Jean Feutren — Wikipédia

Jean Feutren
Biographie
Naissance
Gouézec (Finistère, France)
Ordination sacerdotale
Décès (à 77 ans)
Morlaix (Finistère, France)
recteur de Pleyber-Christ
mi août 1977
recteur de Roscoff
Autres fonctions
Fonction religieuse
Chanoine enseignant.
Aumônier scolaire.
Supérieur du lycée catholique de Brest.
Fonction laïque
Historien.
Onomaste.
Historiographe photographique.
Épigraphiste.
Éditeur scientifique.

Suavité, sommeil, silence[2].

L'abbé Jean Feutren (Gouézec, - Morlaix, ), connu à ses débuts à Roscoff sous le nom de Jean Feuntren, est un historien de la vie locale, de l'onomastique[3] et de l'art du Léon. Professeur de sciences catholique qui devint sur le tard recteur de Roscoff puis de Pleyber Christ, il a rendu accessible aux chercheurs et aux curieux deux importants documents de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, le Rentier de Saint-Dominique et le dictionnaire breton-français Catholicon, dont il a édité la première publication scientifique.

Jeunesse et formation

[modifier | modifier le code]

Arrière-petit-fils d'un trégorois devenu l'éclusier de Saint Algon[4] et, du côté maternel, petit-fils d'un tailleur d'ardoise de Pont-Coblant[4] sur l'Aulne, en amont de Châteaulin, Jean Feutren est élevé en pays Bidard par sa grand-mère[5] paternelle, veuve[4] qui occupe l'emploi de cuisinière au château de Kerriou[2], au service de la comtesse de Legge. Il a perdu son père, rescapé de la Grande guerre, quand il avait neuf ans, en 1921, et sa mère l'a alors abandonné ainsi que ses quatre frères puînés[2].

Le Kreisker, chapelle du Collège de Léon où Jean Feutren passe son baccalauréat de mathématiques en 1931[6] puis enseigne la physique-chimie.

Pensionnaire prometteur de l'école de Pleyben[7], bourg le plus proche, il est envoyé au Collège de Léon à douze ans, en 1924[8]. Il découvre l'ex capitale religieuse et la mer de Roscoff où il se sent comme un « morzig Kernew er vro avel »[9], la grive migrant de sa Cornouaille méridionale au pays du vent. Né dans un milieu bretonnant non francophone[10] où la promotion sociale passe par des études françaises, Jean Feutren reçoit une éducation en français, en latin et en grec.

Comme tous les séminaristes bas bretons, il connait la faim[8] et attrape, comme beaucoup, une primo infection de la tuberculose pulmonaire endémique, raison de son échec au concours d'entrée à l'École centrale Paris[2]. Comme le Creisker a des accords avec l'Université catholique de l'Ouest d'Angers, il peut toutefois faire valider les examens qui lui confèrent la licence ès science, diplôme qui l'autorise à être titularisé à un poste d'enseignant. Il est soigné par des infirmières dominicaines au sanatorium du Laber, post-cure du centre hélio-marin de Roscoff, où il se découvre auprès d'un aumônier dominicain une vocation monastique[2].

À Aix, il est accueilli dans une famille, en échange de quoi il s'y fait précepteur[11]. Il est reçu dans les deux premiers ordres mineurs le [11]. Pour les grandes vacances 1939, il se voit offrir par un camarade fortuné une participation au congrès eucharistique, qui se tient cette année à Alger[12], pèlerinage à Notre Dame d'Afrique utile à sa santé.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, « an Aotrou Parson » Feutren est missionné pour remplacer à l'Institution Notre Dame du Kreisker, à Saint Pol, un professeur de mathélem mobilisé[13], l'abbé Joseph Quéau[14]. Ses deux dernières années de formation, qui devaient être accomplies au séminaire de Quimper[15], s'en trouvent décalées. Il remplace également l’aumônier adjoint auprès de l'abbé Yves Le Bihan[16]. Au côté de ce promoteur du sport en milieu scolaire[17], il devient l'animateur de la section locale de la JEC et fait participer les élèves à des débats sur la situation morale et politique[18] alertant contre l'hitlérisme, le racisme, l'antisémitisme[19] mais aussi le communisme hérité de la modernité, de l'« anthropocentrisme » et du « matérialisme »[20]. Lui-même se montre confiant dans un projet à venir après guerre de démocratie chrétienne[21].

