Céphée (bateau) — Wikipédia

Céphée
illustration de Céphée (bateau)

Autres noms M919 Fuchsia -  Composante marine
Type Chasseur de mines de type tripartite
Classe Classe Eridan (d)
Histoire
A servi dans  Marine nationale
Commanditaire France, Belgique et Pays-Bas
Chantier naval Béliard à Ostende, Drapeau de la Belgique Belgique
Lancement 20 février 1988
Statut En service
Équipage
Équipage 4 officiers, 32 officiers mariniers, 12 quartiers-maîtres et matelots
Caractéristiques techniques
Longueur 51,50 m
Maître-bau 8,90 m
Tirant d'eau 3,80 mètres
Tirant d'air 21,50 mètres
Déplacement 650 tonnes en pleine charge
Propulsion Moteur diesel Werkspoor-Wärtsilä ARUB 215 V 12
Puissance 1 900 ch
Vitesse 15 nœuds sur propulsion principale, 7 sur propulsion auxiliaire
Caractéristiques militaires
Armement 1 mitrailleuse AA 20 mm F2, 2 mitrailleuses 12,7 mm, 2 mitrailleuses 7,62 mm
Rayon d'action 3 000 milles nautiques à 12 nœuds
Carrière
Pavillon France
Port d'attache Brest
Indicatif M652

Le Céphée (M652) est un chasseur de mines de la Marine française. Sa ville marraine est Versailles. Avant d'être revendu à la France en 1997, il opéra jusqu'en 1993 dans la Marine belge sous l'appellation M919 Fuchsia.

Histoire et missions

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Le Céphée est un chasseur de mines de la classe Tripartite également appelée en France type Eridan du nom du bateau tête de série. Il a été construit pour la marine belge avant d'être vendu à la France. Il est basé à Brest et parrainé par la ville de Versailles depuis 2003.

Ses missions sont « la détection, la localisation, la classification, l'identification puis la destruction ou neutralisation des mines par fonds de 10 à 80 mètres, le guidage des convois sous menace de mines et la pénétration sous la mer, la recherche d'épaves »[1].

Comme les autres bateaux de la classe Tripartite, le Céphée dispose de trois turbines à gaz Turbomeca Astazou IVM1 disposées au-dessus de la ligne de flottaison afin de diminuer sa signature acoustique. En 2020, il est prévu que le Céphée sera désarmé avant 2029 comme pour les 8 autres bateaux de sa classe encore en service[2].

Références

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  1. Citation tirée du site de la marine française
  2. « Florence Parly à la découverte du futur système franco-britannique de lutte contre les mines », sur lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr (consulté le )

Liens externes

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