Goutrens — Wikipédia

Goutrens
Goutrens
Village de Cassagnes-Comtaux
(commune de Goutrens).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité CC du Pays Rignacois
Maire
Mandat
Jean-Christophe Couderc
2023-2026
Code postal 12390
Code commune 12111
Démographie
Population
municipale
482 hab. (2021 en évolution de −5,49 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 38″ nord, 2° 22′ 13″ est
Altitude Min. 331 m
Max. 725 m
Superficie 25,99 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Enne et Alzou
Législatives 2e circonscription de l'Aveyron
Localisation
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Goutrens
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Goutrens
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Goutrens
Liens
Site web https://www.goutrens.fr/

Goutrens est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le dolmen de la Serre.

Géographie

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Localisation

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Goutrens est un village du Rouergue en surplomb de la vallée du causse Comtal, situé à 20 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Rodez, 7 km au nord-est de Rignac et 29 km de Villefranche-de-Rouergue, 33 km au sud-est de Figeac et 16 km de Decazeville.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Rodez et dans sa zone d'emploi, ainsi que dans le bassin de vie de Marcillac-Vallon[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Belcastel, Bournazel, Clairvaux-d'Aveyron, Escandolières, Rignac, Saint-Christophe-Vallon, Valady et Mayran.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 25,99 km2 ; son altitude varie de 331 à 725 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

La commune est drainée par l'Alzou, un affluent de l'Aveyron (affluent du Tarn) et donc un sous-affluent de la Garonne par le Tarn.

On y trouve également d'autres cours d'eau moins importants, tels que le Riou Nègre, le ruisseau d'Entérieux et le Ravin de Costefumade.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Colombiès à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 989,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Goutrens est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Goutrens  : nom de type germanique : goth peuple et en occitan Gotrens[réf. nécessaire].

Trésor de Goutrens

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En 1867, un trésor monétaire gaulois a été trouvé près de Goutrens. Un agriculteur de La Sancie qui piochait sa vigne déterre quelques bizarres piécettes en argent : alléché par sa trouvaille, il poursuit sa recherche et rassemble un véritable trésor de plus de 20 000 de ces monnaies auxquelles viennent s’ajouter 4 kg du même métal en petits lingots de 50 à 100 g. Ces monnaies du type « à la croix » et du « sanglier », épaisses et de forme irrégulière, pèsent uniformément 2,20 g et sont d’un métal très épuré. Sur leur surface, est imprimé la tête stylisée d’un homme aux cheveux bouclés, tandis que les revers portent tantôt un sanglier, tantôt une croix aux angles garnis de divers symboles : hache, soleil, collier…

C’est là un véritable trésor, non seulement par sa valeur marchande, mais aussi par la richesse qu’il représentait lors de son enfouissement et, plus encore, par l’importance des renseignements historiques et scientifiques qu’il nous a transmis. L’intérêt d’une telle découverte s’exprime à travers les très nombreuses études que les archéologues et les numismates lui ont consacrées de 1868 à nos jours. Que reste-t-il aujourd’hui de ce fabuleux trésor ? Quelques échantillons dans divers musées : Rodez (collection de la Société des Lettres), Toulouse, Paris, …Tout le reste a été fondu, faute de trouver acquéreur.

Prieuré de Saint-Amans

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Le prieuré de Saint-Amans dépendait du chapitre de la cathédrale de Rodez. Il fut d’abord annexe de celui de Cassagnes-Comtaux, mais depuis la situation s'est inversée et il est devenu une église succursale. L’église a été construite vers 1890. La flèche de son clocher supporte une splendide et non moins originale croix occitane. À l’extérieur du bras droit du transept, du côté de la sacristie, une pierre taillée en forme d’écusson, posée renversée, provient dit-on, de l’ancienne église où elle formait la clé de voûte d’un arceau. Elle porte une inscription, de lecture assez difficile qui pourrait être le nom du massonnier (maçon) ayant construit le premier édifice vers le XVe siècle.

