Écrouves — Wikipédia

Écrouves
Écrouves
Vue plongeante sur le village depuis le plateau.
Blason de Écrouves
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
(siège)
Maire
Mandat
Roger Sillaire
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54174
Démographie
Gentilé Scrofuliens, Scrofuliennes[1]
Population
municipale
4 442 hab. (2021 en évolution de +1,21 % par rapport à 2015)
Densité 431 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 50″ nord, 5° 50′ 29″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 385 m
Superficie 10,3 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Toul
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Toul
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Écrouves
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Écrouves
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Écrouves
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Écrouves

Écrouves est une commune française située dans la communauté de communes Terres Touloises, le département de Meurthe-et-Moselle et la région Grand Est. Dès son apparition au IXe siècle, elle est sous l’influence de la ville de Toul, très proche. En 2021, Écrouves compte 4 442 habitants.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Carte avec les communes environnantes.

Localisation

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Écrouves est une ville banlieue de Toul. Son centre est situé à 4 km à l'ouest de celui de Toul, sur la route de Paris, où passait l'ancienne voie romaine voie romaine Reims-Naix-Toul-Metz.

Communes limitrophes d’Écrouves
Bruley Pagney-derrière-Barine
Foug Écrouves Toul
Choloy-Ménillot Domgermain

Ban communal

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La commune se partage en quatre quartiers :

  • le centre, appelé « le village » par les habitants,
  • Grandménil à l'ouest, aujourd'hui aggloméré au village,
  • Bautzen à l'est,
  • La Justice au sud-est.
Ban communal (Qgis et OSM).
Ban communal (Qgis et OSM).

Occupation du sol

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D'après les données Corinne Land Cover, le territoire comprend 27 % de forêts, 38 % de terres arables, cultures et prairies alors que les zones plus anthropisées représentent 36 % (dont 26 % de zones urbaines et 5 % de zones industrielles).

Le village vu de la Côte Barine.

Géologie et relief

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Au nord se trouve un plateau des Côtes de Meuse dénommé simplement le Plateau par les habitants : il culmine à 384 mètres.

La pente est forte au-dessus de l'église, où les sols sont calcaires, plus douce en dessous, où les trois quartiers nord se sont développés sur des marnes.

Au sud, les sols sont constitués des sédiments (argiles) de l'ancien cours de la Moselle : la côte la plus basse est 213 mètres.

Les calcaires ont fait l'objet d'une exploitation dans les années 1990-2000.

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal de la Marne au Rhin, le Petit Ingressin, le ruisseau de Franchemare[2] , le ruisseau du Val des Nonnes[3] et le ruisseau l'Ingressin[4],[Carte 1].

Le canal de la Marne au Rhin, long de 293 km et comportant 178 écluses à l'origine, relie la MarneVitry-le-François) au RhinStrasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie[5].

La vallée a été creusée par la Moselle du temps où elle allait se jeter dans la Meuse, avant sa capture par la Meurthe[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Écrouves[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 13 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports

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La commune d'Écrouves est coupée en deux par un triple axe de communication ouest-est formant un bandeau large de 200 à 500 mètres et isolant ainsi la Justice des trois autres quartiers. L'on trouve (du nord au sud) :

À quoi s'ajoute, au sud-ouest, l'embranchement de la transversale de Toul à Culmont - Chalindrey et Dijon.

Au , Écrouves est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toul[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (42,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (42,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (27,1 %), zones urbanisées (26,3 %), prairies (22,4 %), cultures permanentes (7,8 %), terres arables (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie et gentilé

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  • Écrouves apparaît sous les formes latines Scrubulo en 885 et Scrupulis au milieu du Xe siècle[20]. Les premières formes vernaculaires sont Escrouvles en 1181 et Acrouves en 1244, et finalement Escrouves en 1519[20]. Le nom de la ville serait donc issu du latin scrupulum (dont Scrupulis est l'ablatif pluriel), terme qui désignait entre autres la plus petite unité de mesure agraire, d'une valeur d'environ 8,70 m2[21]. Les habitants d’Écrouves sont attachés à l'étymologie populaire rattachant ce toponyme aux écrouelles, forme cutanée de la tuberculose que guérissait leur source miraculeuse. Les écrouelles étant aussi appelées scrofules, cette étymologie a donné naissance au gentilé : les habitants d’Écrouves sont appelés les Scrofuliens.
  • Grandménil apparaît en 1069 sous la forme latine Mansionile juxta Scropula (Mesnil près Écrouves), puis Manilum ou Masnilum en 1180[22]. Les formes vernaculaires sont Le Mesnil en 1519, Le-Grand-Mesnil-lez-Écrouves en 1568, Le-Grand-Mesnil-lès-Toul en 1572, et finalement Grand-Mesnil en 1594[22]. Une étymologie populaire rattache souvent le toponyme Mesnil ou Ménil au terme moulin : c'est en réalité l'un des nombreux mots désignant un village au haut Moyen Âge (cf. Du Cange sous mansionile[23] et l'article Mesnil). Le nom de Grandménil se dit manifestement par opposition au Petit Ménil qu'est Ménillot, situé en face, de l'autre côté de l'Ingressin (commune de Choloy-Ménillot).
  • La Justice était sous l'Ancien Régime le lieu du gibet de Toul.
  • Bautzen, qui s'est développée au XIXe siècle autour de casernes, doit son nom à une bataille napoléonienne qui s’est déroulée dans la ville allemande de Bautzen.
Report cartographique de toponymes d’Écrouves.

