Breux-Jouy — Wikipédia

Breux-Jouy
Breux-Jouy
L’hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité CC Le Dourdannais en Hurepoix
Maire
Mandat
Alberto Rodrigues
2020-2026
Code postal 91650
Code commune 91106
Démographie
Gentilé Brojiciens
Population
municipale
1 281 hab. (2021 en évolution de +2,64 % par rapport à 2015)
Densité 274 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 41″ nord, 2° 10′ 40″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 151 m
Superficie 4,68 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dourdan
Législatives 3e circonscription de l'Essonne
Localisation
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Breux-Jouy
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Breux-Jouy
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Breux-Jouy
Liens
Site web http://www.breux-jouy.fr/

Breux-Jouy (prononcé [bʁø ʒui] Écouter) est une commune française située à trente-six kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Il s'agit de là réunion de deux villages distincts : Breux et Jouy. Breux est situé dans la vallée de la Renarde, Jouy dans la vallée de l'Orge. Breux possède l’église et le cimetière, Jouy la mairie et l'école primaire.

Ses habitants sont appelés les Brojiciens[1].

Géographie

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Position de Breux-Jouy en Essonne.

Breux-Jouy est située en Île-de-France, à trente-six kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, vingt-et-un kilomètres au sud-ouest d'Évry, quatorze kilomètres au nord-est d'Étampes, six kilomètres au sud-ouest d'Arpajon, onze kilomètres au sud-ouest de Montlhéry, treize kilomètres au nord-est de Dourdan, quinze kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, dix-sept kilomètres au sud-ouest de Palaiseau, vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-huit kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt.

Elle est par ailleurs située à quatre-vingt-trois kilomètres au sud-est de son homonyme Breux-sur-Avre dans l'Eure[3] et à deux-cent-soixante kilomètres au sud-ouest de son homonyme Breux dans la Meuse[4].

Le point le plus bas de la commune est situé à cinquante-cinq mètres d'altitude et le point culminant à cent cinquante-et-un mètres[5].

La desserte de la commune est assurée par la gare de Breuillet-Village, située sur la branche de Dourdan de la ligne C du RER d'Île-de-France.

Le sentier de grande randonnée 1 traverse le territoire de la commune.

La commune est desservie par la ligne 68.06 du réseau de bus Cœur d'Essonne. Celle-ci fonctionne en semaine en période scolaire permettant aux élèves de venir ou de rejoindre la gare de Saint-Chéron[réf. nécessaire].

Communes limitrophes

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Hydrographie

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L'Orge, et son affluent, la Renarde, traversent la commune.

Elles sont des affluents de la rive gauche de la Seine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontenay-lès-Briis à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Lieux-dits, écarts et quartiers

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Rimoron (ferme et château, près de Saint-Sulpice-de-Favières) - la Soupane (près de Breuillet).

Au , Breux-Jouy est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Brueil vers 1370, Brolium vers 1520[17].

Dérivé du mot gaulois brogi, le mot bas-latin brogilus a le sens de "petit bois enclos"[17], un taillis ou les gibiers pouvaient se réfugier[18].

Breux représente une corruption de breuil[18].

La commune est instituée en 1793 par la Révolution française sous le seul nom de Breux, la dénomination actuelle de Breux-Jouy date de 1976[19],[18].

Les traces d'occupation humaine dans la vallée de la Renarde remontent au Paléolithique moyen (80 000 à 30 000 ans av. J.-C.).

Les Celtes, puis les Gaulois y trouvent d'excellentes conditions de vie. Une tête d'homme en marbre blanc témoigne de l'installation d'une colonne romaine à Rimoron.

La région est christianisée vers le IIIe siècle et la paroisse de Breux existe au XIe siècle.

L’activité agricole se développe, les moulins se multiplient, certains comme celui de Breux en 1380 ont un vivier. Aux XIVe et XVe siècles, la succession ininterrompue de guerres, d'épidémies et de pillages ruine cette prospérité. Il faut tout reconstruire : les petits seigneurs cherchent à entrer dans la clientèle des grands. Ainsi, François de Grancher, seigneur de Breux se place sous la protection de Jeanne de Graville, baronne de Saint-Yon. La terre et la seigneurie de Breux passent au XVIe siècle. la terre et la seigneurie de Breux passent au XVIe siècle aux mains de ses descendants. L’une d'elles, Marie-Charlotte de Balzac d'Entragne cède ses biens à l'Hôtel-Dieu de Paris.

Par suite d'échanges, Breux entre en 1659 dans le marquisat de Baville appartenant à Guillaume de Lamoignon, premier président du Parlement de Paris. Breux vit dans l'orbite de Breuillet jusqu'en 1866, année de la création de l'école de garçons à Jouy -rattaché à Breux pour ne former une seule commune.

Seconde Guerre mondiale

Le 19 août 1944, lors des combats de la Libération de la France, alors que les soldats allemands commençaient à battre retraite, un événement malheureux se produisit au moulin de Breux. Un groupe de sept résistants en attente d'intervention au pont Guérin tira sur une automobile allemande et fut repéré. Il s'ensuivit une opération de représailles : un cadre de la résistance se réfugia au moulin de Breux, où Aldo Vallicelli — d'origine italienne et ayant réussi à échapper au régime de Mussolini — lui proposa de se changer afin qu'il ne fût pas reconnu et proposa de le laisser seul afin de ne pas éveiller de soupçon. Il s'esquiva donc par une fenêtre arrière donnant sur la forêt qu'il connaissait bien. Il fut abattu avant de l'atteindre[20].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Étampes après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Dourdan-Nord de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle intègre le canton de Saint-Chéron [19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Dourdan

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Essonne.