Cassagnes-Comtaux

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Cassagnes-Comtaux, était autrefois appelé Cassagnes-de-Panadès (XIIIe siècle) du nom du château de Panat qui se dresse sur un piton de l’autre côté de la vallée, au-dessus de Clairvaux-d'Aveyron. Cassagnes est cité depuis l’an 1000. Le village qui est perché sur une butte comprenait trois châteaux reliés par une enceinte :

  • le Castelviel ou château du comte de Rodez qui y entretenait un capitaine (d’où le nom du village), près de l’église actuelle,
  • le château de Saint-Félix au-dessus du village, occupé par la famille de Saint-Félix puis celle d’Hebrard (XVIe siècle),
  • le château de Flars, au fond du village (famille Mancip, seigneur de Bournazel ; par mariage, passage aux Cassagnes).

Le chapitre de la Cathédrale Notre-Dame de Rodez y avait une maison dite le Capitoul, utilisée comme maison de détention en 1793.

Notabilités

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Les comtes de Rodez avaient un capitaine à Cassagnes. Le village eut un notaire jusqu’à la fin du XIXe siècle et une école dès le XVIIe siècle. Il y eut donc des activités et notabilités que la situation actuelle de la commune ne laisse pas soupçonner.

Époque contemporaine

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La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Gontrains Bas, est intégrée en 1830 à celle de Bournazel[1].

Une autre commune, Cassagnes-Goutrens, absorbe, elle, en 1830, une partie de La Capelle, en 1844, le hameau de Goutrens Bas provenant de Bournazel[1], dont le chef-lieu est transféré à Goutrens en 1902[11], et la commune prend sa dénomination actuelle de Goutrens en 1917[1].

L’ancien chef-lieu de la commune était à Cassagnes-Comtaux. À la suite d’une longue dispute entre ce village et celui de Goutrens, la commune est appelée Cassagnes-Goutrens, puis le [réf. nécessaire].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouvait dans l'arrondissement de Rodez du département de l'Aveyron. Par un arrêté préfectoral du 29 décembre 2016, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue[12],[I 1].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Rignac[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Enne et Alzou[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aveyron.

Intercommunalité

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Goutrens est membre de la communauté de communes du Pays Rignacois[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[13]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1798 Jean Louis Gombert    
1798 1799 Jean Azemar    
1799 1800 Jean Cazenave    
1800 1802 Antoine Joseph Mazars    
1802 1813 Bernard Malrieu    
1813 1817 Jean Azemar    
1817 1825 Guillaume Herail    
1826 1848 Jean Baptiste Gombert    
1848 1850 Laurens Grezes    
1850 1856 Bernard Cambou    
1856 1860 Joseph Mazars    
1860 1865 Jean Bezelgues    
1865 1884 Cyprien Auguste Cambou    
1884 1888 Germain Marre    
1888 1892 Ignace Sirmin    
1892 1900 Jean Antoine Mazars    
         
avant 1981[14] 1989 Léon Laporte DVG  
1989 2001 Gilbert Rouquier[15]    
mars 2001 2008[16] René Garabuau    
mars 2008 2022 Alain Laporte[17] DVG Commerçant
Démissionnaire
janvier 2023[18] En cours
(au 19 juillet 2024)
Jean-Christophe Couderc   Policier

Équipements et services publics

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Goutrens s'est doté en 2023 d'une agence postale communale, labellisée France services[19],[20].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 482 habitants[Note 2], en évolution de −5,49 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1571931 0621 034967987926820748
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
717531473441411407395471510
2019 2021 - - - - - - -
495482-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Le festival « Cinéma et Ruralité », organisé par l’association Georges-Rouquier, dont la 11e édition a eu lieu le [24].

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 209 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 340 [I 2] (20 640  dans le département[I 3]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 3,3 % 4 % 6 %
Département[I 5] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 303 personnes, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (74,9 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 19,1 % d'inactifs[Note 4],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 81 emplois en 2018, contre 98 en 2013 et 92 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 227, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,7 %[I 8].

