Fresne-Léguillon — Wikipédia

Fresne-Léguillon
Fresne-Léguillon
La mairie.
Blason de Fresne-Léguillon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Aude Ribeiro de Sousa
2023-2026
Code postal 60240
Code commune 60257
Démographie
Population
municipale
440 hab. (2021 en évolution de −3,08 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 18″ nord, 1° 59′ 05″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 132 m
Superficie 7,31 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Fresne-Léguillon
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Fresne-Léguillon
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Fresne-Léguillon
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Fresne-Léguillon
Liens
Site web http://www.mairie-fresnesleguillon.fr/

Fresne-Léguillon (parfois orthographiée Fresne-L'Éguillon, Fresnes L'Éguillon ou Fresnes-L'Éguillon[1]) est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Fresne-Léguillon est un village du vexin français dans l'Oise, situé à 11 km à l'ouest de Méru, 24 km au nord-ouest de Pontoise, 7 km à l'est de Chaumont-en-Vexin et 15 km de Gisors et 21 km au sud-ouest de Beauvais.

En 1827, Louis Graves indiquait que le territoire communal « formé de plusieurs coteaux en pente douce, séparés par deux vallées, dans l'une desquelles coule le ruisseau du Mesnil, et dans l'autre le ruisseau de Pouilly[2] ».

Fresne-Léguillon se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, la zone d'emploi de Beauvais et le bassin de vie de Chaumont-en-Vexin[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Fleury, Ivry-le-Temple, Monneville, Senots et Montchevreuil.

Rose des vents Bachivillers Senots Rose des vents
Fleury N
O    Frene-Léguillon    E
S
Monneville Ivry-le-Temple

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,31 km2 ; son altitude varie de 74 à 132 mètres[3].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ru du Mesnil, le ru de Pouilly[4], le cours d'eau 01 de la commune de Fresne-le-Guillon[5] et le ru du Mesnil[6],[7],[Carte 1].

Le ru du Mesnil, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Le Mesnil-Théribus et se jette dans la Troesne à Fleury, après avoir traversé cinq communes[8]. Ce ruisseau a alimenté de nombreux moulins le long de ses 10,7 km, au Mesnil-Théribus, Fresneaux-Montchevreuil, Villette, Senots, Lannoy, Fresne-Léguillon, le Vivier, de la ferme de Fleury, du Bout-d'en-bas et de Neuvillette[9].

Le Ru de Pouilly draine, au sud du territoire communal, le hameau de Heulecourt, et se jette également dans le canal de Marquemont.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Au , Fresne-Léguillon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 2].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,8 %), forêts (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (3,8 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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La commune dispose d'un hameau, Heulecourt, qui comptait une soixantaine de maisons en 1827[2].

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 195, alors qu'il était de 191 en 2014 et de 190 en 2009[I 3].

Parmi ces logements, 85,1 % étaient des résidences principales, 6,7 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,2 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fresne-Léguillon en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,7 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,7 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 5].

Le logement à Fresne-Léguillon en 2019.
Typologie Fresne-Léguillon[I 3] Oise[I 6] France entière[I 7]
Résidences principales (en %) 85,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,7 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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Fresnes-L'Éguillon est desservi par l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923), qui relie Méru à Chaumont-en-Vexin.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 617, 6105 et 6131 du réseau interurbain de l'Oise[18].

Le nom du lieu est attesté sous les formes Guillelmus aculeus (vers 1120)[19] ; Willelmi aculeii de Treia (1147) ; juxta Fresneium (1160) ; Fresnes (1169) ; de Fraxinis (1172) ; apud fresnas (XIIe) ; « Ingelramnus aculeius filius domni Willelmi aculei de Treia » (1161-1175) ; de Fraxinis laguillon (1218) ; Robertus prepositus de Fresnis (vers 1161) ; Fresneium (vers 1230) ; Fraxinetum (vers 1230) ; Fragnoe (vers 1240) ; Frasnioe (vers 1240) ; de fresne (XIIIe) ; « Philipes de Trie sire de fraynes » (1302) ; Fraxini l'aguillon (1337) ; le sire du Fresne lesguillon (1355) ; fresnes laguillon (1410) ; Fresnes (XVe) ; Fresnes et l'aiguillon (1501) ; Fresnes-Lesguillon (1589) ; apud fraxinos aculii (XVIe) ; Fresne l'Esguillon (1650) ; Fresnes l'Esguillon (1667)[19] ; Fresnes laiguillon[2] (1733) ; Frênes l'Eguillon (vers 1750) ; Fresnes-Léguillon (XIXe)[19]. La commune est instituée par la Révolution française sous le nom de Fresnes en 1793 et de Fresnes-l'Eguillon en 1801, elle prend ultérieurement son nom officiel actuel de Fresne-Léguillon[3] ; Fresnes-l'Eguillon (1942) ; Fresne-Léguillon (1952)[19].