Liste de micro-toponymes relevés sur la commune d'Écrouves à partir des plans cadastraux et plans de Toul et environs.

Micro-toponymie

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(Les toponymes qui ne sont plus utilisés sur les cartes modernes sont signalés comme « inusités »)

Toponymes rencontrés Autre orthographe Origines
Truotte Chemin de la Truotte - origine inconnue
Devant Saint-Urbain [2] Saint Urbain patron des vignerons avait une chapelle dédiée sur la côte Barine
Les Anneresses Inconnue
Parterre (le) Inconnue
Entre bas barine Toponyme inspiré par le relief, point bas de la vallée entre le mont St Michel et la côte Barine. Passage d'un ancien ruisseau se jetant dans l'Ingressin
Bas de l'Ingressin En référence à la partie aval du cours d'eau l'Ingressin (éthy. du latin ingredior : "entrer dans")
Saint-Esprit (toponyme inusité) En référence à la trinité dans la religion catholique
Pré de la madeleine Inconnue
Derrière le Moulin de Haut En référence à un ancien moulin situé en partie amont de l'Ingressin
Justice (La) [3] En référence à un relief sur lequel était situé un gibet
Charognerie (la) Du latin populaire *caronia ; dérivé de caro, carnis (« chair»).Composé de charogne et du suffixe -erie. - ou "carnifex" le bourreau. Il était un cimetière à cet endroit
Côte Barine De l'ancien nom des deux monts de TOUL "BAR" ou "MontBar" et dim. - ine pour le plus petit
Côte Thorel Inconnue
Les Oiseleurs En référence à Henri II dit "l'Oiseleur" ?
La Hayotte De Haye (haie en anc. français) et diminutif - otte
Hayotte (sous) De Haye (haie en anc. français) et diminutif - otte
Marinvaux (fonds) Narinvaux De Val, vals, vaux (Vallée en anc. français) et un anthroponyme "Marin ou Narin" : pour désigner le fond d'une vallée parcourue par un ruisseau (ruisseau de Narinvau sur les planches cadastrales)
Les Gaulaires (dessus les Inconnue
Narinvaux Marinvaux D'un anthroponyme "Marin ou Narin" : pour désigner une vallée parcourue par un ruisseau (ruisseau de Narinvaux) sur les planches cadastrales)
Cuvelaires Inconnue
Aiguillons (les) Inconnue
Gaulaires (les) Inconnue
Traits (les petits) De traits, tracé fait dans les champs par la charrue tractée par un animal
Point du jour (le) [4] En référence au point cardinal vers lequel se couche le soleil ?
Traits (Les grands) De traits, tracé fait dans les champs par la charrue tractée par un animal
Fontaines (les) En référence à des résurgences qui pouvaient alimenter les deux ruisseaux du Val des Nonnes : le Pantoux
Guindées (les) Inconnue
Guindées (dessus de) Inconnue
Chariels (les) Inconnue
Vallées (les) En référence au relief (ici ou plusieurs vallées)
Murots (les) Inconnue
Murots (sous les) Inconnue
Auge (sur l') Inconnue
Vertes côtes (les) En référence à la partie très pentue (côte) qui précède le plateau qui domine Écrouves
Champ Beau Sire Inconnue
Église (derrière l') Du lieu placé au chevet de l’édifice religieux
Saussy (le) Probablement lié à la présence d'un ruisseau signalé sur les planches cadastrales ?
Grossières (les) Inconnue
Source (sous la) En référence à des résurgences qui pouvaient alimenter les deux ruisseaux du Val des Nonnes : le Pantoux
Bois de la source En référence à des résurgences qui pouvaient alimenter les deux ruisseaux du Val des Nonnes : le Pantoux
Paquis (Grand) Lieu où le gibier vient paître.(Par extension) Toute sorte de pâturages.
Vieilles terres Franc Cul Aussi mentionné sous le vocable "Franc cul" (de (re)culée : partie la plus éloignée d'un territoire), désigne le fond de la vallée vers le Val des Nonnes.
Morte Moselle (sous) Peut être une référence à la "Mosella" (au sens de petite Meuse) dont le cours a été modifié ?
Morte Moselle (bois de ) Peut être une référence à la "Mosella" (au sens de petite Meuse) dont le cours a été modifié ?
Conroys (les) Étymologiquement de "con" (au sens de "courbes) et "roy" (au sens de rayons, traits dans les champs) : les champs courbes ou bien de Colritum ou Colridum de corylus, le coudrier en ancien fran.