Renonçant à son projet de devenir dominicain[5], l'abbé Jean Feutren reçoit le sous-diaconat de Mgr Duparc le à Lesneven, en l'église Saint Michel[22], et est ordonné prêtre le [2].

Le collège des Ursulines à Morlaix où l'abbé Feutren apprit la pastorale.


C'est en devenant proviseur, en 1953, qu'il reçoit le canonicat[2], à titre honoraire[23]. Cette fonction de diriger un établissement scolaire l'amène à entrer en relation avec l'Institut catholique de Paris et correspondre avec quelques exégètes, tel André Feuillet. Il se lance lui-même dans la transcription d'un précieux document comptable de 1455, le Rentier de Saint Dominique de Morlaix[5] facilitant son étude par les chercheurs[24].

Déjà féru de chant grégorien[5], c'est durant son sextennat morlaisien, où il atteint la cinquantaine, qu'il se passionne pour l’art égyptien, le roman, la musique classique et l’art photographique. Il photographie les monuments du patrimoine religieux du Léon, églises, calvaires, ossuaires, enclos, fontaines, ce qui le confronte à des énigmes toponymiques et historiques. La collection ainsi constituée sert de base documentaire aux historiens contemporains[25].

Recteur de Roscoff

[modifier | modifier le code]
N.D. de Croaz Vaz, siège de la paroisse de l'abbé Feutren. Le petit bâtiment devant l'église, une chapelle funéraire, abritait ses expositions.

L’abbé Feutren est nommé recteur de Roscoff le . Il est assisté de deux vicaires[26]. Les confessions lui sont l'occasion de renouer avec sa langue natale, malgré son accent et ses idiomatismes cornouaillais. D'octobre 1962 au printemps 1977, il continue l'édition du bulletin paroissial, La Voix de Sainte Barbe[27], du nom de la chapelle qui sert d'amer à la pointe de Bloscon. Pour captiver son lectorat, il y publie mensuellement une rubrique d'histoire dans laquelle il rend compte de son dépouillement minutieux des archives conservées à Notre-Dame de Croaz Batz, en particulier celles des conseils de fabrique, des archives municipales (le conseil municipal se tenait dans le presbytère), des archives départementales et des archives épiscopales. C'est dans ces dernières qu'il trouve l'exemplaire du Catholicon breton du édité par Jehan Calvez.

Son récit factuel et précis mais quelque peu décousu reconstitue avec un goût prononcé pour l'anedocte l'étymologie de toponymes, des expressions bretonnes oubliées, le déroulement des coutumes, certains détails de la vie politique et économique depuis la Renaissance jusqu'au XXe siècle, en particulier l'opération immobilière qui a créé au XVIe siècle le Roscoff qui se voit aujourd'hui, et, avec un parti pris à peine perceptible, les minutes de la résistance passive de la population sous la Révolution.

Pionnier amateur et bénévole conscient des insuffisances de cet état, il accomplit pour une génération future ce travail d'exégèse des sources, original à l'époque, à la recherche des seuls faits historiques intéressant sa paroisse. Ce même travail est désormais accompli à l'université de Bretagne occidentale dans le cadre d'études plus systématiques et élargi à toutes les archives.

Parallèlement, tout en donnant des conférences au centre hélio-marin de Perharidy ou à la clinique Kerléna sur l'histoire et l'art local, il continue son travail de documentation photographique et expose ses ektachromes en noir et blanc dans l'ossuaire de l'enclos de Notre-Dame de Croaz Batz.

En 1972, il sauve des placards de la mairie-presbytère les archives en vélins et papiers de l'hospice Saint Nicolas, actuelle maison de retraite[28].

Le Catholicon

[modifier | modifier le code]
Détail du calvaire de Plougonven. Sollicité par les Monuments historiques, Jean Feutren y fait l'invention de la signature des sculpteurs, révélant à l'historien désireux d'aller plus loin ls style propre des landernéens Bastien et Henry Prigent[2] et, par comparaison, l'origine d'autres productions en kersantite jusqu'alors anonymes.

