Saint-Étienne-de-Lugdarès — Wikipédia

Saint-Étienne-de-Lugdarès
Saint-Étienne-de-Lugdarès
La commune de Saint-Étienne-de-Lugdarès.
Blason de Saint-Étienne-de-Lugdarès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes de la Montagne d'Ardèche
Maire
Mandat
Françoise Benoit
2020-2026
Code postal 07590
Code commune 07232
Démographie
Gentilé Stéphanois
Population
municipale
408 hab. (2021 en évolution de −0,49 % par rapport à 2015)
Densité 8,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 09″ nord, 3° 57′ 23″ est
Altitude Min. 969 m
Max. 1 485 m
Superficie 50,34 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute-Ardèche
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-stedl.fr

Saint-Étienne-de-Lugdarès (prononcer [sɛ̃t‿etjɛn də lyɡdaʁɛs] ; Sent Estève en occitan) est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Situation et description

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La commune de Saint-Étienne-de-Lugdarès se trouve dans le sud-ouest du département de l'Ardèche, au sein du plateau ardéchois et du bassin supérieur de l'Allier. Elle est limitrophe de la Lozère.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Le village, à 1 033 mètres d'altitude, se situe dans la vallée du Masméjean, une rivière d'altitude, aux eaux vives et oxygénées, qui a creusé son lit dans un couloir de roches broyées par le mouvement d'une faille géologique locale, d'origine volcanique.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 350 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 471,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ST-ETIENNE LUGDARES (07) - alt : 1022m, lat : 44°39'04"N, lon : 3°56'54"E
Records établis sur la période du 01-01-2003 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −3,5 −3,9 −1,6 1,3 4,5 7,9 9,3 8,7 6,2 4,4 0,6 −2,6 2,6
Température moyenne (°C) 0,3 0,5 3,9 7,1 10,5 14,8 16,9 16,3 12,9 9,2 4,5 1,3 8,2
Température maximale moyenne (°C) 4,2 4,9 9,4 13 16,6 21,8 24,6 24 19,7 14,1 8,4 5,3 13,8
Record de froid (°C)
date du record
−18,8
30.01.04
−21
25.02.05
−25,2
01.03.05
−11,7
08.04.21
−5,3
07.05.19
−1,5
05.06.14
0,7
10.07.04
−0,6
09.08.05
−2,9
20.09.10
−11,1
26.10.03
−15,4
28.11.13
−19,5
30.12.05
−25,2
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
21
01.01.22
21,7
26.02.19
22,9
15.03.12
25,6
14.04.15
28,8
22.05.22
35,7
27.06.19
33,6
22.07.19
35,3
23.08.23
31,1
16.09.19
27,1
09.10.23
22,9
02.11.20
21,7
31.12.21
35,7
2019
Précipitations (mm) 116,5 82,2 88,5 137,7 137,8 83,6 62,4 69 143,9 188,4 227,1 134,3 1 471,4
Source : « Fiche 7232001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

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Voies de communication et accès

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La commune est traversée par la route du Tanargue (RD 19).

Hameaux et lieux-dits

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Au , Saint-Étienne-de-Lugdarès est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,7 %), prairies (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Étienne-de-Lugdarès est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise (massif cévenol)[12].

Terminologie des zones sismiques[13]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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L'étymologie de Lugdarès n'est pas clairement définie. Dans Histoire des Religieuses de Saint-Joseph[14], l'abbé Zéphirin Gandon mentionne Lucus, comme Bois sacré, et ares, nom grec du dieu Mars, d'où il déduit Le bois consacré au dieu Mars. Mais cette explication est très aléatoire, ne serait-ce que parce qu'on n'a jamais utilisé en Gaule les noms de divinités grecques.

Les Hubacs (Ubaz)

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Le village des Hubacs.

Situé sur un versant nord d'une vallée renfermée, (les ubacs, par opposition aux adrets). L'orthographe varia au cours du temps : Ubacs, Ubas, Ubaz, et en latin Ubacis, Ubaciis.

La seigneurie des Ubas appartenait au début du XIVe siècle à une branche de la Famille de Solignac. Elle passa en 1363 à la famille d'Agrain par le testament de noble Aélis, veuve de noble Regordon de Solignac, seigneur des Hubas paroisse de St Etienne de Lugdarès, héritière usufruitière de feu noble Pierre de Solignac, son fils, qui abandonne à son parent Béraud d’Agrain l’usufruit des biens sis ès mandements et lieux des Hubas, du Luc, de Beaumont et de Borne[15].

Le pont situé à l'entrée originelle du village est en lien direct avec la voie régordane, qui passe sur le plateau.

C' est dans ce hameau qu'a eu lieu la première victime authentifiée de la "bête du gévaudan", il s'agit de la jeune "Jeanne Boulet" dévorée par la bête au lieu dit "les hubacs" le à l'âge de 13 ans.

