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DeutschFernand Engerand — Wikipédia
| Fernand Engerand | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (33 ans, 11 mois et 30 jours) | |
| Élection | 27 avril 1902 |
| Réélection | 6 mai 1906 24 avril 1910 26 avril 1914 16 novembre 1919 11 mai 1924 22 avril 1928 1er mai 1932 |
| Circonscription | Calvados |
| Législature | VIIIe, IXe, Xe, XIe, XIIe, XIIIe, XIVe et XVe (Troisième République) |
| Groupe politique | NI (1914-1919) ERD (1919-1924) URD (1924-1932) FR (1932-1942) |
| Prédécesseur | Louis Doynel de Saint-Quentin |
| Successeur | Maurice Delaunay |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Caen |
| Date de décès | (à 71 ans) |
| Lieu de décès | 8e arrondissement de Paris |
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Fernand Engerand, né le à Caen (Calvados) et mort le à Paris (Seine), est un homme politique français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Fils d'Auguste Engerand, ancien député, Jules Auguste Fernand[1] signe le manifeste de la Ligue de la patrie française en [2].
Fernand Engerand est député du Calvados de 1902 à 1936, siégeant à droite. Il s'intéresse à la fois aux questions sociales, et aux sujets de relations de l'Église et de l’État. Il dépose régulièrement des demandes d'abrogation de la loi d'exil qui frappe les anciennes familles régnantes depuis 1886. En 1909, il donne son nom à une loi qui institue un congé de maternité d'une durée de huit semaines, sans rémunération mais sans rupture du contrat de travail.
En , il est nommé membre du comité directeur de la Ligue des patriotes présidée par Maurice Barrès[3].
Il est inhumé le au cimetière de Montmartre (division 4)[4].
Distinctions
[modifier | modifier le code]- De l'Académie française
- 1899 : Prix Marcelin Guérin pour Ange Pitou, agent royaliste et chanteur des rues (1767-1846)
- 1917 : Prix Marcelin Guérin pour Les frontières lorraines et la force allemande
- 1941 : Prix Général-Muteau pour Les Trésors d’Art religieux du Calvados
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Acte de naissance », sur archives.calvados.fr (consulté le )
- « La Ligue pour la Patrie française », Le Temps, 6 janvier 1899, p. 2 (document consultable sur Gallica).
- La Presse, 28 mai 1920, p. 2.
- Cimetière de Montmartre-Registre annuel d'inhumation : Chimène-Fauconnier (1931-1940), p. 28
Sources
[modifier | modifier le code]- « Fernand Engerand », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Liens externes
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- Ressource relative à la littérature :
- Ressource relative à la recherche :
- Ressource relative à la vie publique :
