Compreignac — Wikipédia

Compreignac
Compreignac
L'église Saint-Martin.
Blason de Compreignac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Jacques Pleinevert
2020-2026
Code postal 87140
Code commune 87047
Démographie
Gentilé Compreignacois
Population
municipale
1 875 hab. (2021 en évolution de +2,85 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 34″ nord, 1° 16′ 32″ est
Altitude Min. 301 m
Max. 587 m
Superficie 47,62 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bellac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Compreignac
Liens
Site web compreignac.reseaudesville.fr

Compreignac (Comprenhac en occitan, prononcé Coumprégnio) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Compreignacois[1].

En minéralogie, une pierre se nomme la compreignacite en hommage à son lieu de découverte dans une mine à Margnac, un village de la commune de Compreignac[2].

Géographie

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Localisation

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

La commune de Compreignac se situe à 20 km au nord de Limoges, soit une dizaine de minutes de trajet par l’autoroute A20.

Hameaux et lieux-dits

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La commune de Compreignac compte une quarantaine de hameaux en plus du bourg :

  • Angelard
  • Bachellerie
  • Beaumont
  • Bellevue
  • Le Boucheron
  • Le Breuil
  • Le Buisson
  • Chabannes
  • Chatenet-Maussan
  • Les Chevailles
  • La Courède
  • Couteillas
  • La Croix
  • L'Échalier
  • La Faye
  • Gattebourg
  • La Gente (Autrefois La Jante)
  • Le Lac
  • Lavaud-Couteillas
  • Lavaud-Fleuret
  • Le Malagnac
  • Margnac
  • Le Mas
  • Le Mas-la-Roche
  • Massauvas
  • Maudan
  • La Monge
  • Montaigut
  • Montchaud
  • Montimbert
  • Népoulas
  • Népoux
  • Penny
  • Pontabrier
  • Prassigout
  • Puy-Lariotte
  • Puy-Martin
  • Puy-Mélier
  • Puy-Menier
  • Saint-Roch
  • La Roche
  • La Rode
  • Le Sauvage
  • La Vauzelle
  • Vénachat
  • Vieilleville
  • Villebert

Géologie et relief

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La commune culmine au Signal de Beausoleil à 589 mètres, dans les monts d'Ambazac.

Hydrographie

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La commune présente dans son extrémité nord le lac de Saint-Pardoux et dans son extrémité ouest l'étang de Tricherie.

La commune est traversée par deux cours d'eau principaux : le Vincou et la Couze.

Voies de communication et transports

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La ligne 5 de bus de la MOOHV passe par le bourg de Compreignac et relie Limoges a Châteauponsac.

L'autoroute A20 passe sur la commune et la sortie 26 permet de rejoindre le bourg.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nantiat à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Compreignac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,8 %), prairies (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), eaux continentales[Note 2] (2,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune est composé d'un bourg mais également d'un grand nombre de villages éparses.

En 2006, le nombre total de logements dans la commune était de 916, alors qu'il était de 843 en 1999.

Parmi ces logements, 75,2 % étaient des résidences principales, 14,5 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,7 % des appartements.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,2 %). La part de logements HLM loués vides était de 1,4 % contre 0,7 %, leur nombre étant constant 10 contre 4.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Compreignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Compreignac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 51 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Compreignac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Le nom de la localité est attesté sous la forme Compreniaco au Moyen Âge.

Il remonte à un type toponymique gaulois.

Le premier élément Compren- représente le nom de personne gaulois Comprinnus[21],[22] (c'est-à-dire Comprinnos) qui signifie littéralement « consors, conjoint, époux » mot attesté dans le plomb de Lezoux. Ce mot est un composé du gaulois com « avec » et de prenno- « bois, tablette de bois avec laquelle on jette des sorts », d'où « personne avec laquelle on partage le même sort », c'est un mot construit comme latin consors (sors, sortis « sort < petite tablette de bois »)[23].

Le second élément -iac représente le suffixe fréquent de présence et de localisation d'origine gauloise -(i)acum[21].

Le sens global est donc celui de « propriété, domaine de Comprinnos ».

Homonymie avec Comprégnac qui conserve une graphie occitane Comprenhac.

  • Les Gaulois et les Romains y ont laissé des traces de leur séjour.
  • Entre 1370 et 1371 Compreignac fut pris et presque détruit par l'armée anglaise. Un petit chemin rapide, qui monte à l'endroit où était la porte nord de la ville, conserve encore le nom de chemin des anglais, comme étant celui par lequel ils entrèrent dans la place. Le château des Cars fut pris et presque ruiné il ne fut jamais reconstruit[24].
  • Il y avait au chef-lieu de Compreignac deux fiefs différents, qui, plus tard, ont été réunis ; ce sont les Cars et le Mazet, placés l'un à l'est, l'autre à l'ouest du bourg[24].

