Florimond Ier Robertet — Wikipédia

Florimond Robertet
Fonction
Trésorier de France
à partir de
Titres de noblesse
baron d'Alluye et de Brou
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Surnom
le Bon Florimond
le Grand Robertet
Monseigneur des finances
Monsieur le Trésorier
le Père des secrétaires d'État
Autres noms
Florimont Robertet
Époque
Allégeance
Formation
Activité
Famille
Père
Mère
Louise Chauvet
Fratrie
Conjoint
Enfant
Autres informations
Propriétaire de
Château de Bury, château d'Alluyes (d), hôtel d'AlluyeVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Armes brisées de la famille Robertet.

Florimond Robertet[Note 1], né vraisemblablement un entre 1457 et 1465 à Montbrison, et mort le 29 novembre 1527 à la Conciergerie de Paris[1], était un homme d'État français actif pendant la Renaissance.

Particulièrement proche des ducs de Bourbon puis des rois de France, il est resté célèbre pour avoir été un fonctionnaire important, spécialisé dans les affaires diplomatiques et fiscales du Royaume, pendant près de 40 ans et sous trois monarques différents, de Charles VIII († 1498) à François Ier († 1547). À une époque où s'affirme l'autorité souveraine (et non suzeraine comme au Moyen Âge) du pouvoir central du roi, son influence sur les affaires nationales lui valut le surnom de « Père des secrétaires d’État »[2], charge qu'Henri II officialisa en 1547[3].

Amateur des arts à l'image de son époque, Florimond est également réputé pour la collection d'œuvres qu'il a laissée à sa mort (dont des tableaux de Léonard de Vinci et une statue de Michel-Ange), ainsi que pour ses demeures dignes de la Renaissance, dont le château de Bury[Note 2] et l'hôtel d'Alluye, à Blois.

Frère cadet de François Ier Robertet, Florimond est le plus connu des fils de Jean III Robertet, celui dont la carrière brillante et l’existence fastueuse font image à l’époque de la Renaissance. Il est issu d'une famille de notables financiers de Montbrison, familiers des ducs de Bourbon et parfaitement insérés dans les structures administratives du comté de Forez depuis le début du XVe siècle : pendant près d'un siècle, le clerc de la Chambre des Comptes de Montbrison est un Robertet[4]. Monopole d'autant plus prégnant que contrairement aux autres chambres du duché, notamment celle de Moulins, le clerc de Montbrison est unique dès le milieu du XVe siècle[5].

Il fait de brillantes études, ses humanités à Lyon, son droit à Orléans ; il voyage beaucoup, parle couramment quatre langues[Lesquelles ?], et son ardeur au travail est extrême. Son père l’introduit, de bonne heure, dans ce monde intelligent, actif et fortement italianisé qui gravite autour des ducs de Bourbon et, par leur intermédiaire, auprès des rois de France.

Carrière politique

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Débuts au service des ducs de Bourbon en Forez

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Suivant les traces de son père et la tradition familiale, Florimond entre au service des ducs de Bourbon en tant que secrétaire retenu à la signature des finances en 1485 et devient châtelain de Montbrison en 1488[4]. Mais contrairement à son frère François, il choisit quelques années plus tard de résigner ses offices en Forez et de succéder à son père dans ses charges au service du roi dès 1490[4].

Entrée au service du roi

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Alors que son père se retire progressivement de ses charges, Florimond Robertet lui succède en tant que notaire et secrétaire du roi. Il intègre donc de fait le collège dit des « six vingts », corps rassemblant les notaires et de secrétaires du roi. Depuis une ordonnance de 1482, ce corps était doté de privilèges et bénéficiait de l'anoblissement d'office. Il possédait le monopole de la rédaction et de l'expédition des actes royaux passées en chancellerie[6],[7].