Sur ces 227 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

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44 établissements[Note 5] sont implantés à Goutrens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 11].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 44
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
22 50 % (17,7 %)
Construction 4 9,1 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 25 % (27,5 %)
Activités immobilières 1 2,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
3 6,8 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 4,5 % (12,7 %)
Autres activités de services 1 2,3 % (7,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (22 sur les 44 entreprises implantées à Goutrens), contre 17,7 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture

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La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 86 52 39 34
SAU[Note 8] (ha) 1 884 1 789 2 005 1 917

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 86 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 52 en 2000 puis à 39 en 2010[27] et enfin à 34 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[28],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 884 ha en 1988 à 1 917 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 56 ha[27].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Amans de Goutrens, où se trouve une croix de procession Logo monument historique Classée MH (1938 )[30] du XVe siècle provenant de l’église Saint-Vincent de Cassagnes-Comtau[31].
  • Église Sainte-Madeleine de Gramond.
  • Église Saint-Vincent de Cassagnes (patron des vignerons), qui relevait du chapitre de la Rodez au (XVe siècle), fermée au public.
  • Du hameau de Cassagnes-Comtaux s'offre aussi une vue imprenable sur la vallée de Clairvaux.
  • Musée "Nos campagnes autrefois", à La Palairie[32],[33].
  • L'espace Georges-Rouquier, bâtiment municipal de 250 m² conçu par l’architecte Jean Gombert et scénographié par Jean-Pierre Borozée, animé par l’association Georges Rouquier qui compte 50 adhérents et 22 bénévoles en 2024[24].


Goutrens dans les arts et la culture

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Le village de Goutrens est situé près du hameau de Farrebique dont le nom est rentré dans l'histoire du cinéma grâce à Georges Rouquier qui y tourne pendant plus d'une année ce documentaire-fiction (le mot n'était pas encore à la mode) qui porte le titre de Farrebique (1943/1945, sorti en 1947), film qui a obtenu de nombreux prix, à Cannes notamment, celui de la Critique internationale en 1946. Ce film est une chronique de la vie quotidienne dans une ferme du Rouergue. L'expérience se poursuit avec sa suite intitulée Biquefarre (1982/1983, sorti en 1984), reprenant la même famille 37 ans plus tard. Le diptyque ainsi obtenu constitue un témoignage précieux et unique de la vie paysanne dans la deuxième partie du XXe siècle

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Rinhac : Anglars, Ausits, Bèl Castèl, Bornasèl, Gotrens,Las Candolièiras, Mairanh / Christian-Pierre Bedel et los estatjants del Rinhagués, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 230 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-04-1, ISSN 1151-8375, BNF 36652250)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Goutrens et Colombiès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Colombies » (commune de Colombiès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Colombies » (commune de Colombiès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rodez », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cassagnes-Goutrens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  12. « Arrêté préfectoral du 29 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de Millau, Rodez et Villefranche-de-Rouergue du département de l'Aveyron », Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aveyron, nos 12-2016-100,‎ , p. 3-12 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  13. « Les maires de Goutrens », sur https://www.francegenweb.org (consulté le ).
  14. « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1052.
  15. Denis Slagmulder, « Les partisans de l'annulation ont encore une chance », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lors d'un conseil municipal exceptionnel, le 11 décembre 2000, le maire de Goutrens, Gilbert Rouquier, et l'ensemble de ses conseillers annonçaient leur intention de déposer, auprès du tribunal administratif de Toulouse, un recours suspensif contre l'arrêté préfectoral pris le 30 octobre précédent ».
  16. Anne Bauer, « Le sacerdoce des maires ruraux », Les Échos,‎ 29/1/2008 mis à jour le 6/8/2019 (lire en ligne, consulté le ) « A Goutrens, le maire, René Garabuau, lui, aimerait continuer, mais des soucis familiaux l'en empêchent ».
  17. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Goutrens. Un nouveau mandat pour Alain Laporte », CentrePresse.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat à sa propre succession, Alain Laporte a été réélu maire ».
  18. « Du changement à la mairie de Goutrens », Le Villefranchois,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) .
  19. « Goutrens. L’agence postale est ouverte », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  20. « Goutrens. Des nouveautés dans le village », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. a et b Bernard-Hugues Saint-Paul, « " C’est un bijou de culture dans un milieu d’agriculture" : l’Espace Georges-Rouquier de Goutrens a rouvert ses portes », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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