Temps modernes

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  • Le 15 juillet 1597, Martial Benoit acheta les fiefs nobles du Mazet et de Puymenier et devint le seigneur de Compreignac.
  • En 1605, Henry IV se rendit à Compreignac et logea dans la maison curiale.
  • En 1608, Martial Benoit construisit le nouveau château de Compreignac et entoura la ville de murailles.
  • En 1614, François de Saint-George, chevalier, seigneur de Fraisse, vendit tous les droits qu'il avait sur le fief des Cars à Martial Benoît, qui les réunit à ceux du fief du Mazet[24].
  • En 1741, l'arpentement général de la paroisse fut réalisé[24].
  • Jusqu'en 1777, la route de Paris passait par Compreignac[24].
  • C'était jadis une paroisse importante, ville d'étape et de garnison avant la Révolution. La route de Paris traversait le bourg jusqu’au début du XVIIIe siècle.
  • Ancienne ville ceinte de remparts édifiée sur une éminence, il n'en demeure – outre les vestiges des tours du château et la grange seigneuriale de 1787 transformée en ensemble socio-culturel – que l'église fortifiée qui vient d'être restaurée et qui est une des plus belles de la région. Elle fut construite au XIIe siècle, détruite par le Prince Noir en 1370 et reconstruite et agrandie au XVIIe siècle.

Blasonnement

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Les armoiries de Compreignac se blasonnent ainsi :

De gueules au buste de saint Martin vêtu et nimbé d'or, accosté des lettres S.M., au chef cousu d'azur à trois fleur de lis d'or[24].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2001 Pierre Vallin PS Universitaire
mars 2001 En cours Jacques Pleinevert[26] PS Président du district de football de la Haute-Vienne

Compreignac n'est jumelé à ce jour avec aucune autre commune.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 1 875 habitants[Note 4], en évolution de +2,85 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8301 9741 7732 3132 2542 2802 0902 3612 418
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4272 4012 3382 2562 3522 2522 2452 2302 167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1142 1802 0721 8941 7421 5991 5801 3641 282
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3331 1901 0701 1301 2801 4351 6211 6481 763
2017 2021 - - - - - - -
1 8381 875-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est pourvue dans son bourg d'une école maternelle et élémentaire publique à côté de la mairie. Il y a 158 élèves inscrit en 2017.

Revenue de la population et fiscalité

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En 2014, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 155 personnes, parmi lesquelles on comptait 76,3 % d'actifs dont 99,1 % ayant un emploi et 0,8 % de chômeurs.

Entreprise et commerces

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Au 31 décembre 2015, Compreignac comptait : 1 supermarché, 1 boulangerie, 1 boucherie-charcuterie, 1 restaurant et 1 débit de boisson-tabac.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin de Compreignac[31] classé au titre des monuments historiques le 9 avril 1910.
  • Mines d'uranium de Bachellerie (1976), Margnac (1953-1995) et Vénachat (1955-1995).
  • Enceinte de terre classé au titre des monuments historiques le 22 octobre 1984.
  • Voie gallo-romaine classé au titre des monuments historiques le 3 février 1984.
  • Rochers remarquables :
    • Le fauteuil du juge dans la région de Beausoleil.
    • Le pas de la mule dans les bois de Pallustras.
    • Le rocher des sacrifices à Massauvas.
    • La roche aux fées à Croix-Giraud avec sa grotte
    • Le rocher de la tortue au Puy-Melet.
    • La roche de la muette entre Peny et Daumard

Patrimoine culturel

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La commune est pourvue d'une bibliothèque municipale ainsi qu'une salle polyvalente qui accueille de nombreuses manifestations culturelles.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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{{"Compreignac Histoire succincte," par L. BAIJAUD Description de l'église, par G. FRUGIER association des amis de compreignac 1977. "Compreignac Un Meunier dans la tourmente révolutionnaire" Simone POURET Le livre d'histoire,"Histoire des cantons de Nantiat et Nieul et des communes de Compreignac,Thouron" Abbé LECLER, Le livre d'histoire, Monographies des villes et villages de France.}}

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. (en) « article compreignacite », sur Mindat (consulté le ).
  3. Carte IGN sur Géoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Compreignac et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nantiat » (commune de Nantiat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nantiat » (commune de Nantiat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Compreignac ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Compreignac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 205.
  22. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003, p. 122.
  23. Xavier Delamarre, op. cit.
  24. a b c d e f et g Abbé Lecler, Monographie de la commune de Compreignac, Laffitte reprints.
  25. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  26. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Mérimée : Église », sur culture.gouv.fr (consulté le ).