En 1975, la revue Ogam de Christian-Joseph Guyonvarc'h fait publier un fac-similé de l'un des quatre exemplaires du Catholicon breton de 1499, celui de Rennes. Il était quasiment impossible de trouver un des trois cents numéros de la précédente, et imparfaite, édition de 1867. Sollicité alors pour publier un simple fac-similé de l'exemplaire de Quimper, l'abbé Feutren va livrer une édition scientifique, basée sur l'ensemble des sources les plus directes disponibles et leur critique. Il mobilise pour cela toute une équipe autour du projet : le bibliothécaire de la ville de Quimper, Monsieur Rouillard, la bibliothécaire de la ville de Morlaix, Mademoiselle Le Guével, les enseignantes religieuses de Roscoff, Monsieur Gilles Feutren, les ouvrières du livre.

Avec le soutien des frères Joseph et Jean Floch[29], imprimeurs de livres de collection, cette sixième édition d'un ouvrage majeur de l'histoire de la langue bretonne, est enrichie par Jean Feutren de renseignements sur l'œuvre, sur ses éditions successives et sur les différentes sources du Catholicon. Elle est publiée en 1977 avec le prologue en latin de l'exemplaire qui a servi à l'édition de 1867, le manuscrit coté latin7656 à la BNF. L'abbé y a ajouté la traduction en français ainsi qu'un petit texte personnel, L'éloge de la Bretagne par un Léonard, et le fac-similé[30] de l'exemplaire de Quimper.

Le travail critique s'expose en deux glossaires et un apparat:

  • un glossaire français dans lequel sont regroupés les mots français du Catholicon qui ne se trouvent plus dans les dictionnaires contemporains ou qui ont une nouvelle acception;
  • un glossaire breton des termes non traduits;
  • des notes accompagnant les mots du glossaire français par lesquelles est tenté d'apporter une signification aux termes qui présentent une difficulté;
  • des notes pour expliquer les mots bretons.

Recteur de Pleyber Christ

[modifier | modifier le code]
Église paroissiale de Pleyber Christ.

Au printemps 1977, l'abbè Feutren transmet sa charge des âmes de Roscoff à l'abbé François Rolland, qui fut lui aussi supérieur du collège Charles de Foucauld à Brest[31], et commence en août une nouvelle pastorale à Pleyber-Christ, à quelques kilomètres dans l'intérieur des terres au sud de Morlaix.

Il continue le même travail d'édition dans le bulletin de sa nouvelle paroisse qui finira par constituer une somme de notes de plus de neuf cent pages dont la méthode principale est la confrontation des données toponymiques et l'étymologie, souvent très hypothétique, aux archives d'une part, d'autre part aux observations directes. Les nombreuses observations qu'il a formulé sur les moindres détails des monuments religieux de la région ont bien souvent été les premiers examens scientifiques de ceux-ci.

Révoquant systématiquement en doute les a priori du XIXe siècle, elles sont reprises dans les études universitaires[32] ou savantes[33] plus générales[34]. À propos des vitraux de La Roche Maurice[35] par exemple, Jean Feutren défend contre René Couffon l'originalité du baroque léonard, dont les artistes, tout autochtones qu'ils furent, n'ont pas été que des exécutants ou des imitateurs incapables d'invention ni d'excellence[36]. Son étude archéologique du Haut Léon[37] restera la source la plus récente et la plus développée[38] concernant les tombelles « sans doute de l'âge du Fer », qui ont été inventées en 1979[39] sur un site connu mais non fouillé[40]. Dressées entre Goarem-an-Ilis[41] et Treuscoat, elles ont en effet été depuis arasées[42].

Épigraphiste, il réussit l'exploit de proposer la première traduction plausible[29] d'une mystérieuse inscription dominant le porche méridionale de la chapelle Saint Pierre en Plonévez-du-Faou, deux lignes gravées bien lisibles depuis une restauration réalisée en 1980 mais dont le tracé gothique et la syntaxe latine sont très fantaisistes.

L'abbé Feutren termine son office en juin 1987. La commune lui rendra hommage par une plaque commémorative renommant la place de l'église Place Jean Feutren.

Retraite et testament

[modifier | modifier le code]
Clocher de la maison de retraite Saint Joseph à Saint Pol.

