Buc (Yvelines) — Wikipédia
Buc | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Versailles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc | ||||
Maire Mandat | Stéphane Grasset 2020-2026 | ||||
Code postal | 78530 | ||||
Code commune | 78117 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bucois | ||||
Population municipale | 5 920 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 734 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 46′ 25″ nord, 2° 07′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 176 m | ||||
Superficie | 8,07 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Versailles-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Yvelines Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.villedebuc.fr | ||||
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Buc est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Bucois.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune se situe à 21 km au sud-ouest de Paris.
Le vieux village et une partie de la ville se trouve dans la vallée de la Bièvre à une altitude de 100 m environ. La plupart des quartiers résidentiels se trouve sur le plateau de Saclay quelque 50 m plus haut.
Les communes limitrophes en sont Versailles au nord, Jouy-en-Josas au nord-est, Les Loges-en-Josas au sud-est, Toussus-le-Noble au sud, Châteaufort à l'extrême sud-ouest sur environ 400 mètres et Guyancourt à l'ouest.
La commune est traversée selon un axe nord-sud par la route départementale 938 (Versailles - Saint-Rémy-lès-Chevreuse).
Au plan ferroviaire, les stations SNCF les plus proches sont la gare de Versailles-Chantiers et la gare de Petit Jouy - Les Loges.
La commune est desservie par la ligne 307 du réseau de bus Île-de-France Ouest, par les lignes 102, 103, 104, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 117, 118, 260, 261, 262, 263 et 264 du réseau de bus de Vélizy Vallées, par la ligne 105 du réseau de bus Grand Versailles, par les lignes 449 et 456 du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par la ligne 10 du réseau de bus Paris-Saclay et par la ligne FA du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,4 | 3,5 | 5,5 | 8,9 | 12,1 | 13,9 | 13,6 | 10,6 | 8 | 4,5 | 2,1 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 4,2 | 4,7 | 7,8 | 10,6 | 14,1 | 17,4 | 19,6 | 19,4 | 15,8 | 11,9 | 7,4 | 4,6 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 8 | 12,1 | 15,8 | 19,3 | 22,8 | 25,2 | 25,2 | 21 | 15,9 | 10,4 | 7,1 | 15,8 |
Record de froid (°C) date du record | −17,4 17.01.1985 | −12,8 07.02.1991 | −10,2 13.03.13 | −5,1 12.04.1986 | −2 03.05.1967 | 1,6 04.06.1991 | 4,9 09.07.1965 | 4,7 21.08.14 | 1,1 30.09.1995 | −4,2 30.10.1985 | −11,3 30.11.1969 | −14 31.12.1970 | −17,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record | 15,1 28.01.02 | 21,1 27.02.19 | 25,1 31.03.21 | 28,3 20.04.18 | 31,7 27.05.05 | 37,5 21.06.17 | 40,8 25.07.19 | 39,3 12.08.03 | 35,1 09.09.23 | 29,8 01.10.1985 | 20,7 01.11.14 | 16,7 07.12.00 | 40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 55,3 | 46,9 | 49,5 | 49,6 | 68,2 | 55,4 | 53,3 | 58,2 | 52,1 | 61,3 | 60,8 | 66,4 | 677 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Buc est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 17,6 % | 141 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 11,3 % | 91 |
Équipements sportifs et de loisirs | 11,6 % | 93 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 15,1 % | 121 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 1,5 % | 121 |
Forêts de feuillus | 43,0 % | 345 |
Source : Corine Land Cover[11] |
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 2 777, alors qu'il était de 2 340 en 2014 et de 2 124 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 92,2 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 47,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 48,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Buc en 2019 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) supérieure à celle du département (2,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,3 % en 2014), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Buc[I 2] | Yvelines[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 92,2 | 91 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4 | 2,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,7 | 6,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Buscum en 1152[12], de Busco en 1159[13], Buccum entre 1223[12] et 1352, Bucum entre 1458[12] et 1470, Buc au XVIe siècle[14].
