Hôtel Atlanta — Wikipédia

Hôtel Atlanta
Présentation
Type
Hôtel de voyageurs
Destination initiale
Hôtel de voyageurs
Destination actuelle
Hôtel de voyageurs
Style
Architecte
Construction
1924-1929
Localisation
Pays
Région
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de Belgique
voir sur la carte de Belgique
Localisation sur la carte de Bruxelles
voir sur la carte de Bruxelles

L'Hôtel Atlanta est un hôtel de voyageurs de style « Art déco » édifié par l'architecte Michel Polak sur le territoire de la ville de Bruxelles, en Belgique.

Localisation

[modifier | modifier le code]

L'Hôtel Atlanta se dresse au numéro 3 du boulevard Adolphe Max, à côté de la Maison des Chats édifiée un demi-siècle plus tôt par Henri Beyaert, et à quelques pas du Passage du Nord et de la place de Brouckère.

L'Hôtel Atlanta est le premier hôtel érigé par Michel Polak à Bruxelles, avant l'Hôtel Albert Ier (1927-1928) et l'Hôtel Plaza (1929-1930)[1]. Ces trois hôtels, situés sur l'axe Rogier - De Brouckère, sont construits dans la perspective de loger les visiteurs attendus pour les expositions internationales de 1930[1] à Liège et Anvers.

Polak est assisté pour ce chantier par son collaborateur Alfred Hoch, par les architectes belges Jean Lejaer et V.Rubbers ainsi que par l'architecte parisien J.Taillens[1].

Les premières esquisses datent de et les plans sont modifiés pour la dernière fois en [1]. Un projet voit le jour en 1927 pour intégrer à l'hôtel un passage public parallèle au Passage du Nord afin de relier le boulevard à la rue Neuve mais ce projet est abandonné au début de l'année 1929[1].

Les statues en pied qui ornent la base du fronton sont l'œuvre du sculpteur Bernard Callie en 1928[1].

Architecture

[modifier | modifier le code]
Le pignon de la façade.

Accessibilité

[modifier | modifier le code]
Ce site est desservi par la station de métro : De Brouckère.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e et f Benoît Schoonbroodt, Michel Polak de l'Art nouveau à l'Art déco, Commission de l'Environnement de Bruxelles-Ouest (CEBO), 2003, p. 67-70