Âgé de soixante quatorze ans, l'abbé Feutren est accueilli dans la maison de retraite pour ecclésiastiques Saint-Joseph à Saint-Pol-de-Léon[2]. Trois ans plus tard, après plusieurs épisodes pathologiques, il est transféré dans la nuit du à l'hôpital de Morlaix[2]. Il y meurt le 1er mai dans la soixante dix huitième année d'une vie consacrée à l'idéal[43] thomiste[44] de l'amor intellectualis[45] conciliant démarche scientifique et foi humaniste tel qu'il le témoignait aux roscovites en les quittant[9]:

« L'amour met sa joie dans la vérité. »

— Corinthiens 1re XIII 6.

.

Collectionneur, il léguait ses photographies, diapositives, photocopies d'actes anciens et manuscrits à l’abbé Yves-Pascal Castel, lequel en publiera quelques-unes en 1992 dans une étude sur les contes de Noël. Tout en les dédiant aux habitants de Roscoff, il affirmait sa volonté que ces documents soient, éventuellement, exploités libres de droits. Les bulletins paroissiaux de Roscoff ont été mis en ligne par l'ancien directeur de la maison de retraite de la ville moyennant cinq heures de travail quotidien pendant six mois[46]. Ceux de Pleyber l'ont été à la suite.

Jean Feutren est inhumé au cimetière de la maison Saint-Joseph à Saint-Pol-de-Léon. Yves-Pascal Castel lui a rendu hommage lors de la séance du de la Société archéologique du Finistère[47] à la suite de celui rendu par Tanguy Daniel à la mémoire de Jeanne Laurent, soutien de l'animation de Kerjean.

Publications

[modifier | modifier le code]
Rééd. P. Cuzon, « La Voix de sainte Barbe, n° 169-306, », Roscoff quotidien éd., Roscoff, 1988.

Illustrations

[modifier | modifier le code]

