Boris Bergmann — Wikipédia
Naissance | [1] Paris, France |
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Activité principale | Écrivain |
Distinctions |
Langue d’écriture | français |
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Genres |
Œuvres principales
Viens là que je te tue ma belle, Déserteur, Nage Libre
Boris Bergmann, né à Paris le [2], est un écrivain français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Son premier roman, Viens là que je te tue ma belle, aux éditions Scali, journal imaginaire d'un jeune adolescent qui découvre la nuit et la transgression à travers le rock and roll, reçoit le prix de Flore du lycéen[2]. Ce roman est adapté en 2012 pour Arte par Jean-Stéphane Sauvaire sous le titre de Punk[3],[4], avec Béatrice Dalle, Paul Bartel, Marie-Ange Casta et Bernie Bonvoisin.
En janvier 2010, il publie son second roman, 1 000 Mensonges, aux éditions Denoël : les confidences d'un menteur qui tombe amoureux.
En août 2016, il sort son troisième roman, Déserteur, aux éditions Calmann-Levy : le récit d'un jeune hacker utilisé par l'armée pour programmer les drones dans la guerre contre le califat. Envoyé en mission dans le désert, il sera forcé de prendre part à des actes terribles qui vont le pousser à s'engager et à se faire face pour la première fois[5].
Il a également collaboré à de nombreuses revues littéraires (La Règle du Jeu[6], Edwarda[7], L'écho d'Orphée, Possession Immédiate[8]) ainsi qu'à divers magazines et journaux.
En septembre 2017, il est admis comme pensionnaire de la Villa Medicis, promotion 2017/2018. Son projet porte sur le fanatisme[9].
En janvier 2018, il sort son quatrième roman, Nage libre : l'histoire d'Issa, jeune d'un Paris populaire, qui va se libérer par la nage, la quête de désirs et d'amitié[10]. Nage Libre reçoit le prix littéraire de la vocation 2018[11] ainsi que le prix Révélation de la Société des Gens de Lettres[12].
Œuvre
[modifier | modifier le code]Romans
[modifier | modifier le code]- Viens là que je te tue ma belle, Paris, Éditions Scali, 2007, 159 p. (ISBN 978-2-35012-165-9) ; réédition, Paris, LGF, coll. « Le Livre de poche » no 31064, 2008 (ISBN 978-2-253-12550-1)
- Nous sommes cernés par les cibles, ill. de Gabriel Gay, Paris, Éditions Scali, coll. « Scali Graphic », 2008, 128 p. (ISBN 978-2-35012-249-6)
- 1000 mensonges, Paris, Éditions Denoël, 2010, 117 p. (ISBN 978-2-207-26142-2)
- Déserteur, Paris, Éditions Calmann-Lévy, coll. « Littérature française », 2016, 278 p. (ISBN 978-2-7021-6049-7) ; réédition, Paris, LGF, coll. « Le Livre de poche » no 35120, 2018 (ISBN 978-2-253-07097-9)
- Nage libre, Paris, Éditions Calmann-Lévy, coll. « Littérature française », 2018, 312 p. (ISBN 978-2702161401) – prix littéraire de la vocation
Nouvelle
[modifier | modifier le code]- Dites-le avec des peurs, suivi de La guerre sainte : 1940 par René Daumal, Paris, Éditions Marcel, coll. « Prismes », 2018, 88 p. (ISBN 978-2-9563413-0-7)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Notice de la BnF
- « Boris Bergmann : « À moi de prouver que je ne suis pas un one shot » », sur www.20minutes.fr (consulté le )
- Vincent Ostria, « "Punk" : téléfilm frissonnant », sur Les Inrocks, (consulté le ).
- « Punk (TV Movie 2012) » (consulté le ).
- « "Déserteur" : Boris Bergmann décode la guerre virtuelle », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le Musée imaginaire de l'écrivain Boris Bergmann - La Règle du Jeu », La Règle du Jeu, (lire en ligne, consulté le ).
- Edwarda, « N°6 Précision | Edwarda », sur www.edwarda.fr (consulté le ).
- « Volume 9 », sur Possession Immédiate (consulté le ).
- « Boris Bergmann - pensionnaire Villa Medicis ».
- « Fuir la Zone », Livres Hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
- Christine Barros, « Le Prix littéraire de la vocation couronne Boris Bergmann », ActuaLitté, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le palmarès des prix SGDL Révélation 2018 », sur Livres Hebdo (consulté le ).
Liens externes
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- Ressource relative à l'audiovisuel :
- 1000 Mensonges sur www.angel-a-et-la-litterature.blogspot.com.au