Conroy sur les prés Étymologiquement de "con" (au sens de "courbes) et "roy" (au sens de rayons, traits dans les champs) : les champs courbes ou bien de Colritum ou Colridum de corylus, le coudrier en ancien fran.
Fontaines (sous les) En référence à des résurgences qui pouvaient alimenter les deux ruisseaux du Val des Nonnes : le Pantaux
Merles (les) Inconnue
Grisins (les) Inconnue
Grand-Menil L'un des nombreux mots désignant un village au Haut Moyen Âge (cf. Du Cange sous mansionile et l'article Mesnil).
Meiche (la) Mèche Inconnue
Plante sur la route En référence à la très ancienne voie dite ""de France" que surplombent ces terres dédiées aux "plants" de vigne.
Croix (sous la) En référence à une croix encore visible en bord de route
Vignes l'Evêque [5] En référence à une partie des plantations de vignes dépendant d'un évêque ou dont le fruit lui était consacré
Village (le) Au milieu d'Écrouves proprement dite, appelée "le village" par les habitants
Sablons (les) Méandre sableux de l'Ingressin
La Bergerie (sous la) En référence à la présence d'un ensemble construit pour l’élevage
Faubades (les) Inconnue
Côte (La) En référence à la partie très pentue (côte) qui précède le plateau qui domine Écrouves
Plateau (le) Plateau géologique qui domine les anciens villages d'Écrouve et Ménil (384 mètres.)
Manginpères (les) Inconnue
Prouille (le) Inconnue
Gués (les) Référence à un lieu de passage pour traverser l'Ingressin avant la construction de ponts
Foulot (le) Tourbillon de vent (anc. français)
Terme (le) Vocable qui désigne le fond d'une parcelle, ici ceinturée par les méandres de l'Ingressin
Four (sur le) En référence à la présence (non attestée) d'un four banal sur la commune ?
Terme (sur le) Vocable qui désigne le fond d'une parcelle, ici ceinturée par les méandres de l'Ingressin
Saint-Jean (la pièce) En référence au personnage de la religion catholique
Jallins (les) Inconnue
Franchemare En référence à un ruisseau mentionné sur les planches cadastrales "De franchemare" lui-même sans doute associé à d'anciens lieux de concentration d'eau aujourd'hui disparus (mares)
Bouteilles (les) Inconnu
Longs de Charmes Parcelles situées le long du ruisseau de Narinvaux et probablement planté de Charmes ?
Chanot (le) Chenaie ?
Devant Choatel Le Choatel était une maison ferme[24]
Four (le) En référence à la présence (non attestée) d'un four banal sur la commune ?
Concentration (La) Inconnue
Franchemare (Au-dessus de) En référence à un ruisseau mentionné sur les planches cadastrales "De franchemare" lui-même sans doute associé à d'anciens lieux de concentration d'eau aujourd'hui disparus (mares)
Hauteur de la Justice Voir "Justice"
Ponteaux (les) Petits ponts ?
Cuvelle (la) Cuvette De Cuve (anc. français cueva, lat. cupa) qui a donné cuvette. (Par analogie) - (Géographie) Configuration de terrain en forme d’entonnoir. le relief le confirme
Prés de la Cuvelle (la) De Cuve (anc. français cueva, lat. cupa) qui a donné cuvette. (Par analogie) - (Géographie) Configuration de terrain en forme d’entonnoir. le relief le confirme
Ingressin (Val d') La vallée parcourue par l'Ingressin
Ecourants (les) Inconnue
Marceau (Quartier) Inconnue, toponyme ayant effacé le toponyme ancien au XIXe siècle, lors de la construction des casernements
Sainte-Catherine (Moulin) De la présence d'un Moulin sur l'Ingressin
Girouin Inconnue
Concorde (La) Inconnue
Ronchères (les) (anc. français ) Lieu plein de ronces
Archange (l') Du personnage de la religion catholique et en référence à la hauteur du site au pied du plateau
Rouges-terres (les) Peut-être liés à une géologie particulière, (non attesté)

Ancien Régime

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Très ancien village, Écrouves est mentionné dans les diplômes du roi Arnou (894), de Charles-le-Gros (890), de Charles-le-Simple et dans la une bulle de Léon IX (1051).

