Claire Atherton — Wikipédia

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Claire Atherton
Biographie
Naissance
Nationalités
Formation

Institut National des Langues et Civilisations Orientales, Paris

Institut des Langues Étrangères, Pékin

École Louis-Lumière, Paris
Activité
Montage cinéma, conception d'installations vidéo
Fratrie
Autres informations
Distinction
Vision Award Ticinomoda 2019

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Claire Atherton, née en 1963 à San Francisco, est une monteuse française et américaine, reconnue pour son travail central dans l'œuvre de Chantal Akerman et pour ses collaborations avec divers cinéastes internationaux.

Biographie

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Jeunesse et formation

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Née en 1963 à San Francisco, aux États-Unis, Claire Atherton a grandi à Paris. Elle est la fille de Ioana Wieder, réalisatrice française d’origine juive roumaine, et de John Atherton, universitaire américain[1]. Sa sœur est la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton.

Intéressée par la philosophie taoïste[2] et l'aspect visuel des caractères chinois[3], elle séjourne en Chine en 1980 à l'Institut des Langues Étrangères de Pékin, puis poursuit ses études en langue et civilisation chinoises à l'Institut National des Langues et des Civilisations Orientales (INALCO) à Paris[4]. En parallèle, elle intègre le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir à sa création en 1982, où elle travaille comme technicienne vidéo[5]. Elle fréquente ensuite l'École nationale supérieure Louis-Lumière dont elle sort diplômée en 1986. Elle commence par travailler à l'image et au son, collabore notamment avec Delphine Seyrig et Carole Roussopoulos sur des productions du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, et participe à divers autres projets. C'est à partir des années 1990 qu'elle se consacre entièrement au montage.

Rencontre avec Chantal Akerman

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Elle rencontre Chantal Akerman en 1984 à l'occasion de l'adaptation au théâtre de Letters Home: Correspondence 1950–1963 (en) de Sylvia Plath, interprétée par Delphine Seyrig. L'actrice, qui est alors présidente du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, demande à Claire Atherton d’assister Chantal Akerman pour filmer la représentation[6],[7],[8],[9]. « J'ai tout de suite senti quand on a commencé le montage que cela allait être le début d'une longue histoire entre Claire et moi »[10]. Akerman et Atherton travailleront ensemble pendant plus de trente ans, d'abord à l'image puis au montage, sur les documentaires, fictions et installations de la cinéaste[11],[12]. Leurs dernières collaborations sont le long métrage No Home Movie[13],[14] et l'installation NOW[15], présentée à la Biennale de Venise en 2015[16],[17].

Activités

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Claire Atherton travaille également avec de nombreux réalisateurs et artistes. Parmi eux Luc Decaster, Noëlle Pujol[18], Emilio Pacull, Andreas Bolm, Emmanuelle Demoris, Elsa Quinette, Christophe Bisson (en), Éric Baudelaire, Wang Bing, et bien d'autres[19]...

Claire Atherton est souvent invitée à partager son expérience à l'occasion de master classes, séminaires et workshops, notamment dans des écoles d'art ou de cinéma. Elle écrit aussi régulièrement des textes, publiés dans des ouvrages spécialisés[20] et parfois mis en ligne[21]. Son texte « L'art du montage »[22] figure notamment dans l'ouvrage Montage, une anthologie[23] co-édité par la HEAD et le MAMCO[24].

En novembre 2023, Claire Atherton est invitée à concevoir une exposition d'œuvres de Chantal Akerman pour La Virreina Centre de la Imatge[25] à Barcelone. Facing The Image est la première exposition dont elle est curatrice[26].

Par ailleurs, Claire Atherton est aujourd'hui responsable de la conception et de la mise en espace des installations de Chantal Akerman lors de leurs expositions en France et à l'international[27],[28].

Distinctions et reconnaissance

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En 2013, la Cinémathèque de Grenoble propose une programmation dédiée à son travail de monteuse[29],[30].

À l'occasion de la 72ème édition du Festival international du film de Locarno, Claire Atherton reçoit le Vision Award (en)[31]. Elle est la première femme à recevoir ce prix qui récompense, depuis 2013, des personnalités qui « par leur travail en coulisses et leurs créations, ont contribué à élargir l'horizon du cinéma ».