Toutefois, la fin du XVe siècle voit l'intensification de la production de documents émanant du roi passés hors chancellerie notamment les lettres missives : se développent alors des charges de secrétaires de la chambre[6]. Lors des premières guerres d'Italie, il accompagne le roi Charles VIII lors de la conquête du royaume de Naples et reçoit ses lettres de provisions en tant que secrétaire signant en finances en 1495[6].

La qualité de ses services lui permirent d'obtenir la confiance du roi et sa faveur, cette dernière étant indispensable pour pouvoir faire une prestigieuse carrière au service du prince à l'aube du XVIe siècle[6].

Un haut dignitaire apprécié de tous

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Dès le XVIIe siècle, Antoine Fauvelet du Toc, compilant son histoire des secrétaires d’État français, reconnaît Florimond Robertet comme « le père des secrétaires d’Estat », justifiant ce titre « puis qu’en effet, c’est luy qui commença à donner à ses emplois le degré d’élévation et de pouvoir dans lequel ils se sont enfin établis »[2].

Les textes tracent de lui un portrait flatteur : « le bon Florimond »[8] ou « le Grand »[9],[10], conseiller éclairé des rois[réf. souhaitée], le trésorier de France intègre et habile[11], l’ambassadeur indispensable[12],[13], l’intendant « aussi célèbre en son temps que Sully en le sien »[14],[source insuffisante]. Son ambition était extrême et il fut assurément l’un des banquiers du roi, qui ne pouvait se passer de faire appel à lui. Encore y fallait-il un réel courage car les exemples tragiques de ses prédécesseurs Jacques Cœur et Semblançay ne devaient pas quitter sa mémoire.

Ses qualités d’administrateurs sont vite remarquées et, lorsque Charles VIII part pour la guerre d’Italie, en 1494, il lui confie de lourdes responsabilités. En effet, il est chargé de la rédaction de dépêches fort importantes, soit dans la capitulation de Naples, soit dans les négociations avec le pape Alexandre VI. Il est bientôt compté parmi les « officiers du roi », puis « les secrétaires de la chambre » ; en 1495, il devient trésorier de France. Le , il est fait chevalier de l’ordre de Saint-Michel et greffier de l’ordre. Cette dernière fonction avait d'ailleurs été obtenue par son père en 1469 auprès de Louis XI , dont il était devenu l'un des favoris[4]. Son influence devient prépondérante, ainsi qu’en témoigne la lettre qu’Anne de France, dame de Beaujeu, envoie de Chantelle, « le XIe jour de décembre au trésorier Robertet », pour lui demander son aide auprès du roi, en ajoutant : « je vous prie, Monseigneur le Trésorier, que, de vostre part, m’y vueillez estre aydant mondit seigneur, et je m’en tiendrais bien tenue à vous, avec autres plaisirs que m’avez toujours faitz, et à Dieu, Monseigneur le Trésorier, que vous donne ce que vous désirez ».

David de Michel-Ange, dont Florimond a obtenu une copie en bronze.

Il participe aux pourparlers qui suivent la campagne d’Italie, accomplit plusieurs voyages et se tourne vers la diplomatie. Louis XII lui confie nombre de missions dont il s’acquitte au mieux, et qui lui rapportent, d’après la correspondance diplomatique, beaucoup d’argent et plus encore de cadeaux. Le plus notable est le David de bronze, commandé par Florence à Michel-Ange en 1502 et remis à Florimond en 1508. Il l'installera dans son château de Bury[15]. Il est adoubé chevalier vers 1508/1509 (peut-être à Agnadel). Le Fra Pietro da Novellara, écrit à Isabelle d'Este que Léonard de Vinci est occupé par la Vierge aux fuseaux destinée à « un certain Robertet », à savoir Florimond, et par un engagement non précisé auprès du roi de France Louis XII dont l’artiste souhaite s’acquitter en un mois[16]. L'inventaire des biens de Florimond Robertet dressé en 1532 ne mentionne pas le tableau qu'il avait pourtant reçu fin 1506 ou début 1507[17] et le tableau retrouvé par la suite ne sera rapproché de Léonard qu'à partir du XIXe siècle après son exposition à Londres en 1898.

