Diarville — Wikipédia

Diarville
Diarville
La mairie-école.
Blason de Diarville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Saintois
Maire
Mandat
Bénédicte Haye
2023-2026
Code postal 54930
Code commune 54156
Démographie
Gentilé Diarvillois, Diarvilloises[1]
Population
municipale
473 hab. (2021 en évolution de −9,73 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 44″ nord, 6° 07′ 59″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 354 m
Superficie 11,03 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
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Diarville
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Diarville
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Diarville

Diarville est une commune française de Lorraine, située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est, à environ 20 km au sud de Nancy.

Géographie

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Localisation

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Le village de Diarville est situé à 2 km à l'ouest de Marainville-sur-Madon, à 5 km au nord de Mirecourt, sur la route de Nancy à Mirecourt, et à 8 km au nord-ouest de Charmes.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Forcelles-sous-Gugney, Marainville-sur-Madon, Pont-sur-Madon, Bouzanville, Housséville, Saint-Firmin et Ambacourt.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Breuil, le ruisseau de Dingeru et le ruisseau le Beaulong[2],[Carte 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 860 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Diarville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), prairies (30,5 %), forêts (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (3,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 230, alors qu'il était de 219 en 2015 et de 217 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 86,5 % étaient des résidences principales, 3,9 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Diarville en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,9 %) supérieure à celle du département (2,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Diarville en 2020.
Typologie Diarville[I 2] Meurthe-et-Moselle[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 86,5 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,9 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 9,6 9,3 8,2

Le nom de « Diarville » viendrait du nom d'une villa gallo-romaine Diar/Dyar Villa. L'emplacement de cette villa n'est pas avéré car le village aurait été construit sur les ruines des bâtiments[réf. nécessaire]. Au Haut Moyen Âge, on trouve le nom de Dyarvilla, évolution du nom gallo-romain.

Préhistoire

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Bracelets de la Culture de Hallstatt, trouvés dans la commune et conservés au Musée de Toul.

L'occupation du site de Diarville remonte à la fin de l'âge du bronze, comme l'atteste la présence de tombes celtes (tumuli du site de Devant Giblot). Sept tumuli ont été construits en deux phases entre les VIIe et IIIe siècles av. J.-C. L'étude de ces monuments montre qu'il s'agit d'inhumations de personnages de haut rang (présence de grandes épées en fer et de chars)[14].

Une tour aurait été construite au Moyen Âge, mais aucune trace archéologique ne l'atteste.

Temps modernes

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Jusqu'à la Révolution de 1789, Diarville appartient au comté de Vaudémont.

Époque contemporaine

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La gare vers 1900.

La commune est desservie à partir de 1879 par la Gare de Diarville, sur la ligne de Jarville-la-Malgrange à Mirecourt, facilitant les déplacements des personnes et le transport des marchandises. Le trafic ferroviaire a cessé depuis décembre 2016.

Après la Première Guerre mondiale, le monument aux morts est construit devant l'église grâce à la destruction d'une maison.

En 1940, la population de Diarville quitte le village et part sur les chemins de l’exode. Certains habitants vont jusqu'à Lyon à pied. Une maison de la rue de Nancy est détruite par un obus.

Jusque dans les années 1960, le cimetière se trouvait autour de l'église ; il a alors été déplacé sur son emplacement actuel sur la route de Forcelles-sous-Gugney. Pour les familles qui n'ont pu transférer leurs défunts, les stèles funéraires ont été enlevées, mais les tombes conservées et recouvertes, permettant de créer la place qui se trouve devant l'église.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1821 dans l'arrondissement de Nancy du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Haroué[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Meine au Saintois

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

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Diarville était le siège de la petite communauté de communes du Mirabée, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Pays du Saintois, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1790   Nicolas Bernard    
         
1983 2014 Bernard Rollin[17]   Agent immobilier de retraite
mars 2014 mai 2020 Alain Thiaucourt   Retraité salarié du secteur privé
mai 2020[18] août 2023[19] Patrick Lage   Ancien cadre
Démissionnaire
octobre 2023[20] En cours
(au 30 novembre 2023)
Bénédicte Haye   Cadre de la fonction publique

Au , Diarville est jumelée avec[21] :

Équipements et services publics

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Enseignement

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  • Écoles maternelle et primaire.
  • Garderie péri-scolaire.
  • Association Au clair de la lune : ateliers d'enseignement de la musique pour enfants et adolescents.

Population et société

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Les habitants sont les Diarvillois et les Diarvilloises.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 473 habitants[Note 3], en évolution de −9,73 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
370406445491528639635671668
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
610620600622569554503497492
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
476481443474428431408425441
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
422409426453435495494499524
2020 2021 - - - - - - -
484473-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Entreprises et services

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  • Médecins, infirmières, dentiste, orthophoniste, pharmacien.
  • Boulangerie-pâtisserie, bar, plomberie, coiffure-manucure, pizzeria, agence immobilière, métallerie, garage automobile, fermetures.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église.
  • Tombes à char celtiques : elles se trouvent vers Giblot, sur le chemin de Marainville.
  • Église Saint-Epvre : clocher roman, portails romans, nef incendiée et restaurée en 1964. Les décorations anciennes n'ont pas été remplacées. Les vitraux datent également des années 1960.
  • Croix de chemin au lieu-dit le Thaïs.

Personnalités liées à la commune

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  • Henri Bergé (1870-1937) est né à Diarville.
  • Félix Mennegan est un résistant du « groupe maquis Lorraine 42 ». Une plaque commémorative se trouve au bout de la rue du Cugnot dans le village.

Héraldique

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Blason de Diarville Blason
Blasonnement : burelé d'argent et de sable de dix pièces chargé de deux clefs de gueules en sautoir.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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  • « Diarville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Diarville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Diarville ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Diarville » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Diarville - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Diarville - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. « Fiche communale de Diarville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Diarville et Mirecourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Princesses celtes en Lorraine - Sion, trois millénaires d'un territoire, Musée de l'histoire du Fer de Jarville la Malgrange, 2003, 185 pages (Diarville : pages 69 à 98).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Les maires de Diarville », sur francegenweb.org (consulté le ).
  17. « Décès de Bernard Rollin », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après un mandat de conseiller municipal, Bernard Rollin, agent immobilier de retraite, fut élu maire de 1983 à 2014, pour laquelle il avait un grand attachement et s’investissait pleinement ».
  18. « Patrick Lage, élu nouveau maire », L'Est républicain,‎ 28/5/2020 mis à jour le 2/6/2020 (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  19. « Démission du maire et de deux adjoints », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  20. « Bénédicte Haye, nouvelle maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  21. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.