Boulevard de Magenta — Wikipédia

10e arrt
Boulevard de Magenta
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Vue du boulevard de Magenta.
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Situation
Arrondissement 10e
Quartier Saint-Vincent-de-Paul
Porte-Saint-Denis
Porte-Saint-Martin
Début Place de la République
1, rue Beaurepaire
Fin 1, boulevard Marguerite-de-Rochechouart
53, boulevard de la Chapelle
Morphologie
Longueur 1 920 m
Largeur 30 m
Historique
Création 1855-1858 (DUP)
Dénomination 1859
Ancien nom Rue de la Barrière-Poissonnière
Rue du Nord
Boulevard du Nord
Géocodification
Ville de Paris 5835
DGI 5907
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Boulevard de Magenta
Géolocalisation sur la carte : 10e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 10e arrondissement de Paris)
Boulevard de Magenta

Le boulevard de Magenta est situé dans le 10e arrondissement de Paris, en France.

La dénomination fautive « boulevard Magenta » est parfois rencontrée.

Situation et accès

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Situé dans le 10e arrondissement de Paris, quartiers Saint-Vincent-de-Paul, Porte-Saint-Denis et Porte-Saint-Martin, il commence place de la République et 1, rue Beaurepaire, finit 1, boulevard Marguerite-de-Rochechouart et 53, boulevard de la Chapelle. Il relie ainsi les extrémités sud-est et nord-ouest du 10e arrondissement.

Stations de métro

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Une gare portant le nom du boulevard est située à l'est de la Gare du Nord. Elle est desservie par la (RER)(E) sous le nom de Magenta, même si elle n'est pas sous le boulevard de Magenta.

Origine du nom

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Elle doit son nom à la bataille de Magenta, victoire remportée par Napoléon III le durant la campagne d'Italie, en Lombardie, contre les troupes autrichiennes.

Rue de la Barrière-Poissonnière / Rue du Nord

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Une ordonnance royale en date du autorise le percement, sur les terrains appartenant à MM. André et Collier, d'une voie commençant à la rue des Magasins (actuelle rue de Saint-Quentin) et se dirigeant vers la barrière Poissonnière[1]. Elle prit le nom de « rue de la Barrière-Poissonnière » parce qu'elle se dirigeait vers cette barrière, puis en 1833, elle fut renommée « rue du Nord »[2].

Dans les années 1840, la voie partait de la rue des Magasins (au niveau des actuels nos 9 et 11 rue de Saint-Quentin) et finissait à la rue des Abattoirs (actuelle rue de Dunkerque). Cette voie était longue de 303 mètres. Elle se prolongeait alors comme impasse dans la rue des Abattoirs (actuelle rue de Dunkerque), sur une longueur de 193 mètres[2].

Sa largeur fut fixée de la rue des Magasins (actuelle rue de Saint-Quentin) jusqu'à la rue La Fayette, à 12 mètres, et de cette rue à la rue des Abattoirs (actuelle rue de Dunkerque) à 13 mètres[2].

Le dernier numéro impair de la rue était le no 35 et le dernier numéro pair était le no 26[2].

Percement du boulevard

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Dans le cadre de la transformations de Paris sous le Second Empire, Napoléon III approuve un projet visant à créer un boulevard de 1 915 mètres de long reliant le Château d'eau et la barrière Poissonnière (boulevard de Rochechouart). Ce boulevard reprend ainsi le tracé de la rue du Nord qui disparait[5]. Le côté droit de la rue du Nord est toutefois conservé[6].

Les travaux sont engagés immédiatement par le baron Haussmann à l'encoignure droite de la rue de la Douane (actuelle rue Léon-Jouhaux)[7] et à l'encoignure droite de la rue de la Fidélité[6],[8].

En 1855, le percement d'un boulevard de 30 mètres de large, baptisé boulevard du Nord, entre le faubourg-Saint-Martin (rue du Faubourg-Saint-Martin) et la barrière Poissonnière (boulevard de Rochechouart) est déclaré d'utilité publique[9].

En 1858, la Ville de Paris et l'État signe une convention prévoyant le prolongement du boulevard du Nord entre le Château d'eau (place de la République)[10]. Le projet, confirmé par décret la même année[11], est déclaré d'utilité publique en 1859[12].

En 1864, la section comprise entre le boulevard de Strasbourg et le Château d'eau reste à construire[13].

