Didier Martin (écrivain) — Wikipédia

Didier Martin
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Didier Martin, né le , est un écrivain français.

Didier Martin suit des études de philosophie et de psychologie, il étudie aussi la théologie au séminaire[1].

Il publie son premier roman en 1966. En 1968, il obtient la bourse de la Vocation, tout en travaillant comme chauffeur-guide dans une agence de location de voitures[1]. Ses romans alternent entre réalisme et merveilleux, et une critique le décrit comme un ironiste[2].

  • Le Déclin des jours, Éditions Gallimard, 1966 (ISBN 2070242234)
  • Le Jéroboam, Gallimard, 1969
  • Le Secrétaire, Éditions Grasset, 1972
  • Le Double Jeu, Grasset, 1973
  • Le Prince dénaturé, Gallimard, 1974 (ISBN 2-07-029123-5)
  • Il serait une fois…, Gallimard, 1976 (ISBN 2070295133)
  • Un garçon en l'air, Gallimard, 1977
  • Le Enfants de nuit, Balland, 1978
  • Bellevue, Gallimard, 1979; traduit en suédois et présenté par J.-P. Ölund, Stockholm, éd. H : Ström, coll. Europa, 2020 (ISBN 9789173272827)
  • Un Sage universel : l'épopée de Gilgamesh, Garnier, 1979
  • Contretemps, Gallimard, 1980
  • Les Petits Maîtres, Gallimard, 1983
  • L'Amour dérangé, Gallimard, 1984
  • Double Messieurs, Gallimard, 1987
  • Frédéric plus Frédéric égal Frédéric, illustré par Serge Bloch, Gallimard folio junior, 1987 (ISBN 2-07-033386-8)
  • Chargé de famille, Ramsay, 1988

Récompenses et distinctions

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Notes et références

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  1. a et b Jacqueline Piatier, « " Il serait une fois ", de Didier Martin », sur Le Monde, (consulté le ).
  2. Jacqueline Piatier, « Un ironiste à ne pas négliger Les doubles jeux de Didier Martin », sur Le Monde, (consulté le ).

Liens externes

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