La Madone aux fuseaux, tableau de Léonard de Vinci peint pour Florimond.

Cependant, sa charge de secrétaire et trésorier du roi le retient habituellement à la cour où son importance croît sans cesse. Il conseille certaines mesures financières qui se seraient révélées heureuses (il réussit à faire diminuer les impôts de moitié)[18] et, en 1505, devient membre du conseil de régence, auprès des plus hauts dignitaires du royaume[19].

C’est à cette époque, qu’il fait entreprendre, à Blois, la construction d’une résidence seigneuriale (ap. 1498-1508), l’hôtel d'Alluye, où l’on retrouve toute la grâce de la Renaissance française.

Par la suite, il acquiert les baronnies, seigneuries ou châtellenies d'Alluyes (en 1514/1518 ; baronnie acquise sur Antoine de Luxembourg-Brienne), de Brou au Perche-Gouët (1509 ; Brou porte toujours aujourd’hui les armes des Robertet), La Guierche au Maine (1508), Paray, Roche-en-Régnier (de 1507 à 1510), Bury-en-Blésois (1511), et les terres et châtellenies de Villemomble en 1507 sur Aymar de Prie-Buzançais. C’est à Bury qu’il fait commencer par un architecte italien (on a des raisons de penser que Léonard de Vinci, séjournant à Amboise, a été consulté à ce sujet), la construction d’un château très caractéristique de l’époque d’une envergure telle, qu’on ne pouvait le comparer qu’avec Chambord. C’était plus une demeure de plaisance qu’une forteresse, l’un des premiers châteaux d’agrément du Val de Loire[Note 3]. Vers 1518, Florimond Robertet remplace l'ancien manoir féodal situé à Villemomble, dans le bassin parisien, par un château Renaissance assez vaste pour y recevoir François Ier[réf. nécessaire],[Note 4].

Le château de Bury, construit pour Florimond, rivalisait d'architecture avec le palais royal de Chambord. Le David de bronze est d'ailleurs visible au cœur de la cour[20].

L’avènement de François Ier le porte au fait des honneurs et il joue un rôle important pour favoriser le mariage du roi avec la princesse Claude de France. En récompense de ses services éminents, François Ier le nomme baron d’Alluye et lui fait don des sommes nécessaires pour terminer Bury. Il participe à l’expédition d’Italie, assiste aux audiences du roi au camp de Marignan, à l’entrevue de Bologne.

Épuisé par les fatigues de cette vie mouvementée, il tombe malade et, en 1521 se démet d’une partie de ses fonctions en faveur de son fils François, filleul du roi.

Mais le désastre de Pavie, avec les obligations de la régence, lui cause un surcroît de travail ; avec Louise de Savoie, il s’emploie activement à réunir la rançon du Roi.

Il étudie avec elle une lettre, saisie sur un courrier, qui établit la trahison du connétable de Bourbon, et contribue grandement à la conclusion de la paix.

Il meurt à Paris le 29 novembre 1527 à la Conciergerie (il était depuis 1513 concierge et bailli du Palais) et François Ier lui fait faire d’éclatantes funérailles à la mode de l’époque ; l’éloge funèbre est prononcé, en présence du roi, par son ami Alleman, évêque de Grenoble, puis le corps est transporté à Blois sur un char « précédé de cent torches ardentes aux armes du défunt ». L’inhumation a lieu à la chapelle d’Alluye, à l’église Saint-Honoré de Blois. Clément Marot écrit alors pour lui une Déploration de 555 vers, qui reste un des poèmes les plus révélateurs et importants de son œuvre.

