Front national des combattants — Wikipédia

Front national des combattants
Histoire
Fondation
Dissolution
Successeurs
Front national pour l'Algérie française (d), Cercle du Panthéon (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Cadre
Sigle
FNCVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Objet social
Contribuer à la sauvegarde de l'Union française en luttant contre le défaitisme et toute politique d'abandon ; défendre, en tous temps et en tous lieux, les intérêts et droits matériels et moraux des combattants français.Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Paris (9, villa Poirier, 75015)Voir et modifier les données sur Wikidata
Pays
Organisation
Fondateurs
Positionnement

Le Front national des combattants (abrégé en FNC) est un parti politique français fondé en 1957 par Jean-Marie Le Pen.

Il succède à l'éphémère Mouvement national d'action civique et sociale (MNACS), dissident de l'Union et fraternité française et de son syndicat Union de défense des commerçants et artisans (UDCA) et présidé par Louis Alloin.

Dominique Chaboche[1] en était l’un des premiers adhérents aux côtés d’anciens poujadistes, comme Jean-Maurice Demarquet, Alain Jamet, mais également Georges Sauge et Jean-Pierre Reveau. Son journal était le bimensuel L'Unité, que géraient notamment Jean-Marie Le Pen et Guy Mougenot. Le parti, qui se saborde en 1958 (avant les législatives de la même année), est considéré comme l'ancêtre du Front national (FN).

Le Front national pour l'Algérie française (FNAF) lui a brièvement succédé entre juillet et décembre 1960, date à laquelle il est dissous en conseil des ministres[2].

Le FNC, lui, est officiellement dissous en [2].

Notes et références

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  1. « Disparition : Dominique Chaboche », dans Le Monde, 20 novembre 2005.
  2. a et b « Les "front national" de Jean-Marie Le Pen », sur ipolitique.fr (consulté le ).

Article connexe

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Bibliographie

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