Le boulevard Magenta devint alors la desserte principale de la gare du Nord et sa porte d'entrée majestueuse dans le Paris « moderne », et se peupla d’immeubles haussmanniens aux façades en pierre de taille, murs avec refends et balcon aux deuxième (étage « noble » avant la généralisation de l'ascenseur à la fin du siècle) et cinquième étages, attirant ainsi une population aisée. Les frères Goncourt, dans leur Journal, regrettaient d'ailleurs que ces boulevards rectilignes « ne sentent plus le monde de Balzac ».

Cependant, fuyant la circulation et les nouvelles manufactures qui s’installent à proximité des gares, la bourgeoisie qui, déjà sous Louis XVI, s’était installée à proximité des grands boulevards « historiques » Saint-Martin et Saint-Denis, commence progressivement à s’éloigner du boulevard.

Une chanson de Vincent Scotto évoque dès 1916 le nouveau côté populaire du boulevard : Ell' prend l'boul'vard Magenta[14].

Le boulevard depuis la seconde moitié du XXe siècle

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Dans les années 1980, le boulevard a été transformé en axe rouge, ce qui signifie que le stationnement y est interdit, pour augmenter le nombre des voies de circulation.

Au début du millénaire, la chaussée est à quatre voies avec des trottoirs exigus[15]. La Ville de Paris décide la réduction de la circulation du boulevard qui est transformé en « espace civilisé »[16] et inauguré en  : sous l'impulsion de l'adjointe au maire d'arrondissement Charlotte Nenner[15], 300 ormes ont été plantés sur une double rangée, des couloirs de bus ont été aménagés sur la chaussée et des pistes cyclables ont été créées sur les trottoirs. Ce mouvement va à l'encontre des travaux de voirie des années 1960 pendant lesquels les trottoirs avaient été rétrécis et les arbres déplacés vers les façades pour élargir les voies de circulation automobile, passées de 15 à 20 m de large[17]. Il ne restitue cependant pas l'aspect du boulevard créé par Haussmann, ni l'esprit d'origine[18].

En 2009, il était considéré comme le deuxième axe parisien le plus accidentogène avec 26 accidents et 29 blessés au niveau des rues du Château d'eau et de Lancry, et des cyclistes peu à l'aise sur la piste cyclable en raison de risques de collision avec les piétons sur tout linéaire[19]. Avec le fort développement de la pratique du vélo à compter des années 2010, la largeur de la piste cyclable (1,20 m) qui ne permet pas des dépassements et la proximité du stationnement (avec des risques de chocs à l'ouverture de la portière passagers) ne satisfait plus les cyclistes et les conflits d'usage avec les piétons sont nombreux, la seule amélioration apportée en 2020 avec la mise en contraste de la piste cyclable par une résine verte se révélant insuffisante, ce qui incite les associations de cyclistes à demander la mise en sens unique du boulevard pour y créer des pistes plus larges[20],[15].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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  • No 4[21] : immeuble dans lequel habitait Jacques Bonsergent, premier Parisien fusillé (le ) par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • No 5 : immeuble haussmannien à la cour ouverte sur le boulevard par un porche sculpté par François Théophile Murgey[22], qui travailla à la décoration des appartements de Napoléon III au Louvre.
  • No 6 : emplacement du Wauxhall, salle de bal populaire à la mode anglaise de style néo-gothique construite en 1785 par les architectes Mellan et Moeench. Le Wauxhall fut détruit lors du percement du boulevard Magenta en 1841. Son souvenir existe encore dans le nom de la ruelle qui débute à cet endroit : la cité du Wauxhall.
  • No 7 : immeuble de rapport de 1869 des architectes Jules et Paul Sédille, comportant deux médaillons aux symboles maçonniques. Le premier médaillon comporte les mots « Précision et Liberté » entourant une équerre et un compas ; l’autre comporte la mention « Le beau. Le vrai. L’utile » entourant un flambeau. C'est le lieu de naissance de Nathalie Kraemer, peintre déportée et assassinée à Auschwitz.
  • No 10 : immeuble de rapport de 1869 des architectes Jules et Paul Sédille, à la façade ornée de trois atlantes en gaine sans bras.
  • No 11 : immeuble de 1887 construit par l'architecte Louis Gauché. Les sculptures allégoriques monumentales de la façade représentant la Science, portant le flambeau du savoir, et l'Industrie, en tenue d'ouvrier avec une roue dentée, sont signées Marsiglier et datées de 1879 (et dont les réductions en bronze ont été exposées au Salon de 1880). L'ingénieur Desnos s'y installa ; il était le représentant parisien du rouleau compresseur Bouillant sous la IIIe République et avait d'autres maisons de commerces à Londres, Bruxelles et New York.
  • No 19 : immeuble de 1867-1869 à la façade présentant un décor sculpté à deux consoles, figurant Hercule et le Lion de Némée, construit par l'architecte Paul Sédille, qui y habita. Le sculpteur Henri Chapu (1833-1891) y effectua des ouvrages.
  • No 22 : emplacement du restaurant Véry où l'anarchiste Ravachol a été arrêté le . Pour le venger de la propriétaire qui l'avait dénoncé, les anarchistes y font exploser une bombe le au matin.
  • No 33 : cité de Magenta (1868).
  • No 50 : immeuble haussmannien à la façade décorée de deux cariatides en buste sculptées par Charles Gauthier (1831-1883).
  • No 52 : immeuble haussmannien construit en 1869 par L. Higonet. C'est là qu'est née et qu'habita Ginette Neveu.
  • No 56 : immeuble haussmannien construit en 1866-1867 à la façade décorée d'atlantes sculptés par Sébastien Delarue [2], qui travailla au Palais du Louvre. L'immeuble a été construit en 1866 à l'emplacement des jardins à la française d'une propriété appartenant à un ministre de Louis XV, Pierre Etienne Bougeois, marquis de Boynes, et racheté aux enchères par Jean Honoré Dubail, boulanger, oncle du futur maire de l'arrondissement. La boutique du rez-de-chaussée a notamment été occupée par l'inventeur de la pompe rotative sur brouette, M. Albert Hirt, fils de l'inventeur d'un compteur à eau. Le 56, Magenta a fait l'objet d'une biographie récente écrite par Jean-Claude Grenier, journaliste, racontant la vie de ses anciens habitants dont un juif engagé volontaire étranger dans l'armée française pour lutter contre les nazis, Hirsz Gryfel, un rescapé de la liste Schindler, Majer Rozenblat ou encore la comédienne Alice Dufrêne. Sans oublier une avocate célèbre devenue l'amante d'un espion allemand et poursuivie pour collaboration, Denise Dinten.
Le cinéma Le Louxor en 2015.