Source miraculeuse mentionnée lors des conciles de Savonnières en 859 et 862. Au XIIIe siècle, il existait sans doute une chapelle à l’emplacement actuel de l’église, qui abritait une source réputée pour la guérison des écrouelles[25],[26].

Cette source aurait été célèbre pour permettre la guérison des écrouelles faisant du village un lieu de pèlerinage, ce qui aurait conduit à la création d’une chapelle au Xe siècle pour abriter la source. C’est sur cette supposée chapelle qu’a été bâtie l’église du village au XIIe siècle[27].

Vignobles réputés de la période gallo-romaine[28],[29] [source insuffisante] à la Première Guerre mondiale.

Époque contemporaine

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Écrouves a été une ville de garnison très importante. Au quartier Fabvier, elle abrite encore aujourd'hui le 516e régiment du train. Dans le quartier Bautzen, avenue du 15e Génie, les installations de l'ex- 15e régiment du génie de l'air caserne Thouvenot dont le passé est fortement lié à celui d'Écrouves.

En 1919, le 68e RA stationne à Metz et son dépôt est à Épinal. Le , la portion centrale est transférée à Toul et installée dans les casernes Teulié, Dedon et Marceau. Le polygone d'instruction d'Écrouves est agrandi. En 1923, il occupe également la caserne Bautzen.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Maire en 1961   Alexandre Guillaume    
mars 1989 avril 1995 (démission) Francis Michel DVG  
juin 1995 mars 2001 Claude Triffandier Sans étiquette Comptable à PAM Foug
mars 2001 février 2006 Jean Voltz DVD  
mars 2006 En cours
(au 28 mai 2021)
Roger Sillaire[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Ancien cadre

En 1995, le maire d'Écrouves, Francis Michel, démissionne pour protester contre le vote massif des habitants pour le candidat Front National (25,44 %) au premier tour de l'élection présidentielle. L'émission Envoyé spécial de France 2 y a consacré un reportage diffusé le et intitulé « Mon village à l'heure du Front National ».

Budget et fiscalité 2021

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Hôtel de ville.

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 838 000 , soit 637  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 385 000 , soit 536  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 1 219 000 , soit 274  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 121 000 , soit 252  par habitant ;
  • endettement : 1 330 000 , soit 299  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 12,71 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,34 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 14,58 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 760 [33].

Écrouves n'a contracté aucun jumelage.

Services publics

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Se trouvent sur le territoire d'Écrouves :

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Pyramide des âges

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 4 442 habitants[Note 6], en évolution de +1,21 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
540554567565586638691680674
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
6606456407078111 7476 8388 5318 278
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
8 6989 7867 4983 1103 9555 2521 5693 7982 354
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
3 5803 7033 7583 6913 6704 0684 1124 2454 389
2020 2021 - - - - - - -
4 4544 442-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[38] :

  • Écoles maternelles et primaires.
  • Collèges à Toul, Foug.
  • Lycées à Toul, Bois-de-Haye.

Professionnels et établissements de santé[39] :

  • Médecins à Écrouves, Toul, Bruley, Dommartin-lès-Toul, Domgermain, Foug.
  • Pharmacies à Écrouves, Toul, Dommartin-lès-Toul, Foug, Gondreville.
  • Hôpitaux à Toul, Dommartin-lès-Toul, Liverdun, Neuves-Maisons, Commercy.

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et viticole, au XIXe siècle :

« Surface territ. 1 030 hect. cadast., dont 38 o en terres labour., 95 en prés, 82 en bois et 200 en vignes dont les produits sont assez recherchés. L'hectare semé en blé peut rapporter 15 hectol., en orge 20, en avoine 35; planté en vignes 80. Moutons, chevaux et vaches. La vigne est le principal genre de culture. Moulins à blé, un à écorce, scierie. »