L’inventaire des biens sera établi en 1532 à Bury ; la liste est dressée par sa veuve Michèle Gaillard de Longjumeau qu'il avait épousée en 1502, des innombrables cadeaux, bijoux, objets d’art, offert à l’occasion de ses diverses missions. On note entre autres, une « apothicairerie de poudres, médicaments, ingrédients, mannes, conserves, sirops, et rares essences, que la prévoyance et la charité de Florimond avaient fait venir de tous les costez, tant des pays froids que chauds. Cette apothicairerie fut visitée par Monsieur de Rabelais, célèbre médecin, qui fut en admiration de tout ce qu’il vit ». On trouve aussi « une esquelette étiqueté de billets de parchemins chiffrez, contenant les noms de chaque chose dont est composé le corps humain ».

On retrouve là le témoignage de la curiosité universelle des hommes de la Renaissance, ouverts à toutes les civilisations et à toutes les cultures sous l’influence de leurs études, de leurs voyages, de leurs expériences.

Mariage et descendance

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Il avait épousé, en 1504 à Amboise, Michelle Gaillard de Longjumeau (vers 1488–1549), beaucoup plus jeune que lui, fille du Général des Finances et des Galères et ancien maire de Tours, Michel Ier Gaillard, seigneur de Longjumeau, Chailly, Villandry et Savonnières, et sœur de Michel II Gaillard († 1535, sire de Chilly et Longjumeau, beau-frère de François Ier par sa femme Souveraine d'Angoulême).

Le couple eut au moins huit enfants dont le destin fut assez mouvementé :

Blason Blasonnement :
D'azur à la bande d'or chargée d'un demi-vol dextre de sable posé à plomb et accompagnée de trois étoiles à six rais d'argent.

D'après Henri-Émile de La Vallière et son étude de l'hôtel d'Alluye, ce blasonnement est incomplet. Selon lui, les Robertet portaient « d’azur, à la bande d’or chargée d’un demi-vol de sable et accompagnée de trois étoiles à six rais d’argent, une en chef, au canton sénestre, une à dextre du milieu de l’écu, la troisième en pointe »[Note 5] le tout, dans le cas spécifique de Florimond, avec une « filière engrêlée de gueules »[23]. Citant par ailleurs Jean Boisseau[24], de La Vallière estime que cette bordure engrêlée rappelerait que Florimond eût été le quatrième fils de la fratrie, mais il est important de noter que, même si de telles règles de droit héraldique ont existé, leur application au sein du royaume de France n'a jamais pu être harmonisée, ni autant respectée comme cela a pu être le cas au Royaume-Uni ou au Canada, notamment.

Dessin des armes de Florimond Robertet d'après Henri-Émile de La Vallière. Contrairement à son propre blasonnement, il a dessiné des étoiles à « huit rais » au lieu de six[23].

Notes et références

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  1. On trouve également l'orthographe « Florimont Robertet ».
  2. Le château de Bury, situé à Molineuf et construit pour Florimond Robertet, est aujourd'hui en état de délabrement, depuis son abandon par ses héritiers successifs au cours du XVIIIe siècle.
  3. Le château de Bury construit pour Florimond Robertet est aujourd'hui en état de délabrement, depuis son abandon par ses héritiers successifs au cours du XVIIIe siècle.
  4. Le château Renaissance de Villemomble construit pour Florimond Robertet a été remplacé par l'actuel château de Villemomble, érigé en 1769 par Louis-Philippe d'Orléans.
  5. Si l'on s'en suit formellement aux règles héraldiques, il faudrait aussi préciser un « demi-vol dextre posé à plomb » (voir Le blason, dictionnaire et remarques d'Amédée de Foras, 1883, p. 447 (lire en ligne Accès libre)) ainsi qu'« au flanc dextre » plutôt qu'« à dextre du milieu de l'écu » pour positionner la deuxième étoile.