Le nom de la localité est attesté sous la forme de Fraxinis en 1172. Fresnes, pluriel de l'ancien français fresne « frêne », est issu du latin fraxinus « frêne »[20].

L'Éguillon provient du surnom de Guillaume de Trie, dit « Aiguillon »[20].

Temps modernes

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La châtellenie de Fresnes était la propriété jusqu'en 1777 par les princes de Conti, et son terroir était pour eux un rendez-vous de chasse[21].

Henri IV est venu à Fresne le [21].

Époque contemporaine

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En 1827, le tissage des toiles blondes pour les manufactures de Chantilly était en déclin[2].

En 1859, on compte dans la commune un presbytère et une école. deux moulins sur le Ru du Mesnil et trois sur celui de Pouilly. La population est agricole[21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise[I 2]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin[I 2]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Fresne-Léguillon est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1912 mai 1945 Alexandre Goré[23],[24] Rad. ind. Agriculteur
Sénateur de l'Oise (1933 → 1940)
Conseiller d'arrondissement du canton de Chaumont-en-Vexin (1919 → 1939).
Président de la Société des agriculteurs de l'Oise (1924 → ?)
Président de la chambre d'agriculture de l'Oise (1925 → 1936)
Nommé membre de la Commission administrative départementale en 1941[25]
Officier de la Légion d'honneur, officier du Mérite agricole
novembre 1947[24]   Alexandre Goré   Ancien agriculteur
Président de la Société des agriculteurs de l'Oise (1924 → ?)
Officier de la Légion d'honneur, officier du Mérite agricole
         
mars 2001 mars 2008 Ginette Toulemonde    
mars 2008 mai 2020[26],[27] Jean-Michel Bouchard   Tailleur de pierre, meilleur ouvrier de France en 2004[28]
mai 2020[29] janvier 2023[30],[31] Christian Legros   Couvreur à la retraite
Démissionnaire
avril 2023[32] En cours
(au 30 novembre 2023)
Aude Ribeiro de Sousa   Employée civile ou agent de service de la fonction publique

Équipements et services publics

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Enseignement

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L'école.

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Fay-les-Étangs, Fleury et Senots dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[29] (RPI).

La construction d'une nouvelle école, conçue par le cabinet Kaleadoscope Architecture, est prévue vers 2023 par la municipalité en extension de l'équipement ancien, dans le petit parc à côté de la salle des fêtes[33],[34].

Postes et télécommunications

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En 2024, Fresne-Léguyon dispose d'une agence postale[35].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 440 habitants[Note 2], en évolution de −3,08 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
445468496480535513512400481
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
456466424423452436418385354
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
361375373331334310321332317
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
298307354313394467478480468
2017 2021 - - - - - - -
438440-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 196 femmes, soit un taux de 55,25 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,5 
3,7 
75-89 ans
4,6 
13,2 
60-74 ans
14,8 
16,9 
45-59 ans
22,4 
20,7 
30-44 ans
21,9 
14,9 
15-29 ans
18,4 
30,2 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption Logo monument historique Inscrit MH (1927)[41], dont la nef date du XIe siècle, et qui a été divisée en trois vaisseaux en 1896 dans un style néo-gothique tardif. Le transept, le chœur et l'abside à sept pans sont construits avec un grand rafinement au XIIIe siècle. Le clocher est reconstruit au XVIe siècle ainsi que les arcades de la croisée. La chapelle seigneuriale est construite à la même époque au sud du chœur, en style Renaissance[42].
  • Lavoir en briques et tuiles, sur le Ru du Mesnil[9]
  • Moulin du XIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Fresne-Léguillon Blason
D'argent au frêne de sinople ; au chef d'azur chargé de trois molettes à cinq rais du champ[43].
Détails
Armes parlantes (Fresne → frêne).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Fresne-Léguillon, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 144-146