Le Cros (Croze)

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Le village du Cros.

D'anciennes traces existent, avec la mention Del Cros, dont le seigneur, un certain Richard, également chapelain de Lugeira, en donne la dîme aux religieux des Chambons, en 1198, N°32, puis en 1199, N°33, pour 60 sols.

On trouve aussi des actes plus anodins, comme cette reconnaissance entre Pierre Michel, du Cros, et R.P. en Dieu, Dom Étienne, abbé des Chambons, le , devant maître Michel Déabriges, notaire.

Mais en 1381, par acte du reçu par maître Jean BERON, notaire, il est établi sur parchemin en deux peaux, une convention entre noble Albert de BALAZUC, seigneur de MONTREAL et du CROS, et Étienne, abbé des Chambons, pour soumission féodale. Une autre une trace est trouvée, le , acte N°606, avec Albert de BALAZUC, pour reconnaissance de son fief du CROS.

Ainsi mention est faite de Albert de BALAZUC, qui épouse le Pelette de MONTREAL, héritière de sa maison et des terres de MONTREAL, CROZE, Uzert, Montbrison. Cette ancienne maison, originaire du Vivarais, est connue par filiation suivie depuis noble et puissant seigneur Girard de BALAZUC, en latin Baladuno, seigneur de Saint-Montant et de Larnas, vivant en 1077, dont le fils, Pons, chevalier, prit part à la première croisade et fut tué au siège de Arqa (Tripoli) en 1099. Pierre de BALAZUC, arrière-petit-fils de Pons, épouse en 1189 Catherine de VIERNE, qui reçut, conjointement avec son fils Guillaume, un hommage d'Audibert de Voguë en 1252.

Les armes de la Maison de BALAZUC sont : d'argent à trois pals de sable, au chef de gueules, chargé de trois étoiles d'or.

La Chaze et Fourmaresche

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À Pâques 1220, déjà tracés par acte notarié, sur parchemin, pour des transactions de terre (60 livres pour le couvent des Chambons). Également des droits de chasse, ratifiés à Falque, femme dud Jaucelin (3 des kalendes de may 1238).

En langage d'époque, le Masmejer, en acte parchemin du 7 des kalendes de juin 1239.

En 1287, le 5 may, donation de terres à Labro, par Frère Héblon, à Simon Longi, de Luc (Archives de Lozére, J.355).

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 Guillaume Darbousset[16]    
1792 1792 Louis Tauleigne[16]    
1793 1794 Gabriel Bouschet[16]    
1798 1798 Pierre Combe[16]    
1798 1798 Gabriel Bouschet[16]    
1813 1813 Dominique Mourgue[16]    
1818 1818 Louis-Annet Palhon[16]    
1826 1829 Jean-Baptiste Villessèche[16]    
1829 1849 Annet Palhon[16]    
1849 1861 Jourdan[16]    
1861 1879 Henri Bourret[16]    
1879 1881 Pierre Palhon[16]    
1881 1886 Auguste Bourret[16]    
1886 1919 Auguste Palhon[16]    
1920 1945 Baptiste Clavel    
1945 1946 Auguste Bourret    
1946 mars 1959 Jean Brunel DVD puis UNR Épicier
mars 1959 octobre 1980
(démission)
Pierre Jourdan CNIP
puis RI puis UDF
Propriétaire
Sénateur de l'Ardèche
Conseiller général
octobre 1980 mars 1983 Gilbert Mourgue UDF Artisan
mars 1983 25 mai 2020 Marc Champel RPR puis
UMP puis LR
Professeur en gestion
Conseiller général
25 mai 2020 En cours Françoise Benoit    

Intercommunalité

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La commune fait partie de la Communauté de communes Montagne d'Ardèche dont le siège est à Coucouron (07470)

En , EDF inaugure le parc éolien de la montagne ardéchoise, le plus puissant de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, situé sur six communes du département de l’Ardèche (Saint-Étienne-de-Lugdarès, Lespéron, Lavillatte, Issanlas, Le Plagnal et Laveyrune). L’installation comprend 29 turbines pour une puissance installée de 73,5 MW[17]. EDF ouvre également dans la région une agence de développement de projets d’énergies renouvelables[18].

Population et société

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Démographie

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En 2014 :

  • 356 maisons et 32 appartements ;
  • 125 propriétaires, et 32 locataires ;
  • 188 résidences secondaires, et 165 résidences principales.