Filmographie

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Claire Atherton a monté plus de 80 œuvres, des courts et des longs-métrages, des films d’art, des films expérimentaux, des documentaires mais aussi des installations vidéo[32]. Elle est particulièrement reconnue pour sa collaboration avec Chantal Akerman, mais elle a également travaillé avec de nombreux autres réalisateurs et artistes français et internationaux.

Chantal Akerman

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En 2007, Chantal Akerman évoquait sa collaboration avec Claire Atherton au montage de ses films : « On est tellement en osmose que parfois on n’a même pas besoin de se parler. (…) Par exemple, prenez un plan, la longueur d’un plan. On regarde et toutes les deux, on tape sur la table au même moment : on voit les mêmes choses, on sait en même temps quand il faut arrêter. (…) Il n’y a rien de logique dans la longueur d’un plan. Ce n’est que senti. Et c’est une merveille de trouver quelqu’un qui sent comme vous. »[33]

En parallèle du travail sur les films, Claire Atherton collabore étroitement aux installations vidéo[34] que Chantal Akerman conçoit dès 1995[35] et qui leur permettent de penser « un montage qui ne serait plus seulement temporel mais aussi spatial »[36]. Elle est aujourd'hui responsable de leur mise en espace à l’occasion d’expositions dont elles font l’objet en France et à l’international[37],[38],[39].

En 2015, avant la projection en avant-première de No Home Movie à la Cinémathèque française, Claire Atherton a prononcé un texte qu’elle a écrit en hommage à Chantal Akerman[40].

Films



Installations (montage et mise en espace)

  • 1995 : D’Est, au bord de la fiction’'[46]
  • 1995 : Le 25e écran[47]
  • 1998 : Selfportrait / Autobiography: A Work in Progress[48]
  • 2001 : Woman Sitting After Killing[49]
  • 2002 : From the Other Side[50]
  • 2002 : A voice in the Desert[51]
  • 2003 : From the Other Side, Fragment[52]
  • 2004 : Marcher à côté de ses lacets dans un frigidaire vide[53]
  • 2007 : La Chambre[54]
  • 2007 : Je tu il elle[55]
  • 2007 : In the Mirror[56]
  • 2008 : Femmes d’Anvers en Novembre[57]
  • 2009 : Maniac Summer[58]
  • 2009 : Tombée de nuit sur Shanghai
  • 2012 : Maniac Shadows[59]
  • 2010 : My Mother Laughs, Prelude[60]
  • 2014 : De la mèr(e) au désert[61]
  • 2015 : NOW’’



Collaborations régulières

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Parmi les réalisateurs et artistes avec lesquels Claire Atherton a régulièrement collaboré, on peut citer Emilio Pacull, Noëlle Pujol, Luc Decaster[62], Éric Baudelaire, Andreas Bolm et Christophe Bisson.

Autres collaborations notables

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En 2007, elle signe le montage des parties « Coeur » et « Oh la nuit » du documentaire Mafrouza d’Emmanuelle Demoris[63].

En 2023, elle est la monteuse du film Man in Black de Wang Bing (sélection officielle Cannes 2023)[64].

Filmographie (tous les films)