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[41]), la commune d’Écrouves était majoritairement orientée[Note 7] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 8] d'environ 55 hectares (très inférieure à la surface cultivable communale) en très forte diminution depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 476 à 15 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3 (20 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 2 unités de travail[Note 9] (12 auparavant).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Vestiges de la voie romaine de Reims à Toul[42].
  • Ancien fort d’Écrouves.
  • Plaque commémorative (localisation : 48° 40' 51.93" N, 5° 51' 3.78" E) et monument (localisation : 48° 40' 43.76" N, 5° 51' 2.93" E) en mémoire des déportés arrêtés à partir du (date de la rafle de Nancy) et détenus au centre de détention d'Écrouves[43] avant leur déportation dans les camps nazis. 2 000 innocents sont partis de là vers les camps de la mort nazis entre 1942 et 1944.
Une plaque a été apposée par la communauté juive de Nancy devant le centre de détention et un monument a été érigé au bord de la route à proximité. Ce monument a été offert par l'ancien maire d'Écrouves, M. Francis MICHEL zal, en mémoire de tous les déportés, non seulement juifs, mais aussi déportés politiques et résistants.

Édifices religieux

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  • Église Saint Barthelémy à Grandménil, chœur XIIIe[51].
  • Église Sainte-Jeanne-d'Arc, moderne, construite en 1968 à Bautzen[26].
  • Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours (Mormons)[52],[53].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de {{{commune}}} Blason
Écartelé en sautoir, en chef d'azur au donjon d'argent, à dextre de gueules à la grappe de raisin d'argent, à senestre de gueules au dextrochère d'argent paré des rois de France duquel s'égouttent deux gouttes d'argent et en pointe d'azur à trois fleurs de lys d'or mal ordonnées.
Détails
L'écartelé renvoie à l'écartèlement de la commune en ses quatre quartiers ; le donjon à son rôle militaire avec le fort ; le raisin à son passé viticole ; le dextrochère à sa source miraculeuse ; les lys à la France.
Écrouves a adopté ses armoiries en conseil municipal le [54].

Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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"Écrouves" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Toul comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  8. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  9. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique d'Écrouves » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Ruisseau de Franchemare
  3. Ruisseau du Val des Nonnes
  4. « Fiche communale d'Écrouves », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « le canal de la Marne au Rhin »
  6. Savonnière, près de Foug (Meurthe-et-Moselle). Villa gallo-romaine et mérovingienne, Villa Regia carolingienne, Abel LIEGER (†) et Michel Abel LIEGER (†) et Michel Hachetachet avec l’aide des archives de F. Lemaire
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Écrouves et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Toul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  21. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
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  23. [1]
  24. E. Grosse (abbé.), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes rivières, ruisseaux, étangs et montagnes, Creusat, (lire en ligne).
  25. Ethymologie du nom
  26. a et b Écrouves-les-deux-églises
  27. « Historique et patrimoine », sur le site officiel d’Écrouves (consulté le ).
  28. H. CARREZ, Professeur agrégé d'histoire, LES NOMS DE LIEU EN LORRAINE, Metz, 87 p. (lire en ligne), Si l'on étudie sur une carte la répartition detous ces villages qui tirent leur nom de plantations,de vergers, de vignobles, on constate qu'ils sont pour la grande majorité situés dans la vallée de la Moselle ou tout près, tels les Bouxières, lesNorroy, les Vigneulles. On peut faire une constatation identique pour la côte de Meuse. C'est que nos deux côtes, avec leurs terrasses, leurs pierrailles, leurs pentes bien ensoleillées se prêtent particulièrementaux cultures arbustives. Rien d'étonnant dès lors que dès l'époque gallo-romaine et franqueon y ait reconnu la beauté des vergers et des vignobles et souligné cette particularité par la toponymie..
  29. Depuis l’Antiquité la Gaule est une région viticole.
  30. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  32. Les comptes de la commune
  33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Établissements d'enseignements
  39. Professionnels et établissements de santé
  40. Paroisse Saint Mansuy du Toulois
  41. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  42. Caturices, station routière de la voie Reims-Toul, Jean Luc Massy]
  43. Camp d'Écrouves durant la Seconde Guerre mondiale
  44. Monument aux morts
  45. Notice no PM54000212, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureStatue : Saint Jean-Baptiste
  46. Notice no PM54000213, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureStatue : Vierge à l'Enfant
  47. Notice no PM54000211, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureStatue : Vierge à l'Enfant
  48. « Verrière », notice no IM54002449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. « Peintures monumentales : l'Annonciation, Scènes de la vie de saint Mansuy », notice no PM54001129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « Église Notre-Dame-de-la-Nativité-de-la-Vierge », notice no PA00106025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. 1085, Fondation de la chapelle de Grandménil
  52. Écrouves-les-deux-églises
  53. Église de Jésus-Christ-des-Saints-des-Derniers-Jours, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  54. Site de la mairie