Gabolde — Wikipédia
Gabolde est un nom de famille d'origine occitane orthographié généralement Gabalda, Gavalda ou Gabaldo signifiant descendant des Gavales (tribu gallo-romaine occupant le Pagus Gabalditanus qui devint le Gévaudan)[1]. Ce nom ne doit pas être confondu avec celui de « Gabold » d'origine germanique, issu de l'ancien nom de personne germanique Wadbald (composé de wad qui signifie gage et bald qui signifie audacieux).
- Christian Gabolde, né en 1924, conseiller d'État[2], décédé le 7 mars 2023 à Caluire, dans sa 99e année.
- Emmanuel Gabolde, éditeur.
- Jean Gabolde, enseigne de vaisseau, né en 1882 et décédé le 25 septembre 1911 en se portant au secours des victimes de l'explosion du cuirassé Liberté en rade de Toulon[3]. Sur le dossier de l'officier Gabolde, le capitaine de frégate Paul Chack, chef du service historique de la marine, avait écrit, en travers de la couverture, cette note complémentaire, le 14 février 1929 : « Un navire de guerre porte le nom de l'Enseigne Gabolde, commémorant ainsi sa conduite héroïque lors de l'explosion du cuirassé « Liberté », le 25 septembre 1911 ».
- Luc Gabolde et Marc Gabolde, frères jumeaux nés de Raymond Gabolde et Françoise Payen[4], tous deux égyptologues.
- Louis Gabolde, juge honoraire à Revel (haute-Garonne), marié à une demoiselle Get, inventeur en 1862 du Pippermint Get[1] dont l'usine d'origine se trouvait à Revel (Haute-Garonne).
- Maurice Gabolde, garde des Sceaux pendant le régime de Vichy.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Christian Gabolde, L'ivre de raison, Metz, Les éditions Emmanuel Gabolde, , 256 p. (lire en ligne), http://www.wobook.com/WBDf0VX6S54F-12-f-a/L-IVRE-DE-RAISON/Page-11.html.