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Fresne-Léguillon » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b « Commune de Fresne-Léguillon - Date de création : avant 1943, première édition du Code officiel géographique », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Fresne-Léguillon ».
  3. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fresne-Léguillon » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresne-Léguillon - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresne-Léguillon - Section LOG T7 » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Yoann Roche, « Fresnes l'Éguillon, le village du Vexin aux quatre orthographes : Malgré un combat mené de longue date par la municipalité, les panneaux de signalisation ou aux entrées du village arborent tous des orthographes différentes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 293-294, sur Google Livres.
  3. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Sandre, « le ru de Pouilly »
  5. Sandre, « le cours d'eau 01 de la commune de Fresne-le-Guillon »
  6. Sandre, « le ru du Mesnil »
  7. « Fiche communale de Fresne-Léguillon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  8. Sandre, « le ru du Mesnil »
  9. a et b Thiéry Maille, « Fresne-Léguillon : Lavoir », Chemins > Archéologie et histoire, sur lacommunautedeschemins.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Fresne-Léguillon et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Transports en commun à Fresne-Léguillon », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. a b c et d Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 230.
  20. a b et c Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , p. 98, 99.
  21. a b et c Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Achille Desjardins, , 218 p. (lire en ligne), p. 144-145, sur Google Livres.
  22. « Les maires de Fresne-Léguillon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Goré Alexandre », Vos sénateurs > Anciens sénateurs IIIème République, sur senat.fr (consulté le ).
  24. a et b « GORE Alexandre Désiré », Basee Léonore - Ministère de la culture (consulté le ).
  25. « Commissions administratives - Arrêtés du 3 février 1941 », Journal officiel de l'État français, no 35,‎ , p. 549 (lire en ligne, consulté le ).
  26. M.B., « Coronavirus: à Fresne-L'Éguillon, le maire réinvente la com' confinée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En réalité, l'édile bosse un petit peu pour la prochaine majorité. « Nous avons été balayés aux élections par la liste d'un ancien conseiller municipal », déplore Jean-Michel Bouchard. En l'occurrence, Christian Legros, qui a remporté la mise à 18 voix près ».
  27. Clémence Bauduin, « À Fresnes-Léguillon, les opposants au nouveau maire font dans la satire : Candidats déchus ou habitants déçus, ils prennent la plume pour critiquer vertement la nouvelle équipe municipale. », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'humour offre quelques libertés, mais s'estompe parfois pour laisser place à la déception. « Les blagues, les dessins… Tout ça permet de dédramatiser la situation, car ils foutent le village en l'air », lance l'ancien élu, amer. La défaite du 15 mars dernier, à quelques voix près, n'est pas encore passée ».
  28. Corinne Fourcin, « Fresne-L'Eguillon : JMB Taille de pierre, un savoir-faire gravé dans le marbre », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. a et b Matthieu Le Tirant, « Une quatrième classe pour l'école de Fresne-Léguillon : Christian Legros, élu récemment maire face Jean-Michel Bouchard, édile sortant, dévoile la liste des projets que son équipe aura à mener durant la mandature. », L'Impartial ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Fresnes-l'Éguillon. Épuisé, le maire du village déménage », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 1999, j'ai été élu pour la première fois conseiller municipal. Depuis lors, je suis élu sans discontinuer. J'ai été tour à tour conseiller, deuxième adjoint, premier adjoint, conseiller, puis maire ».
  31. « Arrêté préfectoral du portant convocation des électeurs de la commune de Fresne-Léguillon en vue de procéder à une élection municipale partielle complémentaire les 16 et 23 avril 2023 et fixant les dates d'ouverture et de clôture du délai de dépôt des déclarations de candidatures » [PDF], sur oise.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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