Fillette (périodique) — Wikipédia

Fillette
Fillette Jeune Fille
Image illustrative de l’article Fillette (périodique)

Pays Drapeau de la France France
Langue Français
Périodicité Hebdomadaire
Genre bande dessinée franco-belge
Fondateur Frères Offenstadt
Date de fondation
Date du dernier numéro
Ville d’édition Paris

ISSN 1163-5665 ; 1164-6764

Fillette est un périodique de bande dessinée français créé le par les publications Offenstadt en concurrence de La Semaine de Suzette, ciblant le même lectorat de petites filles, et dont le dernier numéro est paru le .

Fillette est un journal hebdomadaire, sauf durant la période du 29 septembre 1912 (no 155) à août 1914, où il est bihedomadaire[1]. Il possède 16 pages de format 19,5 × 29,5 cm, jusqu’au no 1754 (), où il passe au format 39 × 27,5 cm. À ses débuts, il coûte 5 centimes.

Interrompu pendant la seconde guerre mondiale, Fillette reparait le 2 mai 1946 sur huit pages, puis seize à partir du 19 décembre 1946. Le journal passe à 20 pages en 1954, puis 36 en 1959 et termine à 40 pages en 1964. En 1956, le titre devient Fillette Jeune Fille, pour rechercher un lectorat d'adolescentes[2].

C'est dans le premier numéro de ce journal que paraît pour la première fois la bande dessinée L'Espiègle Lili créée par Jo Valle (scénario) et André Vallet (dessins). Calvo dessine de nombreuses couvertures.

Entre les deux guerres, le magazine publie les séries suivantes[3]:

  • Plif ! Plaf ! Plouf ! La famille Grenouillett est la première bande dessinée à bulles parue dans Fillette.
  • Les Aventures du chien Brownie
  • Bobby Chien est la version française de la série américaine Peter Pupp par Bob Kane, futur dessinateur de Batman.

Après guerre, la publication comprend notamment les séries suivantes[2] :

Notes et références

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  1. Fillette 1909-1942
  2. a et b Fillette après guerre
  3. Site gallica.bnf.fr page sur le magazine Fillette.
  4. « Qui se souvient du titre de cette BD ? », sur BDoubliées, (consulté le )
  5. « 1994.45.11. Ys la disparue Musée départemental breton », sur musee-breton.finistere.fr (consulté le )

Bibliographie

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