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  • 1984 : Le Centre Flora Tristan, Hélène Bourgault
  • 1986 : Letters Home, Chantal Akerman
  • 1986 : Rue Mallet-Stevens, Chantal Akerman
  • 1986 : Le Marteau, Chantal Akerman
  • 1989 : Marguerite Paradis, Chantal Akerman
  • 1992 : Igor, Jean-François Gallotte
  • 1992 : Le cinéma est mort vive le cinéma, Emilio Pacull
  • 1993 : D'Est, Chantal Akerman
  • 1993 : Les Profiteroles, couples mixtes à Cuba, Emilio Pacull
  • 1994 : Le Gamelan, Alain Jomy
  • 1994 : Les Colonnes d’Hercule, Emilio Pacull
  • 1994 : Le Cinéma européen, Emilio Pacull
  • 1996 : Un divan à New York, Chantal Akerman
  • 1996 : Chantal Akerman par Chantal Akerman, dans Cinéma, de notre temps
  • 1996 : Les Collèges en Seine Saint-Denis, Emilio Pacull
  • 1997 : Héros désarmés, Béatrice Kordon et Sylvie Ballyot
  • 1997 : Le jour où…, Chantal Akerman
  • 1997 : Ouganda, l'enfance kidnappée, Emilio Pacull
  • 1997 : L’Épousée, Françoise Grandcolin
  • 1998 : Emma, tribu kanak d’aujourd’hui, Emilio Pacull
  • 1999 : Sud, Chantal Akerman
  • 1999 : Km 250, Anne Faisandier
  • 2000 : La Captive, Chantal Akerman
  • 2001 : Rêve d’usine, Luc Decaster
  • 2001 : Filles de nos mères, Séverine Mathieu
  • 2002 : De l'Autre Côté, Chantal Akerman
  • 2002 : Avec Sonia Wieder-Atherton, Chantal Akerman
  • 2003 : Demain on déménage, Chantal Akerman
  • 2004 : Opération Hollywood, Emilio Pacull
  • 2004 : Autour d'hier, aujourd'hui et demain, Chantal Akerman
  • 2005 : Là-bas, Chantal Akerman
  • 2005 : Héros fragiles, Emilio Pacull
  • 2006 : Portrait de Pascale, menuisière, Séverine Mathieu
  • 2006 : Rien n’a été fait, Noëlle Pujol et Ludovic Burel
  • 2006 : Du sucre et des fleurs dans nos moteurs, Jean-Michel Rodrigo
  • 2007 : Entretiens avec Babette Mangolte, Natalia Akerman, Aurore Clément, coffret Chantal Akerman les années 70
  • 2007 : Mafrouza « Cœur », Emmanuelle Demoris
  • 2007 : Mafrouza « Oh la nuit », Emmanuelle Demoris
  • 2008 : Mr President, Emilio Pacull
  • 2008 : L'Écume des mères, Séverine Mathieu
  • 2008 : Tous les enfants sauf un, Noëlle Pujol et Andreas Bolm
  • 2008 : Fantaisie pour un château d’eau, Noëlle Pujol
  • 2008 : Décor vidéo de Chantal Akerman pour I am a mistake de Jan Fabre
  • 2008 : A l'Est avec Sonia Wieder-Atherton, Chantal Akerman
  • 2009 : Tombée de nuit sur Shanghai, Chantal Akerman
  • 2009 : Petites Histoires de mères, Séverine Mathieu
  • 2009 : Dieu nous a pas fait naître avec des papiers, Luc Decaster
  • 2009 : Ceux de Primo Levi, Anne Barbé
  • 2010 : Histoire racontée par Jean Dougnac, Noëlle Pujol
  • 2010 : Sorcières mes sœurs, Camille Ducellier
  • 2010 : Détroit ville sauvage, Florent Tillon
  • 2010 : On est là, Luc Decaster
  • 2011 : La vie est Ailleurs, Elsa Quinette
  • 2011 : La Folie Almayer, Chantal Akerman
  • 2011 : Les Revenants, Andreas Bolm
  • 2011 : Avenue Rivadavia, Christine Seghezzi
  • 2012 : Noctambules, Ilham Maad
  • 2012 : Décor vidéo pour La Jungle des villes, Bertolt Brecht (Roger Vontobel)
  • 2012 : Hungry Man, Philippe Martin
  • 2013 : Au monde, Christophe_Bisson
  • 2013 : Effacée’’, Anna Feillou
  • 2013 : Si j’existe je ne suis pas un autre, Marie Violaine Brincard et Olivier Dury
  • 2014 : Qui a tué Ali Ziri ?, Luc Decaster
  • 2014 : Histoires de la plaine, Christine Seghezzi
  • 2015 : No Home Movie, Chantal Akerman
  • 2015 : Aux Capucins, Anna Feillou
  • 2016 : Jumbo/Toto, histoires d’un éléphant, Noëlle Pujol
  • 2016 : Le Juge, Andreas Bolm
  • 2016 : Silêncio, Christophe Bisson
  • 2016 : Danse avec l’écume, Luc Decaster
  • 2017 : Also Known As Jihadi[65], Éric Baudelaire
  • 2018 : Walked the Way Home, Éric Baudelaire
  • 2018 : Altérations / Kô Murobushi, Basile Doganis
  • 2018 : Les Cavaliers Fantômes, Christine Seghezzi
  • 2019 : Un film dramatique[66], Éric Baudelaire
  • 2020 : The Glove (court métrage), Éric Baudelaire
  • 2020 : Le Chant des Oubliés, Luc Decaster
  • 2021 : When There Is No More Music to Write, Éric Baudelaire
  • 2021 : Une Fleur à la Bouche, Éric Baudelaire
  • 2021 : Les lettres de Didier, Noëlle Pujol
  • 2021 : Un souvenir d'archives, Christophe Bisson
  • 2022 : Intermède, Maria Kourkouta
  • 2023 : Man in Black, Wang Bing (sélection officielle Cannes 2023)
  • 2023 : A la lueur de la chandelle (Sob a chama da candeia), André Gil Mata
  • 2023 : Regarde avec mes yeux et donne-moi les tiens, Noëlle Pujol
  • 2024 : Fogo do Vento, Marta Mateus

