Jean-Claude Fritz — Wikipédia

Jean-Claude Fritz
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Biographie
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Nationalité
Activité

Jean-Claude Fritz, né en 1943, est un professeur français de science politique.

Professeur de science politique à la Faculté de droit et de science politique de Dijon (université de Bourgogne), Jean-Claude Fritz est aussi enseignant-chercheur au sein du Centre d'étude et de recherche politiques (CERPO). Il assure des cours et séminaires en :

Il dirige depuis 2002 la Formation peuples autochtones de la Faculté de droit et de science politique de Dijon, en partenariat avec le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme à Genève, et a codirigé le Groupe interdisciplinaire de droit de l'Environnement (GIDE) dans la même université.

Doctorat en droit public et agrégation de l'enseignement supérieur. Diplômé en droit, Jean-Claude Fritz s'est orienté vers la science politique pour se spécialiser dans l'étude des Relations internationales. Spécialisation qu'il a développée depuis quarante ans au cours de nombreux séjours en Asie, Afrique et Amérique latine.

Thématiques de recherches

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Jean-Claude Fritz est spécialisé depuis 40 ans dans la recherche concernant les problèmes politiques et sociaux du Tiers-monde, les relations internationales et le développement. Il développe et soutient au fil de ses recherches mais aussi de son enseignement une vision humaine et critique des relations internationales visant à replacer l'homme mais aussi la nature au cœur des grands enjeux mondiaux.

Ces recherches portent actuellement[Quand ?] sur :

  • La nouvelle question indigène. Peuples autochtones et ordre mondial (en codirection avec Frédéric Déroche, Gérard Fritz et Raphaël Porteilla), Paris, L'Harmattan, 2006, 506 p.
  • L'Ordre public écologique. Towards an ecological public order (en codirection avec Marguerite Boutelet), Bruxelles, Bruylant, 2005, 345 p.[1]
  • Préface de La Liberté de circulation des travailleurs en question : réflexion à partir des nouveaux États adhérents à l'Union européenne, Victoria Tonev Stratula, Paris, L'Harmattan, Questions contemporaines, 2005.
  • L'humanité face à la mondialisation. Droit des peuples et environnement (en codirection avec Charalambos Apostolidis et Gérard Fritz), Paris, L'Harmattan, 1997, 229 p.[2]
  • La Namibie indépendante. Les coûts d'une décolonisation retardée, Paris, L'Harmattan, 1991, 287 p.[3],[4],[5],[6]
  • Préface de Choix technologiques et système alimentaire : le cas du Maroc, Taj Kacem, Paris, L'Harmattan, 1987.
  • La gestion des ressources naturelles d'origines agricoles (en codirection avec Philippe Kahn), Paris, LITEC, 1983, 852 p.

Notes et références

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  1. Gérard Monediaire. « L'ordre public écologique (Towards an Ecological Public Order) », sous la direction de Marguerite Boutelet et Jean-Claude Fritz, 2005. Revue juridique de l'Environnement 2005 ; 4 : 505-506. Lire en ligne
  2. Maxime Haubert. Analyses bibliographiques. Revue Tiers Monde 1998 ; 154 : 463-464. Lire en ligne
  3. Antoine Bouillon. La Namibie indépendante. Les coûts d’une colonisation retardée. Le Monde diplomatique, mai 1992, p. 31.
  4. Catherine Robert. Fritz, Jean-Claude. - La Namibie indépendante. Les coûts d'une décolonisation retardée. Cahiers d'études africaines 1993 ; 130 : 326-330. Lire en ligne
  5. Patrick Videcocq. Fritz (Jean-Claude) : La Namibie indépendante : les coûts d'une décolonisation retardée. Outre-Mers - Revue d'histoire 1993 ; 300 : 516-517. Lire en ligne
  6. Ingolf Diener. La Revue des livres. Politique africaine 1993 ; 50 : 149-151. Lire en ligne

Liens externes

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