Gyé-sur-Seine — Wikipédia
Gyé-sur-Seine | |
Carte postale ancienne représentant le château avant la guerre. | |
Blason | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Troyes |
Intercommunalité | CC du Barséquanais en Champagne |
Maire Mandat | Michel Lombart 2023-2026 |
Code postal | 10250 |
Code commune | 10170 |
Démographie | |
Population municipale | 470 hab. (2021 ) |
Densité | 20 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 01′ 48″ nord, 4° 25′ 47″ est |
Altitude | Min. 169 m Max. 333 m |
Superficie | 23,66 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Bar-sur-Seine |
Législatives | 2e circonscription de l'Aube |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.gye-sur-seine.fr/ |
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Gyé-sur-Seine est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Gyé-sur-Seine est un village viticole de la vallée de la Seine dans l'Aube situé dans la Côte des Bar, à 10 km à vol d'oiseau au sud de Bar-sur-Seine, 53 km à l'ouest de Chaumont, 21 km au nord-est de Châtillon-sur-Seine, 38 km au nord-ouest de Tonnerre et à 39 km au sud-est de Troyes.
Il se trouve dans l;a zone d'emploi de Troyes et dans le bassin de vie de Bar-sur-Seine[I 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Courteron, Landreville, Loches-sur-Ource, Mussy-sur-Seine, Neuville-sur-Seine, Plaines-Saint-Lange, Les Riceys et Essoyes.
Neuville-sur-Seine | Landreville | Loches-sur-Ource | ||
Les Riceys | N | Courteron | ||
O Gyé-sur-Seine E | ||||
S | ||||
Mussy-sur-Seine | Plaines-Saint-Lange |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 23,66 km2 ; son altitude varie de 169 à 333 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie.
Elle est drainée par la Seine, un fleuve long de 775 km[2] qui coule dans le Bassin parisien et notamment dans le département de l’Aube en le traversant du sud-est au nord-ouest et irrigue la commune dans sa partie centrale[3],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 811 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Gyé-sur-Seine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55 %), terres arables (14,9 %), cultures permanentes (14,8 %), prairies (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %)[14].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En2016 et 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 307, alors qu'il était de 299 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 70,5 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 23,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gyé-sur-Seine en 2021 en comparaison avec celle de l'Aube et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,7 %) supérieure à celle du département (4,9 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Gyé-sur-Seine[I 3] | Aube[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 70,5 | 85,8 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,7 | 4,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 23,8 | 9,3 | 8,1 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Du nom de personne latin Gaius + acum.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Mouvant du comté de Champagne, la seigneurie - châtellenie de Gyé (ou Gié) appartient aux seigneurs de Chappes. Béatrice de Chappes épouse vers 1270 Jean de Til-Châtel seigneur de Coublanc : mais ils ont de gros problèmes d'argent et doivent céder de nombreux biens : ainsi Gyé est engagé (1277, 1278, 1293) puis vendu (vers 1296-99) au duc Robert II de Bourgogne.
Gyé passe aux Capétiens par le mariage de Marguerite de Bourgogne fille de Robert II avec Louis X le Hutin, puis à la branche capétienne cadette d'Evreux-Navarre, Jeanne, fille de Marguerite, ayant épousé son cousin Philippe comte d'Evreux (le tuteur de Jeanne était son oncle maternel le duc de Bourgogne Eudes). Leur fille Jeanne de Navarre transmet Gyé aux Rohan-Guéméné par son mariage avec le vicomte Jean Ier de Rohan, avec succession dans la branche cadette des Rohan-Guéméné.
(Mais avec une interruption à la fin du Moyen Âge pendant la guerre de Cent Ans : le chancelier Rollin, fidèle à sa politique d'acquisitions avides pas toujours très honnêtes avec l'appui du duc de Bourgogne son protecteur, maître de fait d'une bonne part de la Champagne, spolie Charles Ier de Rohan-Guéméné et reçoit Gyé confisqué, avec la forteresse. Nicolas Rolin eut aussi Ricey-le-Bas dans le voisinage. Puis les Rolin doivent restituer Gyé aux Rohan-Guéméné sous Louis XI).