Filmographie (image)

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  • 1988 : 1re assistante opérateur sur Histoires d’Amérique de Chantal Akerman
  • 1988 : 1re assistante opérateur sur L’institut du monde Arabe
  • 1988 : Chef opératrice sur Marguerite Paradis de Chantal Akerman
  • 1988 : 1re assistante opérateur sur Notes pour Debussy de Jean-Patrick Lebel
  • 1990 : Chef opératrice sur Igor de Jean-François Gallotte

Voir aussi

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Textes publiés

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  • 2015 : « Hommage à Chantal Akerman »[67]. Texte écrit et lu par Claire Atherton à la Cinémathèque française à Paris, le 16 novembre 2015, à l’occasion de la projection du film No Home Movie. Ce texte a été mis en ligne en 2020 par la revue Sabzian[40]. Une traduction (par Felicity Chaplin)[68] a été publiée dans le volume 34-1 de la revue Camera Obscura : Feminism, Culture and Media Studies[69].
  • 2018 : « L’art du montage ». Texte publié dans le numéro 82 de la revue Vacarme (disponible en ligne)[4], mis en ligne en 2020 par la revue Sabzian[70]et dans l'ouvrage Montage, une anthologie[23] co-édité par la HEAD et le MAMCO.
  • 2018 : «Pouvons-nous être en relation avec ce qui est ? ». Contribution à l’ouvrage Qu'est-ce que le réel ? Des cinéastes prennent position publié par le Cinéma du Réel[20]. Ce texte a été mis en ligne en 2020 par la revue Sabzian[71].
  • 2019 : "Living Matter". Texte publié dans la revue Bomb Magazine (disponible en ligne)[5].
  • 2020 : "Sometimes we feel lost". Texte publié dans l'ouvrage ¿Qué será del cine? Postales para el futuro[72]

Entretiens et masterclass disponibles en ligne (vidéos et radio)

