Daoiz Uriarte — Wikipédia
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Nom de naissance | Daoiz Gerardo Uriarte Araújo |
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A travaillé pour | Facultad de Derecho (UdelaR) (d) |
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Parti politique |
Daoiz Gerardo Uriarte Araujo (né à Montevideo, le 24 septembre 1956) est un avocat, professeur et politicien uruguayen appartenant à la Vertiente Artiguista du Frente Amplio (parti politique au pouvoir depuis 2005). Il est divorcé et père d’une fille et un fils et grand-père de deux garçons[1].
Activité académique
[modifier | modifier le code]Il a reçu le grade de docteur en droit et sciences sociales de l'université de la République en 1987. Il est spécialiste en droit du travail de la Faculté de Droit de la même université, ainsi que spécialiste en relations de travail avec l’Italie.
Il s’est diplômé comme professeur titulaire en "droits de l’homme", et il travaille comme tel à la Faculté de droit de l'Université de la République (es).
Il a publié de nombreux articles dans les domaines du droit du travail, le droit administratif et les droits de l'homme.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Los Derechos Humanos y el Gobierno Municipal » (Junta Departamental de Montevideo, 2009).
- « Curso de Derechos Humanos y sus garantías » (Fundación de Cultura Universitaria, 2013).[2]
Activité professionnelle
[modifier | modifier le code]Il a été consultant à certains des plus importants syndicats publics de l'Uruguay (architecture, téléphones, enseignants, etc.), ainsi qu’à diverses organisations sociales telles que Fedefam et Amnesty International.
Il est également connu pour être l'avocat de l'ancien maire de Montevideo et ministre du Logement, l'architecte Mariano Arana[3].
Il a été directeur général à Juan Benzo S.A. (Agua Jane)
Activité politique
[modifier | modifier le code]À 18 ans et après le coup d’État de 1973, il a été détenu et emprisonné pendant plus de deux ans pour sa militance gauchiste et pour organiser des mouvements contre la dictature. Après sa libération et la restauration de la démocratie à l’Uruguay, il continue de militer jusqu’au devenir le Président de la Vertiente Artiguista, un secteur de gauche modérée[4].
Il a participé comme conseiller juridique et aussi comme témoin (en raison de la période où il a été enlevé par les forces armées uruguayennes) des affaires nationales et internationales de violations des droits de l'homme dans la dernière dictature uruguayenne et les connexion avec autres dictatures au pouvoir dans la région au cours de cette période (Opération Condor)[5].
Postes au sein du gouvernement (2000 à ce jour)
[modifier | modifier le code]Il travaille comme Directeur national d'architecture au ministère de Transport et Travaux publics[6]. Il a été aussi député en représentation de son parti politique[7] et s´est déroulé comme Vice-président adjoint à OSE, entreprise publique des affaires de l´eau et d'assainissement de l'Uruguay[8] ainsi que Président de l'Agence nationale de logement (ANV). Il a travaillé comme Directeur intérimaire ä l'institut national de colonisation[9], aussi que Conseiller juridique du Conseil départemental de Montevideo.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Daoiz Uriarte » (voir la liste des auteurs).
- Curriculum Vitae, Ministère de Transport et Travaux publics, consulté le 12 décembre 2016
- FCU :: Fundación de Cultura Universitaria, fcu.com.uy, consulté le 12 décembre 2016
- Casinos municipales: careo entre Arana, Muñoz, Bengoa y Areán, Montevideo.com, consulté le 13 décembre 2016
- Uriarte reemplazará a Rubio en Presidencia de Vertiente, Espectador.com, consulté le 12 décembre 2016
- Nuevas declaraciones en Roma por Plan Cóndor, la diaria, consulté le 13 décembre 2016
- La convierte en una “constructora estatal”, la diaria, consulté le 13 décembre 2016
- FLS y VA negocian por incluir concepto de "omisión deliberada", Espectador.com, consulté le 12 décembre 2016
- Poder Ejecutivo propuso los nombres de las nuevas autoridades de OSE, Presidencia de la República Oriental del Uruguay, consulté le 13 décembre 2016
- Dejó la casa, la diaria, consulté le 13 décembre 2016