Références

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  1. Chevalier 2011, p. 100.
  2. a et b du Toc 1668, p. 21.
  3. Hélion de Luçay, « Des secrétaires d'État jusqu'à la mort de Mazarin (1661) », dans Revue historique de droit français et étranger, Dalloz (no 1), (lire en ligne), p. 159
  4. a b c et d Chevalier 2011, p. 100.
  5. Olivier Mattéoni, « Les Chambres des comptes de Moulins, Montbrison et Villefranche-en-Beaujolais à la fin du Moyen Âge », dans Les Chambres des comptes en France aux XIVe et XVe siècles, Institut de la gestion publique et du développement économique, coll. « Histoire économique et financière - Moyen Âge », , 43–89 p. (ISBN 978-2-11-129443-1, lire en ligne)
  6. a b c et d Chevalier 2011, p. 101.
  7. Thierry Sarmant et François Ploton-Nicollet, « Secrétaires du roi (no 1739 à 1807) », dans Jetons des institutions centrales de l’Ancien Régime. Catalogue. Tome II : Juridictions (n°826 à 2621), Éditions de la Bibliothèque nationale de France, coll. « Monnaies, Médailles et Antiques », , 116–127 p. (ISBN 978-2-7177-2567-4, lire en ligne)
  8. Clément Marot et Francois de Sagon, Œuvres de Clément Marot, t. III, La Haye, (lire en ligne Accès libre), p. 278
  9. Bernier 1682, p. 493.
  10. Mignot 1996, p. 166.
  11. Jean-Baptiste-Rosario Gonzalve, Études historiques : Les finances françaises sous l'ancienne monarchie, la République, le Consulat et l'Empire, t. I, (lire en ligne), p. 145
  12. Claude Albert Mayer et Dana Bentley-Cranch, Florimond Robertet (?-1527), homme d'état français, , p. 63
  13. Chevalier 2011, p. 108.
  14. de La Vallière 1876, p. 306.
  15. lire en ligne
  16. La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne, dit La Sainte Anne de Léonard de Vinci, fiche mentionnant La Vierge aux fuseaux, sur le site de la collection du musée du Louvre.
  17. Eugène Grésy, « Inventaire des objets d'art composant la succession de Florimond Robertet », dans Mémoires de la Société impériale des Antiquaires de France, t. XXX, , p. 21-66.
  18. du Plessis 1852, p. 523.
  19. du Plessis 1852, p. 517.
  20. Anatole de Montaiglon, « La vie de Michel-Ange », Gazette des beaux-arts, vol. 13 (2),‎ , p. 245 (lire en ligne).
  21. a b et c Le Laboureur 1659, p. 38.
  22. a et b Le Laboureur 1659, p. 39.
  23. a et b de La Vallière 1876, p. 313–314.
  24. Jean Boisseau, Promptuaire armorial, Paris, (lire en ligne), p. 11