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Notes et références

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  1. ↑ (en) Roger Crittenden, Fine Cuts: Interviews on the Practice of European Film Editing, New-York, Routledge,
  2. ↑ Claire Allouche et Alice Leroy, « Claire Atherton, Chemin faisant », Cahiers du Cinéma, no 773,‎ , p. 90-96
  3. ↑ « Claire Atherton (Jury compétition française) » [PDF], sur Journal du FID, (2011) (consulté le )
  4. ↑ a et b « L’art du montage », sur Vacarme, (consulté le )
  5. ↑ a et b (en) Claire Atherton, « Living Matter », sur BOMB Magazine, (consulté le )
  6. ↑ « Projection et rencontre : Chantal Akerman, « Letters Home » , 1986 », (consulté le )
  7. ↑ « Chantal Akerman, Letters Home, 1986 », sur Centre Pompidou, collections
  8. ↑ Entretien avec Claire Atherton par Jean-Sébastien Chauvin, « Elle faisait confiance à la vie (dossier « Hommage à Chantal Akerman ») », Cahiers du Cinéma, no 716,‎ (lire en ligne Accès payant)
  9. ↑ « "Letters home, making-of", avec et sans Chantal Akerman », sur France Culture, (consulté le )
  10. ↑ Chantal Akerman, Autobiographie en Cinéaste, Paris, Cahiers du Cinéma / Centre Pompidou, , 340 pages
  11. ↑ « Chantal Akerman vivante, épisode 1/4 du podcast "La Compagnie des oeuvres" », sur France Culture, (consulté le )
  12. ↑ « Chantal Akerman, à vous de voir », sur France Culture, (consulté le )
  13. ↑ Frédéric Strauss, « No Home Movie n’est pas un film triste sur la mort », Télérama,‎ (lire en ligne)
  14. ↑ « Adieux à la mère et la mer dans le sang (C.Atherton & D.Leborne), podcast « Ping Pong » », sur France Culture, (consulté le )
  15. ↑ (en) Ivone Margulies, « Our Way of Working », Camera Obscura, vol. 34, no 1(100),‎ , p. 13-29
  16. ↑ « “Now”, le présent éternel de Chantal Akerman », sur Télérama.fr (consulté le )
  17. ↑ (en-US) « All the World's Futures / 56th Venice Biennale | », sur Flash Art, (consulté le )
  18. ↑ « Noëlle Pujol », sur noellepujol.free.fr (consulté le )
  19. ↑ « Claire Atherton », sur IMDb (consulté le )
  20. ↑ a et b (fr + ang) dir. Andréa Picard, Qu'est-ce que le réel ? Des cinéastes prennent position. Contribution : « Pouvons-nous être en relation avec ce qui est ? », Post-édition / Cinéma du Réel, , pp. 13-16
  21. ↑ Claire Atherton, « Pouvons-nous être en relation avec ce qui est ? », sur Sabzian, (consulté le )
  22. ↑ Claire Atherton, « l’art du montage », sur Vacarme, (consulté le )
  23. ↑ a et b « Montage, une anthologie (1913-2018) », (consulté le )
  24. ↑ « Sortie de "Montage. Une anthologie (1913-2018)" coéditée par la HEAD-Genève et le MAMCO | HEAD », sur www.hesge.ch (consulté le )
  25. ↑ (en) « Home | La Virreina Centre de la Imatge », sur ajuntament.barcelona.cat (consulté le )
  26. ↑ (en) « Facing the Image », sur La Virreina Centre de la Imatge, 18.11.2023 – 14.04.2024 (consulté le )
  27. ↑ (en) Justine Smith, « “Not Knowing Where You’re Going: How Claire Atherton Edits Movies », hyperallergic,‎ (lire en ligne)
  28. ↑ (en-US) Yaniya Lee, « The Art of Living », sur Canadian Art (consulté le )
  29. ↑ « En montage avec Claire Atherton », Cinémathèque de Grenoble,‎ 3-6 décembre 2013 (lire en ligne [PDF])
  30. ↑ Isabelle Regnier, « L'Art du montage en question à Grenoble, autour de Claire Atherton », (consulté le )
  31. ↑ « One Vision » (consulté le )
  32. ↑ « Claire Atherton | Montage, Équipe de montage », sur IMDb (consulté le )
  33. ↑ Laure Vermeersch, Pierre Zaoui & Sacha Zilberfarb, « Là-bas ou ailleurs, entretien avec Chantal Akerman », sur Vacarme,
  34. ↑ Chantal Akerman, Œuvre écrite et parlée, édition établie par Cyril Béghin, L’Arachnéen, (lire en ligne)
  35. ↑ Claire Atherton, entretien avec François Bovier et Serge Margel, « L’espace des installations », Décadrages. Cinéma, à travers champs, nos 46-47,‎ , p. 177–190 (lire en ligne, consulté le )