Le nom de Buc est issu du germanique *busku variante de bosc (fourré) au sens de « terrain couvert de fourrés, de buissons »[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]- Territoire rattaché au domaine de Versailles en 1660 et fréquenté par Louis XIV lors de ses parties de chasse.
- 1684-1686 : travaux de construction de l'aqueduc de Buc[15].
- 1874-1879 : construction du fort du Haut-Buc.
- : installation de Louis Blériot sur 200 hectares ; il implante son aérodrome privé et, en 1913, une école de pilotage[16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Versailles après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Versailles-Sud[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Versailles-2.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription des Yvelines.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération Versailles Grand Parc, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Au premier tour des élections municipales de 2014 dans les Yvelines, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Jean-Marc Le Rudulier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 347 voix (52,22 %, 22 conseillers municipaux dont 2 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[19] :
- Jean-Marie Danjou (SE, 861 voix, 33,38 %, 5 conseillers municipaux élus) ;
- Philippe Saury (DVD, 371 voix, 14,38 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
Lors de ce scrutin, 38,21 % des électeurs se sont abstenus
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans les Yvelines, la SE menée par Stéphane Grasset obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 224 voix, 52,59 %, 22 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire), devançant de 121 voix celle DVD menée par Juliette Espinos (1 103 voix, 47,40 %, 7 conseillers municipaux élus).
La liste LR menée par le maire sortant Jean-Marc Le Rudulier, qui était arrivée troisième au premier tour, avec 443 voix, s'est retirée et n'a pas participé au second tour.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 46,66 % des électeurs se sont abstenus[20].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]En 2005, la commune a reçu le label « Ville Internet @@ »[24] puis en 2008 et 2010 « Ville Internet @@@ »[25],[26].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Bad Schwalbach (Allemagne) - voir (de) Bad Schwalbach
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Buc héberge le lycée franco-allemand de Buc, l’un des trois lycées franco-allemands et le seul situé en France, délivrant un baccalauréat franco-allemand. La ville possède également trois écoles primaires (une dans le Bas Buc et deux dans le Haut Buc) ainsi que le collège Martin-Luther-King qui propose des classes bi-langues allemand-anglais à partir de la sixième et une section bilingue anglophone. La section anglophone se poursuit au lycée franco-allemand et débouche sur le Baccalauréat OIB.
L'école élémentaire publique Louis-Blériot de Buc possédait durant l'année scolaire 2021-2022 la première place de toutes les écoles de France dans l'indice de position sociale (IPS) avec un indice de 155,6.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2021, la commune comptait 5 920 habitants[Note 4], en évolution de +3,5 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 885 hommes pour 2 973 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Un festival de bandes dessinées s'y tient depuis 1994[réf. nécessaire].
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]L'AOBuc est l'association sportive de la ville. Elle propose football, floorball, tennis, tir, remise en forme, danse.
Le club compte parmi ses adhérents des champions de rameur en salle au niveau national et européen[32].
Le club de floorball évolue en 3e division nationale depuis la saison 2017-2018.
Économie
[modifier | modifier le code]Environ 250 entreprises[Quand ?] sont installées à Buc.
La commune abrite le lycée franco-allemand de Buc, ainsi que l'institut régional du travail social Buc Ressources.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 54 411 €[33].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Jean-Baptiste : église construite en pierre meulière à partir du XIIe siècle, agrandie en 1994. La nef est de style gothique, le clocher de style roman. Dans le clocher, la cloche, fondue et bénie en 1775 et baptisée Louise Auguste Adélaïde par son parrain Louis XVI, est classée monument historique.
- Aqueduc de Buc : construit par Louvois en 1686 pour alimenter le parc du château de Versailles à partir des étangs de Saclay, il comporte 19 arches en pierre meulière, hautes de 21 m, et mesure 580 m de long. Désaffecté, il fut classé monument historique en 1952.
- Château du Haut-Buc : le château ancien était inclus dans le grand parc de Versailles et servit à Louis XIV pour héberger l'un de ses enfants naturels, le comte de Toulouse et duc de Penthièvre, Louis-Alexandre de Bourbon qui emménagea ensuite au Pavillon des Eaux à Louveciennes. Il fut détruit en 1740 sur ordre de Louis XV. Le château actuel, propriété de la commune, a été construit sur l'emplacement vers 1864.