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Textes anciens

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  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Le Laboureur 1659] Jean Le Laboureur, « Postérité de Michelle Gaillard, femme de Florimond Robertet », dans Les Mémoires de messire Michel de Castelnau, seigneur de Mauvissière, Paris, Lamy, (lire en ligne), p. 38–40.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [du Toc 1668] Antoine Fauvelet du Toc, Histoire des secrétaires d’Estat, contenant l’origine, le progrès, et l’établissement de leurs charges, avec les éloges, les armes, blasons, et généalogies de tous ceux qui les ont possédées jusqu’à présent, Paris, C. de Sercy, , 336 p. (lire en ligne Accès libre).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Bernier 1682] Jean Bernier, Histoire de Blois, F: Muguet, , 662 p. (lire en ligne).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [du Plessis 1852] Louis-Alexandre Gitton du Plessis, « Les Robertet », dans Mémoires de la Société des sciences et lettres de Loir-et-Cher, Blois, Société des sciences et lettres de Loir-et-Cher (no 4), (lire en ligne), p. 512–583.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Montbrison 1857] Chapitre de Montbrison, « Les Robertet », dans Le cabinet historique, vol. III, Montbrison, (lire en ligne), partie 1, p. 124–129.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de La Saussaye 1862] Louis de La Saussaye, Blois et ses environs, Blois, , 3e éd., 350 p. (lire en ligne).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Grésy 1868] Eugène Grésy, « Inventaire des objets d'art composant la succession de Florimond Robertet », dans Mémoires et dissertations sur les antiquaires nationales et étrangères, t. X, Société nationale des antiquaires de France, (lire en ligne), p. 1–66.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Gras 1869] Louis-Pierre Gras (archiviste), « Généalogie des Robertet », dans Revue forézienne d'histoire et archéologie, Montbrison, Société archéologique et historique du Forez (no 3), , p. 179–185.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de La Vallière 1876] Henri-Émile de La Vallière, « Une simple remarque héraldique sur la famille Robertet », dans Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, Vendôme, Société archéologique du Vendômois (no 15), (réimpr. 2024) (ISBN 978-3-38503-884-4, lire en ligne), p. 305–318.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Delaroa 1877] Joseph Delaroa, « Oraison funèbre de Florimond Robertet, Forézien, par Mgr Alleman, évêque de Grenoble », dans Recueil de mémoires et documents sur le Forez, Montbrison, Société de la Diana, (lire en ligne), p. 172–228.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Hénault 1882] A. Hénault (abbé), « Notice sur la statue ouvrante de Sainte-Marie d'Alluyes », dans Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir (no 7), (lire en ligne), p. 386–388.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Vachez 1883] Antoine Vachez, Le château de Châtillon d'Azergues, Lyon, A. Brun, , 2e éd., 100 p. (lire en ligne Accès libre).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de Maulde-La Clavière 1893] René de Maulde-La Clavière, Histoire de Louis XII, vol. III, Paris, Leroux, (lire en ligne), partie II : La diplomatie.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Dacier 1898] Émile Dacier, « Florimond Robertet, secrétaire du roi et trésorier de France (?–1527) », dans Extrait de Positions de thèses de l’École des chartes, Toulouse, Privat, (lire en ligne), p. 35–39.

Textes récents

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  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Lapeyre et Scheurer 1978] André Lapeyre et Rémy Scheurer, Les notaires et secrétaires du roi sous les règnes de Louis XI, Charles VIII et Louis XII (1461–1515), Paris, (ISBN 978-2-717-71403-6), t. I (lire en ligne)[réf. incomplète] et II (lire en ligne).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Mascle 1978] Thérèse Mascle, « Les Robertet », dans Études foréziennes, Aspects de la vie littéraire en Forez, Saint-Étienne, Centre d'études foréziennes (no 9), (lire en ligne), p. 9–24.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Hamon 1994] Philippe Hamon, L'argent du roi : Les finances sous François Ier, Paris, Institut de la gestion publique et du développement économique, coll. « Histoire économique et financière - Ancien Régime », , 609 p. (ISBN 978-2-11-128763-1, DOI 10.4000/books.igpde.108 Accès libre, lire en ligne).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Mayer et Bentley-Cranch 1994] Claude Albert Mayer et Dana Bentley-Cranch, Florimond Robertet (?-1527), homme d'État français, Champion, , 221 p. (ISBN 978-2-852-03314-6).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Mignot 1996] Dominique-Aimé Mignot, « Les Robertet : grands serviteurs de l'État (XVe – XVIe siècles) », dans Bulletin de la Diana, t. LV, Montbrison, Société de la Diana, (lire en ligne), p. 161–198.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Hamon 1999] Philippe Hamon, « Messieurs des finances » : Les grands officiers de finance dans la France de la Renaissance, Vincennes, Institut de la gestion publique et du développement économique, coll. « Histoire économique et financière de la France », , 506 p. (ISBN 978-2-821-82834-6, lire en ligne).
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Chevalier 2011] Bernard Chevalier, « Florimond Robertet (v. 1465–1527) », dans Les conseillers de François Ier, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (réimpr. 2019) (ISBN 978-2-753-56794-8, lire en ligne), p. 99–116.
  • Olivier Durand-Mille, Robertet : l'ami français de Machiavel, Éditions de la Bisquine, coll. « Une vie, une époque », , 332 p. (ISBN 979-1-092-56628-4).

Voir plus loin

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Liens externes

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Articles connexes

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