Clémery — Wikipédia

Clémery
Clémery
Le château.
Blason de Clémery
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité CC de Seille et Grand Couronné
Maire
Mandat
Lina Rustom
2022-2026
Code postal 54610
Code commune 54131
Démographie
Gentilé Les Loups
Population
municipale
494 hab. (2021 en évolution de −2,37 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 41″ nord, 6° 11′ 11″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 226 m
Superficie 9,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Entre Seille et Meurthe
Législatives 6e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Clémery
Géolocalisation sur la carte : France
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Clémery
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
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Clémery
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Clémery

Clémery est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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Localisation

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Clémery est un village lorrain situé à 10 km à Vol d'oiseau à l'est de Pont-à-Mousson, 26 km au sud de Metz et 22 km au nord de Nancy.

La commune se trouve dans la zone d'emploi de Nancy et dans le bassin de vie de Pont-à-Mousson[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Belleau, Landremont, Nomeny, Port-sur-Seille, Rouves et Sainte-Geneviève.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 9,45 km2 ; son altitude varie de 179 à 226 mètres[1].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Clémery[Note 1].
L'étang de Clémery.

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Seille, le ruisseau de Greve, le ruisseau de l'Étang de Manoncourt-Sur-Seille et le ruisseau de Thiebaupont[2],[Carte 1].

La Seille, d'une longueur de 138 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans divers bras mort de la Moselle à Metz, après avoir traversé 57 communes[3]. Les caractéristiques hydrologiques de la Seille sont données par la station hydrologique située sur la commune de Nomeny. Le débit moyen mensuel est de 7,55 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 120 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 125 m3/s, atteint le même jour[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « M.n.l. », sur la commune de Goin à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 678,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 3],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Clémery est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,5 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,3 %), forêts (17,6 %), prairies (6,3 %), zones urbanisées (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

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En 2016 et 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 195, alors qu'il était de 188 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 94,9 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Clémery en 2021 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) par rapport au département (2,2 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Clémery en 2021.
Typologie Clémery[I 3] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,9 88,6 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 2,2 9,7
Logements vacants (en %) 3,6 9,2 8,1

Un acte de 1416 mentionne le château-fort, que le duc Charles II de Lorraine avait occupé pour empêcher le duc de Édouard III de Bar de s'y installer.[réf. nécessaire]

Temps modernes

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La terre et seigneurie de Belleau, unie au village de Clemery & de Begnicourt, est érigée en marquisat, sous le nom de du Hautoy, par lettres patentes du , registrées en la Chambre des Comptes de Bar le 1er avril suivant, en faveur de Jean-Baptiste Gaston, comte du Hautoy, seigneur de Clemery, chambellan du duc Léopold Ier de Lorraine[16].

En 1635, les Croates et les Polonais prennent le château le 1er septembre ; le maréchal François de L'Hospital l'assiège immédiatement, et, après trois jours, le reprit le 12 octobre.[réf. nécessaire]

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Nancy du département de Meurthe-et-Moselle[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nomeny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Entre Seille et Meurthe[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

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Clémery était membre de la communauté de communes de Seille et Mauchère, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Grand Couronné pour former, le , la communauté de communes de Seille et Grand Couronné, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1878 1882 Charles-Louis Béjeaud Républicain modéré Créateur de la Dentellerie de la Renaissance
1882 1896 Étienne de Ladoucette[18],[19] Appel au peuple Baron, Conseiller d'État
Député de Meurthe-et-Moselle (1876 → 1881)
Député des Ardennes (1881 → 1885 et 1889 → 1893)
Conseiller général d'Audun-le-Roman (1871→ 1880)
Vice-président du Syndicat central des agriculteurs de France
Ordre national de la Légion d'honneur
         
1910 1913 Fernand Thibault de la Rochethulon Conservateur Général de Brigade de cavalerie, beau-frère d'Étienne de Ladoucette
Conseiller général de Nomeny (1903 → 1910)
Chevalier de l’Ordre de Pie IX
1913 1920 Georges de Moustier   Comte, capitaine de Cavalerie
Gendre de Fernand Thibault de la Rochethulon
         
1983 2004 Pierre Viaud[20]   Démissionnaire
avant 2006 mai 2020[21] Lucien Gigleux    
mai 2020[22] septembre 2022[23] Jean-Claude Grasser DVD[24] Cadre retraité
Démissionnaire
décembre 2022[25] En cours
(au 14 septembre 2024)
Lina Rustom   Employée retraitée

Population et société

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Les habitants sont dénommés Les Loups[26], en référence à Saint Loup, patron de la paroisse.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 494 habitants[Note 4], en évolution de −2,37 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
310414452507572536541572568
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
567530504495508466463451411
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
406367318283279263190235262
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
262216256315404473495517506
2020 2021 - - - - - - -
496494-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 494 habitants[Note 4], en évolution de −2,37 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
310414452507572536541572568
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
567530504495508466463451411
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
406367318283279263190235262
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
262216256315404473495517506
2020 2021 - - - - - - -
496494-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le village qui comptait environ 500 habitants aux XVe et XIXe siècles n'en comptait plus que 6 après la peste du XVIe siècle.[réf. nécessaire]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalité liée à la commune

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  • Le Maréchal Gérard Christophe Michel Duroc (1772-1813), achète le château en 1808 aux trois filles de Charles Henry du Hautoy et de Louise Joséphine de Chérisey.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Clémery Blason
D'argent au chef de gueules chargé d'une aigle d'or.
Détails
Ce sont les armes des anciens seigneurs de Clémery. Cette famille d'ancienne chevalerie portait le nom du lieu et s'éteignit au XVIe siècle.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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  • « Clémery », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:04 TU à partir des 662 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1969 au 01/04/2024.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. a et b Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Clémery » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale de Clémery », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. Sandre, « la Seille »
  4. « Station hydrométrique La Seille à Nomeny », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Clémery et Goin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Dict. de la Noblesse, La Chesnay-Desbois 1774.
  17. « Histoire de Clémery », La commune de Clémery, sur https://www.clemery.fr (consulté le ).
  18. « Cote L1430067 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  19. « Etienne, Charles de Ladoucette (1844-1912) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  20. « Ces maires qui font grandir leur village », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « En juillet dernier, Pierre Viaud, ancien maire de Clémery, disparaissait. Un décès qui a donné l’occasion à Lina Rustom, maire actuelle, et au conseil municipal de se pencher sur les réalisations de cet homme d’engagement qui fut maire de 1983 à 2004 ».
  21. « Lucien Gigleux ne briguera pas un nouveau mandat », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Après 37 ans au service de la population, il est temps de laisser la place aux autres » explique le maire de Clémery ».
  22. « Jean-Claude Grasser, nouveau maire de la commune », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  23. « Le maire Jean-Claude Grasser jette l’éponge », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « C’est maintenant officiel : la préfecture a accepté la démission de Jean-Claude Grasser de son mandat de maire. Les causes de ce retrait à mi-mandat sont multiples et profondes ; elles font écho à beaucoup de situations similaires dans les petites communes ».
  24. https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-54-02-3-acc.pdf
  25. « Lina Rustom est élue maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  26. « Enquête sur le nom des habitants. Bassin mussipontain : dis-moi où tu habites, je te dirai qui tu es ! », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Château », notice no PA00106011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Jérôme Bourguignon, « Michel Collin dit Clément XV, le pape du petit Vatican », L'Est républicain,‎ 15/12/2013 mis à jour le 22/8/2016 (lire en ligne, consulté le ).