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Deux organes de presse écrite sont distribués dans la commune :

La communauté catholique et l'église de Saint-Étienne-de-Lugdarès (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Notre-Dame de la Montagne, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[19].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Étienne.
  • Église Saint-Étienne, aussi appelée « cathédrale de la montagne » : de style gothique, construite en 1880 avec des pierres noires volcaniques, elle se trouve au milieu du village[20] Le maître-autel provient de l'abbaye des Chambons[21].
  • Église Saint-Roch de Masméjan.
  • Maison natale d'Henri Charrière alias « Papillon » : C'est dans cette maison qu'est né en 1906 le célèbre bagnard Henri Charrière dit « Papillon ». Ses parents étaient alors instituteurs à Saint-Étienne-de-Lugdarès[22] La maison ne se visite pas mais une plaque en indique le lieu.
  • Moulin des énergies renouvelables à Masméjean : ancien moulin à farine entièrement restauré, au bord du Masmejean, qui accueille une exposition sur les énergies renouvelables[23].
  • Fontaine sur la place du Jumelage: Cette fontaine représente Jeanne Boulet, première victime officielle de la Bête du Gévaudan.
  • Sommet des trois seigneurs : nommé ainsi, car selon une légende, en 1324, trois seigneurs (de Polignac, Bourbal de Choisinet, d'Agrain) firent graver leurs armes sur trois pierres au sommet de la montagne, après une bataille contre les Anglais[24],[25]. La localisation exacte de ce sommet n'est pas définie[26].
  • Frêne labellisé arbre remarquable en 2024[27].
  • Éoliennes production d'électricité (EDF).
  • Accès à La Voie Régordane.
  • Accès au Chemin de Stevenson.
  • Accès au chemin de grande randonnée GR 7.

Personnalités liées à la commune

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« L'an 1764 et le 1er juillet, a été enterrée, Jeane Boulet, sans sacremens, ayant été tuée par la bette féroce, présans Joseph Rieu et Jean Reboul. »
  • Henri Charrière alias « Papillon », né le à Saint-Étienne-de-Lugdarès en Ardèche et mort le à Madrid en Espagne, ancien bagnard rendu célèbre par son ouvrage partiellement autobiographique "Papillon", écrit en 1969.
  • Joseph-Christian-Ernest Bourret, né le au hameau de Labro, mort le à Rodez, évêque de Rodez (1871) puis cardinal français (1893)[30].
  • Pierre Jourdan, né le à Montpellier et mort le , conseiller général de 1955 à 1980, maire de 1959 à 1980, vice-président du conseil général de 1970 à 1976 et sénateur de l'Ardèche de 1971 à 1980.

Héraldique

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Blason de Saint-Étienne-de-Lugdarès Blason
D'azur à la crosse d'or, au chef d'or chargé d'une palme de sinople posée en fasce[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-Étienne Lugdarès » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-Étienne Lugdarès » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  13. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  14. Abbé Zéphirin Gandon, 1933, Histoire des religieuses de Saint-Joseph., Imprimerie Jeanne d'Arc, Le Puy, 1933, page ?.
  15. Revue du Vivarais, 1908, page 330.
  16. a b c d e f g h i j k l m et n « Archives des publications de mariage de la commune de Saint Etienne de Lugdarès de 1808 à 1902 », sur ardeche.fr, Conseil Général de l'Ardèche, (consulté le ).
  17. « Ardèche : la montagne ardéchoise inaugure le plus puissant parc éolien d'Auvergne-Rhône-Alpes - France 3 Auvergne-Rhône-Alpes », France 3 Auvergne-Rhône-Alpes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « EDF Energies Nouvelles renforce ses positions dans la Région Auvergne-Rhône-Alpes », sur EDF Énergies Nouvelles, (consulté le ).
  19. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Notre-Dame de la Montagne.
  20. Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias, Drôme-Ardèche, 2009, page 165.
  21. Site de l'Office de Tourisme Cévenne et montagne Ardéchoises.
  22. Vincent Didier, Papillon libéré: la vie d'Henri Charrière, La Fontaine de Siloë, 2006, page 17 à 19.
  23. Site de l'office de tourisme Cévenne et montagne Ardéchoises.
  24. Albin Mazon, Essai historique sur le Vivarais pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453), J. Parnin, 1889 page 155.
  25. Jean-Paul Labourdette, Drôme-Ardèche, 2009, page 165.
  26. Site La Montagne ardéchoise.
  27. Lisa Guinic, « "Magnifique, extraordinaire, il a toute une histoire" : un frêne d'Ardèche labellisé arbre remarquable », francebleu.fr, 4 août 2024.
  28. Sur son acte de décès, le curé de la paroisse mentionne qu'elle fut victime de la bête féroce, ce qui suggère qu'elle ne fut pas la première victime mais seulement la première déclarée
  29. Jean-Marc Moriceau, La Bête du Gévaudan : 1764-1767, Larousse, 2008, pages 20 et 372.
  30. Henri Veschalde, « Le cardinal Bourret », Revue du Vivarais, Privas, t. 1,‎ (lire en ligne)
  31. « Saint-Étienne-de-Lugdarès », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

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Articles connexes

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Liens externes

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