Dans la culture populaire

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Dans Le Train 17 publié en 1877, Jules Claretie fait cette description de l'ambiance et des activités du boulevard de Magenta dans les premières années de la Troisième République :

« Par le boulevard Magenta [sic] et les boulevards extérieurs, la place du Théâtre de Montmartre était à deux pas. Martial voulait se hâter, et pourtant il éprouvait une satisfaction profonde à tout regarder autour de lui, à se dire, avec une fierté naïve, qu'il était père, c'est-à-dire que sa propre personnalité lui semblait doublée. Autour de lui, tout semblait joyeux de sa joie. C'était un de ces soirs d'été où après la chaleur du jour, tout le monde sort prendre le frais dans ces quartiers populaires. Les bancs des boulevards étaient occupés par une double rangée de gens, ouvriers en veste, en bourgeron ou en manches de chemise, ouvrières en caraco blanc, qui humaient, sans presque parler, l'air de la nuit. Les cafés, les marchands de vins étincelaient avec leurs consommateurs assis devant des tables, en plein vent. Des groupes heureux marchaient lentement, sous les platanes, et sous leurs pieds on eût dit que le sable crissait joyeusement. Des curieux s'entassaient devant les loteries, où l'on gagnait des porcelaines de rebut, des vases à fleurs peintes à froid, décorées à l'or brillant. On regardait quelque escamoteur qui posait ses gobelets sur son tapis de toile rayée, à franges à demi déchirées. Des marchands de glaces et de guimauves criaient des sorbets à un sou. Un marchand de coco jetait parfois sa note grêle au milieu de ce concert. Une sorte de vapeur faite de poussière, et qui semblait l'haleine même de la terre, enveloppait ce gai tableau d'un beau soir. Il y avait partout des cris d'enfants, jaseurs comme des nids, des petits qui se roulaient, qui couraient, tombaient, se relevaient, riaient ; partout des cerceaux, des ballons. Et cette chanson des gamins se fondait, se perdait dans une sorte de rumeur vague produite par le roulement des fiacres qui passaient des deux côtés du boulevard. […] La lumière du gaz dans les arbres faisait ressembler les feuilles encore fraîches à une dentelle verte[28]. »

Dans la musique "Khouk Travolta" de Mohamed Maazouni, "Khouk Travolta ou saken boulevard Magenta. Nechreb fi Fanta ou nerja fik ya bent ennass".

