Avricourt (Oise) — Wikipédia
Avricourt | |||||
L'église au milieu du cimetière. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat | Roger Parzybut 2020-2026 | ||||
Code postal | 60310 | ||||
Code commune | 60035 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Avricourtois, Avricourtoises | ||||
Population municipale | 241 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 39′ 23″ nord, 2° 51′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 95 m | ||||
Superficie | 7,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Oise Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Avricourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Avricourt est un village rural picard de l'Oise situé à 13 km au nord-ouest de Noyon, 48 km au sud-est d'Amiens, 38 km au sud-ouest de Saint-Quentin et à 60 km au nord-est de Beauvais.
Le territoire de la commune, limité au nord-est par le tracé de l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), forme une plaine couverte de bois vers le sud.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La RD 934 sépare la commune au nord de Margny-aux-Cerises et de Beaulieu-les-Fontaines
Verpillières Somme | Beaulieu-les-Fontaines | |||
N | ||||
O Avricourt E | ||||
S | ||||
Amy | Candor |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Avre, l'Avricourt[1] et le Pavé[2],[Carte 1].
L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune de Amy, à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Avricourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71 %), forêts (22,8 %), zones urbanisées (6,2 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 138, alors qu'il était de 122 en 2013 et de 120 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 79,7 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 14,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Avricourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Avricourt[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 79,7 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,7 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 14,6 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 679 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Avricurtis en 977, Diviscurt en 1146, Diviscort en 1210[16], puis Deviscort, Deniscort, Devicort, Denicourt. À partir du XVIIIe siècle : Auricourt ou Avricourt[17], et Avricourt en 1793[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Selon Émile Coët, sous Ancien Régime, « la terre d'Avricourt relevait de l'évéché de Noyon, qui l'avait érigée en mairie ; les vassaux devaient différents droits féodaux à l'évêque, entre autres : celui d'armoire qui se prélevait sur les jeunes mariés (propotestate exercendi carnalem copulationem cum uxore), le droit de Keut-a-court (couvertures) et celui de fouage [galette cuite)[19] ».
En 1850, la commune disposait d'une école, de deux places publiques, et de cinq hectares de marais communaux[20].
Lors de la Première Guerre mondiale, Avricourt est occupé par l'armée allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne.
La commune est libérée le 18 mars 1917 à la suite du repli allemand « Alberich », mais les habitants ont été déplacés, les « bouches inutiles » vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes.
La commune redevient ainsi française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le , trois jours après une offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre d'évacuation de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation[21].
Avricourt est définitvement libérée le .
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[22] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23].
- Les ruines du château
- L'église (carte postale allemande de 1917)
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Avricourt est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]Le parc éolien de d'Avricourt, Candor et Écuvilly est un ensemble de 12 éoliennes mis en service en 2019 par Volkswind France pour le fournisseur d'électricité SER, ce qui génère une recette fiscale importante pour les communes concernées. L'installation est censée produire assez d'électricité pour alimenter une ville de 24 000 habitants[28].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 2], en évolution de −5,12 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 133 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 52,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Éloi du XVIIIe siècle, la seule du secteur à avoir survécu aux batailles de Noyon lors de la Première Guerre mondiale. L'autel est inscrit[34]. Des opérations de rénovations sont programmées[35] ou en cours, notamment par l'organisation de chantiers de bénévoles par l'association « Concordia ».
- Le château.
En 1850, Louis Graves indiquait qu'il appartenait « à M. le comte de Lourencourt », et était « un bel édifice en briques et chaines de pierre, à haut pignon, qui a été construit en 1540 ; il est orné de deux tourelles et de deux pavillons ajoutés en 1758. On remarque sur la façade exposée au nord, au-dessus des fenêtres, cinq médaillons de ronde-bosse, représentant sans doute des portraits d'anciens seigneurs[20] » .
Pendant la Première Guerre mondiale, cet édifice est rasé en 1917 par l'armée allemande. L'édifice actuel est une grande maison bourgeoise reconstruite avec les dommages de guerre, et il ne reste de l'ancien château qu'une partie des murs d'enceinte et un parc arboré en plein cœur du village[17]. - Monument aux morts, le long de la Route Départementale RD 154[36]. Un monument aux morts allemand de la Première Guerre mondiale, édifié en souvenir des tués du 9e corps d'armée de réserve, a éxisté[37]
- L(église
- Portail de l'église
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]La famille Balny a acheté le titre de noblesse d'Avricourt en 1877[17].
- L'un de ses membres, Adrien-Paul Balny d'Avricourt, mort pour la France à 24 ans lors de la conquête de la Cochinchine et du Tonkin[38], est enterré dans le petit cimetière de la commune. Son nom a été donné à trois vaisseaux de la marine nationale : un torpilleur en 1884, un aviso-aviso-canonnière en 1921 et, en 1970, un aviso-escorteur (Enseigne Balny d'Avricourt)[39],[17].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à un sautoir d'azur, cantonné de 4 merlettes de gueules. | |
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Détails | Depuis 1975, les armoiries des Balny sont celles d'Avricour. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Comte Fernand Balny d'Avricourt, « Avricourt : Les fiefs, le château, les seigneurs, l'église, la commune, annales, statistiques », Bulletin de la Société historique de Compiègne, , p. 152-203 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Avricourt », Les 48 communes, sur cc-pays-sources.fr (consulté le )
- « Dossier complet : Commune d'Avricourt (60035) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Avricourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Avricourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Avricourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Avricourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Avricourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Avricourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Sandre, « l'Avricourt »
- Sandre, « le Pavé »
- Sandre, « l'Avre »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Avricourt et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Avricourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 24.
- Page de la communauté de communes, mentionnée en Liens externes.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 177-181.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 42-43, sur Google Books.
- « Avricourt dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, mémorial 1914 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 2021, p. 2098.
- Fernand Balny d'Avricourt, article mentionné en Bibliographie, p. 198.
- « Les maires de Avricourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Avricourt », Cartes de France (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Les éoliennes poussent et ne font pas plaisir à tout le monde : Les douze premiers mâts du parc d'Avricourt, Candor et Écuvilly, près de Noyon fonctionnent depuis mars. Si là, ce parc est vu comme une aubaine financière par les communes, à quelques kilomètres, dans la Somme, la vision de l'éolien n'est pas la même », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Avricourt (60035) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Avricourt, église Saint-Eloi : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Alexis Bisson, « A Avricourt, 50 000 € pour restaurer la toiture d'une église « inclassable » : La municipalité doit encore trouver 20 000 € pour financer les travaux de l'édifice, qui n'est pas classé aux Monuments historiques », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Martine Aubry, « France (Oise) : Avricourt (60310) », Les monuments aux morts - France - Belgique - Autres pays, (consulté le ).
- « KRIEGERDENKMAL BEI AVRICOURT. ERRICHTET ZUM ANDENKEN AN DIE GEFALLENEN DES 9. RES.-ARMEEKORPS. (Monument aux morts de la guerre à Avricourt. Erigé en souvenir des tués du 9e corps d'armée de réserve) », sur francearchives.fr (consulté le ).
- Adrien-Paul Balny d'Avricourt
- Aviso-escorteur Balny