Dokou Zavgaïev — Wikipédia

Dokou Zavgaïev
Доку́ Завга́ев
Illustration.
Dokou Zavgaïev en 2013.
Fonctions
Ambassadeur de Russie en Slovénie

(10 ans, 1 mois et 26 jours)
Président Vladimir Poutine
Prédécesseur Mikhaïl Vanine
Successeur Timour Eïvazov
Directeur général du ministère des Affaires étrangères de Russie

(5 ans, 1 mois et 10 jours)
Prédécesseur Premier titulaire
Successeur Mikhaïl Vanine
Chef de la République tchétchène

(1 an et 14 jours)
Premier ministre Lui-même
Prédécesseur Oumar Avtourkhanov (en tant que président du Comité d'accord national)
Successeur Akhmad Kadyrov (indirectement, en tant que chef de l'administration provisoire)
Président du Soviet suprême de la RSSA de Tchétchénie-Ingouchie

(1 an, 5 mois et 18 jours)
Prédécesseur Hajbikar Bokov (en tant que président du présidium du Soviet suprême)
Successeur Hussein Akhmadov (en tant que président du Soviet suprême provisoire)
Biographie
Nom de naissance Dokou Gapourovitch Zavgaïev
Date de naissance (83 ans)
Lieu de naissance Beno-Iourt, RSSA de Tchétchénie-Ingouchie (URSS)
Nationalité Russe (depuis 1991)
Soviétique
(1940 à 1991)
Parti politique Parti communiste de l'Union soviétique
Fratrie Akhmed Zavgaïev
(Frère)
Akhmar Zavgaïev
(Frère)
Conjoint Zavgaeva Faina Alexandrovna
Enfants 3
Profession Diplomate
Présidents de la République tchétchène

Dokou Gapourovich Zavgaïev (en russe : Доку́ Гапу́рович Завга́ев ; en tchétchène : Завгаев Докка ГӀапу́рович), né le à Beno-Iourt (Union soviétique), est un homme politique soviétique puis russe[1] connu pour avoir été le dernier dirigeant de la RSSA de Tchétchénie-Ingouchie (1990-1991) ainsi que le chef du gouvernement tchétchène pro-russe (1995-1996) pendant la première guerre de Tchétchénie, ce qui lui valut d'être surnommé « le steward » par ses détracteurs[2].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « завгаев доку гапурович биография. », sur biography.vospari23.ru (consulté le )
  2. Marie Jégo, « Dokou Zavgaev, la « marionnette » du Kremlin à Grozny, risque d'être bientôt lâché par ses « patrons » », Le Monde, (consulté le )


Liens externes

[modifier | modifier le code]