Christian Estèbe — Wikipédia

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Christian Estèbe
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Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
François Christian EstèbeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Distinction
Prix Jean-Carrière (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Christian Estèbe, né le [1] à Montpellier et mort le à Marseille, est un romancier français[2]. Il a été successivement représentant pour des maisons d'édition, bibliothécaire et libraire. Il commence son œuvre romanesque en 1982, à 29 ans, et sera consacré par différents prix à partir de 2012[3].Il a aussi été animateur de revues littéraires d'Audience mobile à La Termitière.

À cinquante-neuf ans, marqué par la mort de sa mère[4], il décide d'écrire sur leur relation dans La gardienne du château de sable, qui remporte deux prix littéraires.

Bibliographie

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  • Piano bar, Lunot-Ascot Éditeur, 1982
  • La prière du guetteur, Presses de la renaissance, 1989
  • Messe de granit, Le Temps qu'il fait, 1991
  • Les jours de la barque, Le temps qu'il fait, 1997[5]
  • Petit exercice d'admiration (Promenade avec Marc Bernard), Éditions Finitude, 2007[6]
  • Le petit livre de septembre, Éditions Finitude, 2008[7]
  • Des nuits rêvées pour un train fantôme, Éditions Finitude, 2010
    sélectionné pour le Prix Wepler[3]
  • La gardienne du château de sable, Éditions Finitude, 2012[4],[8]
    Prix Jean Carrière 2012 et Prix Morlino 2012
  • Toutes les barques s'appellent Emma, Éditions Finitude, 2014.
  • Les cicatrices des larmes, La Part Commune, 2018.
  • La vie fugitive mais réelle de Pierre Lombard, VRP, Éditions Finitude, 2020 puis J'ai Lu 2022.
  • Le palanquin des caïds, Serge Safran Editeur, 2021.

Notes et références

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  1. ↑ État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. ↑ « Décès de l'écrivain Christian Estèbe, le splendide romancier VRP », sur ActuaLitté.com (consulté le )
  3. ↑ a et b « Christian Estebe », sur Premiere
  4. ↑ a et b Le Prix Morlino 2012
  5. ↑ René de Ceccatty, « L'élégance du peu », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. ↑ Pierre-Robert Leclercq, « Marc Bernard, un prolétaire indocile », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. ↑ Martine Laval, « J'veux pas y aller », Télérama,‎ (lire en ligne)
  8. ↑ « La gardienne du château de sable », Culturebox,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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