lui valut un passage au purgatoire : le jour du Vendredi Saint, elle se trouva belle. Grâce à la prière de saint Martin, venu se recueillir sur son tombeau, elle entra au paradis. Elle manifesta souvent par la suite sa protection miraculeuse aux Artonnois qui l'honorent désormais le dimanche suivant le 27 mai, jour de sa fête.
- Saint Paterne (VIe siècle) : fêté le 16 avril, souvent confondu avec Patern de Vannes, premier évêque de Vannes. Vers l'an 900, ses reliques furent transférées à Artonne, pour les soustraire aux raids des Normands. Sa châsse se trouve encore dans l'église Saint-Martin. L'itinéraire suivi pour la translation est marqué par un certain nombre de traces : l'ancienne commune de Saint-Paterne dans la Sarthe ; Saint-Paterne-Racan en Indre-et-Loire ; église Saint-Paterne d'Orléans ; faubourg Saint-Paterne d'Issoudun[41].
- La famille Rouher, famille notable d'Artonne au XVIIIe siècle, dont descend Eugène Rouher, ministre de Napoléon III ; son grand-père, Louis Rouher (1735-1812), était notaire royal à Artonne et bailli d'Artonne.
- Abbé Jean-Marie Blancher (1920-2000) : curé d'Artonne pendant 50 ans, de 1949 à 1999.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Marie Blancher, Artonne. Petit précis d'histoire locale, Artonne, Les amis d'Artonne, 1994, 72 p., ill.
- Florent Farges, "L'Abbé Jean-Marie Blancher, dernier curé d'Artonne", Sparsae, n° 89, 1er semestre 2022.
- Ernest Monpied, Artonne et la Révolution, vol. 2 : L'administration municipale du canton d'Artonne, Syndicat d'initiative et d'expansion touristique Brayauds et Combrailles, .
- Annecy Rouher Vaucheret, « Les maires d'Artonne de 1789 à 2008 », Limagne nord, Association Initiative et Idées, no 27, .
- Annecy Rouher Vaucheret, « La vie municipale d'Artonne depuis 1789 », Limagne nord, Association Initiative et Idées, no 28, .
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Artonne sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Artonne sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte d'Artonne sur le site Géoportail de l'IGN.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Artonne et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Artos : (ours) », sur L'arbre celtique : Encyclopédie de l'Arbre celtique, : « Artodunum "Forteresse de l'ours" (Arthun, Loire), (Artonne, Puy de Dôme) [...] ».
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, , 385 p., p. 55-56 (définition de "Artos" : "ours").
- Liber de gloria beatorum confessorum, 5 (en ligne).
- Farges, Artonne, son histoire, le Gonfanon no 67, Argha
- Grégoire de Tours, la Vie des Pères, Saint-Pourçain Abbé (Chapitre V, page 42 paragraphe 2). Texte disponible à la Bibliothèque Universitaire de Clermont-Ferrand sous le code 132 309
- Démians d'Archimbaud Gabrielle, « Le peuplement rural en Basse-Auvergne durant le Haut Moyen Age - Compte-rendu de l'ouvrage de Gabriel Fournier », Annales - Histoire et sciences sociales, (ISSN 1953-8146, lire en ligne).
- Didier Robert de Vaugondy (cartographe) et Elisabeth Haussard (graveur), Gouvernemens généraux de la Marche, du Limousin, et de l'Auvergne (carte), Paris, Robert de Vaugondy fils, (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « CC Plaine Limagne (No SIREN : 200071199) », sur la base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Article L. 252 du Code électoral.
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », Candidatures du 1er tour, sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », Résultats du 1er tour, sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme (consulté le 2 juin 2014).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
- Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 22 (édition du Puy-de-Dôme).
- « Artonne (63460) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Annuaire des établissements scolaires d'Artonne sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
- « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ).
- « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « Eglise Saint-Martin », notice no PA00091870, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine du XIIe siècle », notice no PA00091872, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine du XIIe siècle », notice no PA00091871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château du Verger », notice no PA63000098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jacques Baudoin, Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident, Éd. Créer, 2006, notice no 434, p. 385 : « Saint Paterne » (en ligne).