Intercommunalité

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Breux-Jouy est membre de la communauté de communes Le Dourdannais en Hurepoix, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats

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Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums

Liste des maires

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Liste des maires successifs[36].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Jean-Claude Hillion DVD  
2008 mai 2020 Pascale Boudart   Vice-présidente de la CC Le Dourdannais en Hurepoix (2014 → )
mai 2020[37] En cours
(au 8 octobre 2020)
Alberto Rodrigues    

Politique de développement durable

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La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[38].

La commune de Breux-Jouy n'a développée aucune association de jumelage[Quand ?].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 1 281 habitants[Note 4], en évolution de +2,64 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
399453502458433391398408421
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
401383391374404363378350350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
349355395344387429371410488
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5416767839081 0761 2591 2351 2301 233
2017 2021 - - - - - - -
1 2451 281-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 626 hommes pour 623 femmes, soit un taux de 50,12 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,2 
5,9 
75-89 ans
9,2 
17,8 
60-74 ans
16,8 
24,8 
45-59 ans
23,0 
18,5 
30-44 ans
17,2 
15,9 
15-29 ans
14,4 
17,0 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Enseignement

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Les élèves de Breux-Jouy sont rattachés à l'académie de Versailles.

La commune dispose en 2010 sur son territoire de l'école primaire Henri-Le Cocq[44].

Lieux de culte

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La paroisse catholique de Breux-Jouy est rattachée au secteur pastoral des Trois-Vallées-Arpajon et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Martin[45].

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Par le passé, Breux a une vocation exclusivement agricole : y sont pratiquées la culture des céréales et de la vigne, la polyculture maraîchère et surtout la culture des plantes à graines destinées aux établissements Vilmorin, Clause ou Simon. Dans les années 1950 tous ces produits sont écoulés avec difficulté et les terres sont cédés à des Parisiens en mal de verdure. La voie ferrée n'apporte pas de développement industriel mais accroît le nombre de résidents.

Breux-Jouy reste aujourd'hui une commune rurale.

Emplois, revenus et niveau de vie

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 352 , ce qui plaçait Breux-Jouy au 802e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[46].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Breux-Jouy - - - - - -
Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Breux-Jouy - - - - - -
Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[47],[48],[49]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Les berges de l'Orge et de la Renarde, les bois au sud et au nord-ouest et les champs au nord ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[50].

Le château de Baville du XVIIe siècle a été inscrit aux monuments historiques le [51].

Il y a un pont de l'époque romaine sur la Renarde, au niveau de la ferme de Rimoron qui date du XVIe siècle ; elle est située sur les hauts de Breux-Jouy, tout près de Saint-Sulpice.

L'église Saint-Martin XIIIe/XVIe, remaniée aux siècles suivants : portail XIIIe, tympan roman soutenu par deux colonnes à chapiteaux décorés de palmes, tour carrée épaulée de contreforts et coiffée en bâtière ; retables en bois sculpté XVIIe et XVIIIe, lutrin XVIIe.

Personnalités liées à la commune

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Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Breux-Jouy :

Héraldique

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Blason de Breux-Jouy

La commune ne dispose pas de blason.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Breux-Jouy », p. 876–879
  • Simone Rivière, La vallée de la Renarde : Saint-Yon, Boissy-sous-Saint-Yon, Breuillet, Breux, Saint-Sulpice-de-Favieres, La Briche, Souzy, Villeconin, Venant, Boissy-le-Sec, Imprimerie Tardy,

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 01/04/2009.
  2. Orthodromie entre Breux-Jouy et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  3. Orthodromie entre Breux-Jouy et Breux-sur-Avre sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  4. Orthodromie entre Breux-Jouy et Breux sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  5. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Breux-Jouy et Fontenay-lès-Briis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fontenay-les-B. » (commune de Fontenay-lès-Briis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Fontenay-les-B. » (commune de Fontenay-lès-Briis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Breux-Jouy ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
  18. a b et c Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne (91-92-93-94-95), page 100
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. André Garriot "Dourdan et ses environs 1939-1945" Imprimerie Le Cloître 29800 Saint-Thonan, juillet 2008".
  21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  22. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  23. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  24. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
  25. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  26. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  27. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
  28. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  29. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  30. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  31. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
  32. Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  33. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/01/2013.
  34. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 29/06/2009.
  35. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
  36. Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 26/05/2009.
  37. « Breux-Jouy 91650 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  38. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Breux-Jouy, consultée le 27 octobre 2017
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Breux-Jouy (91106) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  44. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 02/09/2010.
  45. Fiche de la paroisse de Breux-Jouy sur le site officiel du diocèse. Consulté le 19/10/2009.
  46. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  47. %5CCOM%5CDL_COM91106.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 09/06/2010.
  48. %5CDL_ZE19901145.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi de Dourdan sur le site de l'Insee. Consulté le 20/05/2010.
  49. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  50. Carte des ENS de Breux-Jouy sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
  51. Notice no PA00088054, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 09/02/2010.