Institut supérieur de gestion — Wikipédia

Institut supérieur de gestion
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Président
Marc Sellam
Directeur
Thierry Sebagh
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
5 000Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Campus
Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Montpellier, Nice, Paris, Strasbourg, Toulouse, Genève
Localisation
Carte

L'Institut supérieur de gestion (ISG Paris) est une grande école de commerce privée reconnue par l’État fondée en 1967 qui délivre un PGE (programme grande école en 5 ans après le baccalauréat) un bachelor, des masters et des MBA[2]. Elle fait partie du groupe Ionis et est membre de la conférence des grandes écoles (CGE), de l'Union des grandes écoles indépendantes (UGEI), de l'EFMD et de l'AACSB. Elle dispose de 7 campus en France (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Nice, Strasbourg et Toulouse) et à l'étranger (Tokyo, New York).

L'ISG est créé en 1967[3] par Pierre-Alexandre Dumas, Jack Forget, Philippe Blime, Bertrand Bruhle, Rémi Charpentier et Pierre Lemonnier[4]. En 1997, l'école intègre IONIS Education Group.

En 1982 et 1984 sont inaugurés les antennes de l’ISG à Tokyo et New York, en 1985 en Chine[source secondaire nécessaire].

En 2004, le diplôme homologué est visé par le ministère de l'Éducation nationale et l'école est accréditée par l'IACBE avant de devenir membre de l'UNIDO en 2006. Elle est habilitée à délivrer le grade de master en 2009[réf. souhaitée]. En 2012, l'ISG Paris est admise au sein de la CGE[5] et de l'UGEI.

L'Institut supérieur de gestion propose différents diplômes, du bachelor au master, en formation initiale ou en formation continue : programme de bachelor[6], programme « Grande École » post-bac ou post-prépa, programme Business et Management 3+2, programmes de Master of science, MBA. Ces formations sont accessibles sur concours ou sur dossier, avec des conditions spécifiques pour chacune[7].

Le concours d’entrée au programme Grande École de l'ISG est lié à la banque d'épreuves STEP pour l'intégration post-bac. Le programme est aussi accessible par admission parallèle tout au long du cursus. Une fois intégrés, les étudiants font le choix entre plusieurs parcours, et peuvent participer à de nombreux échanges internationaux[8].

Chaque année coûte entre 9 500  (bachelor) et 11 650  (master)[9], hors cotisations (assurance « Financement des études », Bibliothèque numérique, Informatique, Association des anciens élèves…), BDE et sessions en universités partenaires en M1 ou en M2.

L'ISG fait partie du groupe Ionis sous la forme d'une association loi de 1901 sans but lucratif.

Personnalités liées

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Notes et références

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  1. « Classement des ESC 2011 - ISG Paris », sur le site www.letudiant.fr (consulté le ).
  2. « Bulletin officiel spécial no 1 du 28 janvier 2010 » [PDF], sur le site media.enseignementsup-recherche.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Historique de l'école », sur le site www.isg.fr (consulté le ).
  4. « Patrick Georgelin (ISG 73) Président honoraire et Trésorier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site el-torcedor.com (consulté le ).
  5. « L’ISG intègre la Conférence des grandes écoles », sur letudiant.fr, .
  6. Christine Lagoutte, « L’ISG se lance sur le marché du post-bac », sur etudiant.lefigaro.fr, .
  7. Olivier Rollot, « Une école de commerce et de management, avec ou sans prépa ? », .
  8. Sarah Piovezan, « Étudiants et... croisiéristes à la fois », (consulté le ).
  9. « Frais de scolarité et financement du Programme Grande Ecole de l'ISG », sur www.isg.fr,
  10. « Le parcours de François Baroin », sur lesechos.fr, .
  11. « Stéphane Courbit, un homme très affairé », sur lepetitjournal.com, .
  12. Yann Verdo, « Christophe de Backer Changement dans la continuité à la tête d'HSBC France », sur lesechos.fr, .
  13. Alexandre Counis, « Nicolas Mérindol, l'homme pressé de l'Écureuil », sur lesechos.fr, .
  14. JP Géné, « Anne-Sophie Pic table sur Paris », sur lemonde.fr, .
  15. « PORTRAIT. Le réservé mais ambitieux Franck Riester remplace Françoise Nyssen à la Culture », sur ouest-france.fr, .
  16. « Jacques de Chateauvieux ».
  17. (en) « Meet Stephan Caron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).