Enveloppe sonore (psychanalyse) — Wikipédia
Le terme d'enveloppe sonore a été proposé par Didier Anzieu et repris par Edith Lecourt[1],[2]. Cette enveloppe sonore est composée de deux faces : une face verbale, tournée vers l'extérieur et une face musicale tournée vers l'intérieur. Les deux faces sont indissociables et complémentaires. La notion a été abordée par Didier Anzieu en particulier dans son ouvrage Le moi-peau[3].
Ouvrages psychanalytiques
[modifier | modifier le code]- Le moi-peau, Paris, Ed.: Dunod, 1995, (ISBN 2-10-002793-X)
- Collectif, Les Enveloppes psychiques, Ed. Dunod, 2003, (ISBN 2-10-007049-5)
- Le penser. Du Moi-peau au Moi pensant, Paris, Dunod 1994, (ISBN 2-10-001678-4)
- Psychanalyse et limites, Dunod, 2007, (ISBN 978-2-10-050753-5)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- http://www.musicotherapie-afm.com/documents.html
- Soins palliatifs et psychomotricité Ed. Heures de France, 2007 (ISBN 9782853852951)
- « Mythe de Marsyas : perdre son enveloppe sonore, c'est perdre sa peau », sur idixa.net (consulté le ).