Avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou — Wikipédia
16e arrt Avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou | |||
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Situation | |||
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Arrondissement | 16e | ||
Quartier | Auteuil | ||
Début | 21, rue de l'Assomption | ||
Fin | 22, avenue du Recteur-Poincaré | ||
Morphologie | |||
Longueur | 79 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Création | 1928 | ||
Dénomination | 1928 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 6283 | ||
DGI | 6362 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris | |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
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L'avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou est une voie du 16e arrondissement de Paris, en France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]L'avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou est une voie publique située dans le 16e arrondissement de Paris. Elle débute au 21, rue de l'Assomption et se termine au 22, avenue du Recteur-Poincaré[1].
Le quartier est desservi par la ligne 9, aux stations Jasmin et Ranelagh.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle doit son nom à Anne-Eugénie Milleret de Brou (1817-1898), fondatrice de l'ancien couvent de l'Assomption, qui y vécut et y mourut[1],[2].
Historique
[modifier | modifier le code]Elle est ouverte, par un arrêté du , sur les terrains de l'ancien couvent de l'Assomption sous la dénomination d'« avenue Milleret-de-Brou »[1].
Par délibération du Conseil de Paris en date des 12, 14 et 15 novembre 2019, elle prend le nom d'« avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou », dans le cadre de la mise en valeur des voies parisiennes portant un nom de femme[3],[4],[5].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- No 4 : ancien hôtel particulier de Henry Goüin, fondateur de la Fondation Royaumont, qui fait agrandir et construire un salon de musique par l'architecte Pierre Barbe en 1932. Il y fait installer un orgue Gonzalez. Son salon de musique devient l'un des plus prisés de Paris[6]. Il est aujourd'hui partiellement détruit[7].
Références
[modifier | modifier le code]- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de Minuit, septième édition, 1963, t. 2 (« L-Z »), « Avenue Milleret-de-Brou », p. 130.
- « Un hommage à la fondatrice des Dames de l’Assomption », La Croix, 29 mai 1928, sur RetroNews.
- « Délibération ».
- « Paris : les rues se féminisent dans la capitale avec la rue Juliette Récamier », sur www.cnews.fr (consulté le ).
- Dénominations rue Marceline-Desbordes-Valmore et avenue Anne-Eugénie-Milleret-de-Brou.
- Jean Roger-Ducasse et Jacques Depaulis, Lettres à Nadia Boulanger, Éditions Mardaga, .
- « Hôtel particulier d'Henri Goüin, avenue Milleret-de-Brou, Paris 16e 1932-1962 », archiwebture.citechaillot.fr.
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des voies du 16e arrondissement de Paris
- Liste des voies de Paris se référant à un nom de femme
Lien externe
[modifier | modifier le code]- Avenue Milleret-de-Brou (mairie de Paris) lien de 2008
- Nomenclature officielle Ville de Paris 2020