Notes et références

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  1. a et b Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Ordonnance du 31 janvier 1827 », p. 87-88
  2. a b c et d Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, édition de 1844, p. 487 [lire en ligne]
  3. [« Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe), 37e quartier, Saint-Vincent de Paul, 42e feuille, PP/11929/C », sur archives.paris.fr, Archives de Paris
  4. « Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe), 37e quartier, Saint-Vincent de Paul, 42e feuille, PP/11929/E », sur archives.paris.fr, Archives de Paris
  5. Gustave Pessard, Nouveau dictionnaire historique de Paris, p. 900
  6. a et b Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, édition de 1855, p. 583-584
  7. Plan des abords de la Caserne du Prince Eugène sur Gallica
  8. Boulevard du Nord : partie comprise entre la rue de Chabol et le bd de Sébastopol sur Gallica
  9. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 19 novembre 1855 », p. 293
  10. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Convention du 3 mai 1858 », p. 304-305
  11. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 1er décembre 1858 », p. 309-310
  12. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 12 mars 1859 », p. 311
  13. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 14 septembre 1864 », p. 354-355
  14. Ell' prend l'boul'vard Magenta, musique de Vincent Scotto, paroles de Vincent Scotto et Émile Gitral, Éditions Salabert, 1916, Bibliothèque historique de la Ville de Paris.
  15. a b et c Nathalie Olivier et Alicia Roux, « Mais qui a eu l’idée de mettre une piste cyclable sur le trottoir du boulevard de Magenta à Paris ? », sur leparisien.fr, (consulté le )
  16. Définition de l'espace civilisé donnée par la mairie de Paris. Consulté le 28 juillet 2008.
  17. Frédéric Héran, Le Retour de la bicyclette. Une histoire des déplacements urbains en Europe, de 1817 à 2050, Paris, La Découverte, 2015, p. 74.
  18. Les règlements et les pratiques d'époque ne prévoyaient une double rangée d'arbres que si la largeur de la voie était supérieure à 36 m dans le cas de trottoirs de 11,5 m (arbre à 5 m des façades d'immeuble, 5 m entre arbres, 1,5 m de la rue). Voir à ce propos : Georges Lefebvre, Plantations d'alignement, promenades, parcs et jardins publics : service municipal, P. Vicq-Dunod éditeur, coll. « Bibliothèque du conducteur de travaux publics », 1897, p. 39. Lire en ligne.
  19. Anthony Nataf, « Le boulevard de Magenta toujours aussi décrié et dangereux » », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  20. Olivier Razemon, Le Pouvoir de la pédale, Éditions de l'Échiquier, 2014, 192 p. (ISBN 9782917770597).
  21. Numéro indiqué sur le jugement du tribunal militaire allemand.
  22. [1], cartouche de François Théophile Murgey.
  23. Photo de l'enseigne de l'hôtel par Jacques-André Boiffard dans André Breton, Nadja, in Œuvres complètes, tome 1, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », Paris, 1988, p. 711, http://www.terresdecrivains.com/Sur-les-pas-de-Nadja-et-Andre.
  24. http://archiwebture.citechaillot.fr/awt/asso/FRAPN02_DEBGE_BIO.pdf.
  25. « Cinéma Atlas à Paris », sur salles-cinema.com, (consulté le ).
  26. Le Libre Journal de Serge de Beketch, diffusé sur Radio Courtoisie le 23 février 1994 (écouter en ligne (cf. 21e minute d'émission).
  27. Notice no PA00086484, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Jules Claretie, Le Train 17, E. Dentu, 1877, p. 241-242.

Sources et bibliographie

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  • Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Minuit, , 1583 p. (ISBN 2-7073-1054-9).
  • Gustave Pessard : Nouveau dictionnaire historique de Paris
  • Louis et Félix Lazare : Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments
  • Jean-Claude Grenier, Le 56, Magenta en son quartier, histoire d'un immeuble haussmannien et de ses habitants, (ISBN 978-2-9582555-0-3), dépôt légal : juillet 2022

Articles connexes

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Liens externes

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