- Fort du Haut-Buc : il fait partie de la ceinture fortifiée de la capitale. Le fort est actuellement utilisé par les forces de l’ordre pour des entrainements.
- Le cœur de Louis Massotte : sur la digue du trou salé, un bas-relief en pierre en forme de cœur évoquant L'as de cœur des Établissements Louis Blériot marque le sol pour signaler l'endroit où le pilote Louis Massotte s'est écrasé le .
- La « Maison du Parc » : située dans le Haut-Buc en surplomb de la mairie et de l’église, cette maison de style Tricotel à l’instar du Wood Cottage situé au Vésinet[34] a appartenu au chimiste Edmond Frémy puis, au célèbre aviateur Louis Blériot.
- Dans le bois des Gonards près de l'aqueduc, le 1er chêne de Louis XIV, âgé probablement de plus de 500 ans, a survécu à la tempête de 1999. Il s'est écroulé de vieillesse dans la dernière semaine de l'année 2004. Le second chêne est toujours debout est visible sur le chemin menant à l'étang de la Geneste.
- Le château du Haut-Buc, façade sud.
- Château du Haut-Buc, façade nord.
- Vue du parc du château du Haut-Buc.
- Église Saint-Jean-Baptiste, vue latérale.
- Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.
- Monument aux morts de la Seconde Guerre mondiale.
Buc dans les arts et la littérature
[modifier | modifier le code]- L'album S.O.S. Météores (1959) d'Edgar P. Jacobs, une des aventures de Blake et Mortimer, se passe à Buc et dans ses environs.
- Buc est citée dans le poème de Victor Hugo : A Virgile
« Pour toi qui dans les bois fais, comme l'eau des cieux, Tomber de feuille en feuille un vers mystérieux, Pour toi dont la pensée emplit ma rêverie, J'ai trouvé, dans une ombre où rit l'herbe fleurie, Entre Buc et Meudon, dans un profond oubli, - Et quand je dis Meudon, suppose Tivoli ! - »
Héraldique
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Buc ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Buc » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Buc - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Buc - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Yvelines » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Buc et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris,Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 731.
- Guy Marie Claise, Dictionnaire de Seine et Oise.
- Source :Nouveau dictionnaire des environs de Paris publié en 1835
- http://www.culture.gouv.fr/documentation/merimee/PDF/sri11/IA78000496.PDF. p. 32
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Buc
- « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Les Maires de Buc de 1790 à aujourd'hui
- « Fiche FRÉMY René », sur cths.fr
- Florie Cedolin, « Yvelines. Elections municipales : le maire sortant jette l’éponge à Buc : Arrivé troisième à l'issue du premier tour, Jean-Marc Le Rudulier, maire sortant de Buc (Yvelines) a décidé de ne pas maintenir sa candidature pour le second tour du 28 juin », 78actu, (lire en ligne, consulté le ) « Sa liste Agir pour Buc était en effet arrivée troisième avec 19,63 % des voix, derrière Stéphane Grasset, Tous ensemble pour Buc (38,41 %) et Juliette Espinos, Pour Buc naturellement (41,96 %) ».
- Palmarès 2005 des Villes Internet sur le site de l'association. Consulté le 01/10/2009.
- Palmarès 2008 des Villes Internet sur le site de l'association. Consulté le 01/10/2009.
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site de l'association. Consulté le 18/12/2009.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Buc (78117) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- « A.O. BUC - REMISE EN FORME », (consulté le ).
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- [1]
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Buc à travers l'aviation, l'aéroparc Louis Blériot, Yvelinédition, mai 2009, (ISBN 978-2-84668-214-5).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Vue aérienne de la commune de Buc sur le site de l'IAURIF
- « Dossier complet : Commune de Buc (78117) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Buc », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Plan d'intendance de la paroisse de Bucq sur le site des archives des Yvelines
- « Buc » sur Géoportail.