Le petit-fils de Charles Ier est le célèbre maréchal de Gié Pierre de Rohan, vicomte de Fronsac puis comte de Guise par ses deux mariages.
Il y avait une maladrerie à Gyé en 1397[15], qui accueillait aussi les habitants de Courteron et Neuville. Avec les guerres en Champagne, elle est citée comme ruinée en 1609 et sa remise en état coûta 400 Livres ; elle est réunie à l'hôpital de Bar-sur-Aube en 1695 et existait encore en 1830.
On a peu de données concernant le château de Gyé : il est cité une tour en la forteresse pour des réparations en 1278, 1293, qui sont autorisées par le duc de Bourgogne. Le château comprend alors une chapelle où est dite journellement la messe, un pont-levis sur des fossés. Le duc en achète une partie à Jean et Renaud de Gyé avant d'en avoir toute la jouissance par l'abandon de la terre et seigneurie par Béatrice dame de Gyé et Coublant en 1299. La forteresse est occupée de 1358 à 1360 par les troupes anglo-navarraises qui l'évacuent après le traité de Brétigny.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Françoise, l'arrière-petite-fille du maréchal, fait passer Gyé aux Balzac d'Entragues par son mariage avec François de Balzac (mort en 1613, gouverneur d'Orléans, arrière-petit-fils de Robert (1440-1503) ; de son second mariage avec Marie Touchet, l'ancienne favorite de Charles IX, il a ensuite Catherine-Henriette marquise de Verneuil, favorite d'Henri IV, et Marie-Charlotte maîtresse du maréchal de Bassompierre). César de Balzac d'Entragues, mort vers 1629, fils de Françoise de Rohan-Gyé et François de Balzac, donc demi-frère de la marquise de Verneuil, légue Gyé à son neveu Léon d'Illiers de Balzac d'Entragues (mort en 1664 ou 1669), fils de son autre sœur, germaine celle-ci, Catherine-Charlotte (femme de Jacques d'Illiers, de la Maison de Vendôme-Montoire). Les Illiers de Balzac d'Entragues sont faits marquis d'Illiers et de Gié, et souvent appelés marquis d'Entragues.
Il ne subsiste du château qu'un pavillon carré en 1770 dans l'inventaire de la vente de M. de Montmort. Les habitants ont alors lm'obligation d'entretenir le pont car ils vivent entre les deux enceintes de la forteresse et François Ier leur permet de relever les murs de la cité[16].
En 1789, le village dépend de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Bar-sur-Aube, et était le siège d'un bailliage seigneurial dépendant du bailliage de Sens et comprenant une partie de Courteron, Gyé, Neuville-sur-Seine, Vitry-le-Croisé.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]De 1882 au , la commune est traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant du nord-ouest de la gare de Polisot, suit la rive gauche de la Seine, passe à l'ouest du village, s'arrête à la gare de Gyé-sur-Seine et se dirige ensuite au sud-est vers la gare de Plaines-Saint-Lange.
Les bâtiments de la gare sont encore présents de nos jours, rue La Gueule des Vaux.
L'horaire montre qu'en 1914, quatre trains s'arrêtaient chaque jour à la gare de Gyé dans le sens Troyes-Gray et quatre autres dans l'autre sens.
À une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
À partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire périclite et la ligne est fermée le au trafic voyageurs puis désaffectée.
- Horaire de mai 1914 de la section de Bar-sur-Seine à Châtillon-sur-Seine
- La gare de Gyé-sur-Seine, côté rue, vers 1910.
- Le village vers 1920. En bas, on distingue la ligne de chemin de fer avec la gare et, à droite, la maison du garde-barrière.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Troyes du département de l'Aube[I 1].
APrès avoir été de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un éphémèrecanton de Gié sur Seine, elle faisait partie depuis 1802 du canton de Mussy-sur-Seine[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bar-sur-Seine[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aube.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Gyé-sur-Seine était membre de la communauté de communes du Barséquanais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2009 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Barséquanais en Champagne, dont est désormais membre la commune[I 1].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Gyé est labellisé Village fleuri avec 2 étoiles.[Quand ?]