  36. ↑ « Chantal Akerman, NOW », Marian Goodman, Communiqué de presse,‎ 14 septembre-21 octobre 2017 (lire en ligne [PDF])
  37. ↑ Olga Kobryn, Macha Ovtchinnikova, Eugénie Zvonkine (dir.), Intérieurs sensibles de Chantal Akerman : films et installations – passages esthétiques, Presses Universitaires du Septentrion, coll. « Arts du spectacle – Images et Sons »,
  38. ↑ (en) Dr. Kostas Prapoglou, A conversation with Claire Atherton on the exhibition of Chantal Akerman at Marian Goodman in Paris, (lire en ligne), p. 34-43
  39. ↑ (pt-BR) Luísa Pécora -, « Claire Atherton sobre Chantal Akerman: "Ela pertence a todos os lugares" », sur Mulher no Cinema, (consulté le )
  40. ↑ a et b Claire Atherton, « Hommage à Chantal Akerman », sur Sabzian, (consulté le )
  41. ↑ Le montage comme composition, Entretien avec François Bovier et Serge Margel, Décadrages, 46-47, 2022
  42. ↑ Chantal Akerman par sa monteuse Claire Atherton, Quentin Grosset, Trois Couleurs, 26 janvier 2021
  43. ↑ Claire Atheron, le cinéma d’Akerman n’explique pas, il questionne, Jean-Sébastien Massart, Criticat, 1 octobre 2024
  44. ↑ Là-bas ou ailleurs, entretien avec Chantal Akerman, Vacarme n°39, 20 avril 2007
  45. ↑ Life needs editing, an interview with Claire Atherton, Locarno Film Festival, News, 11.08.2019
  46. ↑ D’Est, au bord de la fiction, Fondation Chantal Akerman, 1995
  47. ↑ Le vingt-cinquième écran, Sabzian, 15.06.2016
  48. ↑ Selfportrait/Autobiography : A Work In Progress, Bozar, Bruxelles, 7 octobre 2022-15 janvier 2023
  49. ↑ Woman Sitting after Killing, Museo Reina Sofia, 2001
  50. ↑ From the Other Side, Marian Goodman, 9 December 2021 - 5 February 2022
  51. ↑ Une voix dans le désert, MACBA, 2002
  52. ↑ De l’autre côté, fragment d’une installation, IFF Rotterdam, 30 Jan – 9 Feb 2025
  53. ↑ Marcher à côté de ses lacets dans un frigidaire vide, Marian Goodman, 22 June - 24 July 2004
  54. ↑ Interview: Claire Atherton, Tina Poglajen, Film Comment, November 2, 2016
  55. ↑ Claire Atherton on the exhibition of C. Akerman at Marian Goodman, a conversation with Dr. Kostas Prapoglou, ‘’XIBT n°1, 2022
  56. ↑ In the Mirror, La Biennale de Lyon, 2024
  57. ↑ Femmes d’Anvers en Novembre, Fondation Chantal Akerman, 2008
  58. ↑ Maniac Summer, Marian Goodman, 5 December 2009 - 9 January 2010
  59. ↑ Maniac Shadows, La Ferme du Buisson, du 19 novembre au 19 février 2017
  60. ↑ My Mother Laughs Prelude, Fondation Chantal Akerman, 2012
  61. ↑ De la mère au désert, Mamuta, 2014
  62. ↑ « L'ACID - Luc Decaster », sur Le site de l'ACID - Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (consulté le )
  63. ↑ « Mafrouza de Emmanuelle Demoris (2007) - Unifrance », sur www.unifrance.org (consulté le )
  64. ↑ « MAN IN BLACK », sur Festival de Cannes, (consulté le )
  65. ↑ Eric Baudelaire: «Face au terrorisme, je regarde les structures et le contexte», Mediapart, 28 août 2017
  66. ↑ Un film dramatique, Laura Davis, FilmExplorer, August 22, 2019.
  67. ↑ « Hommage à Chantal Akerman par Claire Atherton - La Cinémathèque française », sur www.cinematheque.fr (consulté le )
  68. ↑ (en-US) Claire Atherton, « Tribute to Chantal Akerman by Claire Atherton », sur Senses of Cinema, (consulté le )
  69. ↑ (en) Camera Obscrura : Feminism, Culture and Media Studies, Duke University Press, (lire en ligne)
  70. ↑ Claire Atherton, « L'Art du montage », sur Sabzian, (consulté le )
  71. ↑ Claire Atherton, « Pouvons nous être en relation avec ce qui est? », sur Sabzian, (consulté le )
  72. ↑ (es) Cecilia Barrionuevo y Marcelo Alderete (dir.), ¿Qué será del cine? Postales para el futuro, Mar del Plata, Argentina : Instituto Nacional de Cine y Artes Audiovisuales-INCA, , 250 p. (lire en ligne), p. 22-23
  73. ↑ « "Jeanne Dielman, 23, Quai du Commerce, 1080 Bruxelles" de Chantal Akerman : épisode du podcast Les films qui ont changé le monde », sur France Culture (consulté le )

Liens externes

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