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Neuville-sur-Seine et de Courteron dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[21]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2021, la commune comptait 470 habitants[Note 3], en évolution de −5,62 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Salon multicollections, dont la 13e édition s'est tenue en octobre 2023[25]
Économie
[modifier | modifier le code]- 15 vignerons-producteurs de champagne
- La société Soler (Carbonex), une bioraffinerie qui produit par pyrolyse biocarbone et de l'électricité en traitant 30 000 tonnes/an de biomasse et qui génère 40 000 MWh d'énergie pour les communautés locales[26],[27],[28].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La mairie, qui porte la date de sa construction (1815) et ornée d'une horloge[29] ;
- L'église Saint-Germain de Gyé-sur-Seine et son Christ de pitié, à l'extérieur ;
- Chapelle Notre-Dame-de-l’Orme de Gyé-sur-Seine ;
- Ancien pressoir à bras monté sur charriot[29] ;
- Vieilles maisons et passages[29].
- L'ancienne gare, désormais aménagée en salon de coiffure[30]
- L'église...
- ... et son portail.
- Christ de pitié du portail de l'église.
- Christ, devant l'église.
- La chapelle Notre-Dame de l'Orme.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre de Rohan-Gié (1451-1513), vicomte de Fronsac, devenu seigneur de Gié en 1472, puis maréchal de France (1476), appelé le Maréchal de Gyé.
- Jean-Baptiste Hérard (1755-1834), député de l'Yonne, y est né.
- Jules Guyot (1807-1872), médecin et physicien du XIXe siècle.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur à la croix ancrée d'argent, au chef ondé du même chargé des armes de Navarre embrassées de deux ceps de sables taillés Guyot[31]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Gyé-sur-Seine(10170) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- « Gyé-sur-Seine » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Gyé-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Gyé-sur-Seine - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Gyé-sur-Seine - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans l'Aube - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
- « Fiche communale de Gyé-sur-Seine », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gyé-sur-Seine et Celles-sur-Ource », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri d'Arbois de Jubainville, Voyag. paléograp., 178.
- abbé Paul Chauvet, Précis historique de la seigneurie de Gyé depuis le XIIIe siècle jusqu'à la Révolution de 1789, Dufour-Bouquot, Troyes, 1878, p. 1(.
- « Les maires de Gyé-sur-Seine », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Vos élus », Nouveau Centre Aube (consulté le ).
- « Le maire de Gyé-sur-Seine, Christian Brément, vient de démissionner », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ) « Il suit les conseils des médecins et a déjà averti son conseil municipal. Une élection complémentaire puis l’élection du nouveau maire auront lieu l’an prochain. ».
- « Michel Lombart, maire de Gyé-sur-Seine : « Je suis là pour servir la commune », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ) « En novembre dernier, au cours de son deuxième mandat de maire, Christian Brément démissionnait pour raisons de santé. Michel Lombart lui a succédé en février et est depuis à la tête de cette bourgade à dominante viticole de 485 âmes. ».
- « Les écoliers du RPI de Gyé-Neuville-Courteron accueillent les sapeurs-pompiers », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Gyé-sur-Seine : le Salon multicollections a désormais ses fidèles », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ).
- « Nos bioraffineries », sur soler-group.com (consulté le ).
- « Trophées de la performance: Soler, à Gyé-sur-Seine, entreprise du XXIe siècle », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ).
- « Une visite instructive de l’usine Carbonex à Gyé-sur-Seine », L'Est éclair, (lire en ligne , consulté le ).
- Rodolphe Laurent, « Dans nos villages : à Gyé-sur-Seine, de l’eau, des ruelles et des pierres », L'Est éclair, 29/7/2024 mis à jour le 30/7/2024 (lire en ligne, consulté le ).
- Sylvie Virey, « L’institut by C s’est installé à l’ancienne gare de Gyé-sur-Seine », L'Est éclair, 21/7/2024 mis à jour le 22/7/2024 (lire en ligne, consulté le ).
- « Gyé-sur-Seine », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).