Documentation photographique

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  1. « Mével Joseph », in Quimper et Léon, p. 203-205, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 1980.
  2. a b c d e f g h i j k l m et n Y. P. Castel, « Extraits de l’homélie de M. L'abbé Yves-Pascal Castel aux obsèques de M. Feutren, le 3 mai à Saint-Pol-de-Léon. », in Quimper et Léon, p. 320, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 1990.
  3. M. Mulon, L'Onomastique française - Bibliographie des travaux publiés de 1960 à 1985, Paris, Archives nationales, 1987, p. 125.
  4. a b et c J. Feuntren, Bulletin paroissial, vol. II, p. 500 (p. 672), Paroisse Saint Pierre, Pleyber Christ, 1967-1987.
  5. a b c d et e Y. P. Castel, « Signé Jean Feutren », in Église en Finistère, no 106, p. 18-19, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 26 novembre 2009.
  6. L. Kerbiriou, L'Institution Notre-Dame du Creisker (Ancien Collège de Léon), p. 130, L. Le Grand impr., Brest, 1936.
  7. J. Feuntren, Bulletin paroissial, n° 106, vol. I, p. 179 (p. 230), Paroisse Saint Pierre, Pleyber Christ, 1967-1987.
  8. a et b J. Feuntren, La voix de Sainte Barbe, no 169, Paroisse Notre Dame de Croaz Vaz, Roscoff, octobre 1962.
  9. a et b J. Feuntren, La voix de Sainte Barbe, no 306, Paroisse Notre Dame de Croaz Vaz, Roscoff, printemps 1977.
  10. J. Feuntren, Bulletin paroissial, no 106, vol. I, p. 173 (p. 223), Paroisse Saint Pierre, Pleyber Christ, 1967-1987.
  11. a et b Y. Le Bihan, in Le Creisker, no 169, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, novembre 1938, cité in Kreisker 1938, p. 587, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  12. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 172, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, août 1939, cité in Kreisker 1939, p. 824, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  13. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 174, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 897, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  14. « Quéau Joseph », , coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, [s.d.]
  15. J. Feutren, cité in Y. Le Bihan, in Le Creisker, no 170, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, janvier 1939, cité in Kreisker 1938, p. 672, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  16. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 174, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 922, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  17. F. Caër, « Extraits de l'homélie de M. l'abbé François Caër aux obsèques de M. Yves Le Bihan, en la chapelle Saint-Pierre à Saint-Pol-de-Léon, le 7 mars 1997. », in Quimper et Léon, p. 218, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 1997.
  18. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 175, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 983, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  19. Olivier Kériven, « L'Hitlérisme », in Jean Pennec, Conférences de Notre Dame du Kreisker, Institution Notre Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, 15 novembre 1939, cité in Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 175, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 916, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  20. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 175, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 985, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  21. J. Feutren, cité in Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 175, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, février 1940, cité in Kreisker 1940-1941, p. 983, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  22. Y. Le Bihan, in Le Kreisker, no 176, Institution Notre-Dame du Kreisker, Saint-Pol-de-Léon, 1941, cité in Kreisker 1940-1941, p. 1062, coll. numérisées, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 2017.
  23. A. Fauvel, Ordo divinii officii recitandi missæque celebrandæ, p. 13, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, avril 1963.
  24. P. Flatrès, « Le rentier du couvent de Saint-Dominique de Morlaix - Étude de géographie historique (fin XVIIe). », in Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. LXXXII, p. 150-159, Société archéologique du Finistère, Quimper, 1956.
  25. Y.-P. Castel, Les Pietà du Finistère in Revue Minihy-Levenez n° 69, Tréflévénez, juillet-août 2001.
  26. A. Fauvel, Ordo divinii officii recitandi missæque celebrandæ, p. 139, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, avril 1963.
  27. J. Feuntren, La voix de Sainte Barbe, Paroisse de Roscoff, 1962-1977.
  28. J. Feuntren, La voix de Sainte Barbe n° 266, Paroisse de Roscoff, juin 1972.
  29. a et b P. Y. Castel, in « Jean Feutren , recteur de Pleyber-Christ, part en retraite. », in Le Progrès. Le Courrier, Quimper, 29 août 1987.
  30. J. Lagadeuc, Ar C'hatolicon, Jehan Calvez, Tréguier, novembre 1499.
  31. « Présentation », Lycée Charles de Foucault, Brest, 2017.
  32. R. Barrié, Étude sur le vitrail en Cornouaille au 16e siècle - Plogonnec et un groupe d'églises de l'ancien diocèse de Quimper., Université de Haute-Bretagne, Rennes, 1979 (thèse de doctorat soutenue en 1978).
  33. Y.-P. Castel, Daniel Thoms & G.-M. Thomas, Artistes en Bretagne - Dictionnaire des artistes, artisans et ingénieurs en Cornouaille et en Léon sous l'Ancien Régime., p. 8, SAF, Quimper, 1987.
  34. Roger Barrié, Les orgues en Bretagne. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France., Rennes, 1988.
  35. J. Feutren, « « Un Vitrail célèbre, La Roche-Maurice », in Le Télégramme, p. 1, Morlaix, 3 février 1972.
  36. Jean-Pierre Le Bihan, « Joste de Necker, un mythe qui a la vie dure. », Quimper, 4 janvier 2009.
  37. J. Feutren, « Le pays de Pleyber », in Bulletin paroissial, no 132, (pp. 5-25, Paroisse Saint Pierre, Pleyber-Christ, novembre 1986.
  38. Patrick Galliou & Eric Philippe, Le Finistère, p. 280, Académie des inscriptions et belles-lettres, Paris, 1989, rééd. Carte archéologique de la Gaule. Pré-inventaire archéologique, 2010 (ISBN 978-2-87754-251-7).
  39. René Sanquer, « Chronique d’archéologie antique et médiévale (année 1979) », in Bulletin, p. 74, Société archéologique du Finistère, Quimper, 1979.
  40. François Calvez, Pléiber-Christ, p. 9, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper, 1913.
  41. Jean-François Villard, Les vestiges archéologiques de Kergauthier en Pleyber-Christ, Fnistère., p. 7, INRAP, Paris, 2007.
  42. p. 844-852.
  43. Psaumes XVI 9 & 11 « Aussi mon cœur est heureux et ma gloire se réjouit... Tu me fais connaître la voie de la vie, la plénitude des joies de te contempler. »
  44. Th. d'Aquin, Summa contra gentiles, I 100, « Cujus libet enim intellectualis naturae proprium bonum est beatitudo ».
  45. B. Spinoza, Ethica V 36 scholium «...nostra salus seu beatitudo seu Libertas consistit nempe in constanti et aeterno in Deum Amore...»
  46. Le Télégramme, 1er juin 2009.
  47. In Bulletin, no 119, p. 390-393, SAF, Quimper, 1990 (ISSN 0249-6763).
  48. Catalogue des archives en ligne (entrer Pax).
  49. « Paraboles de l'abbé Jean / Jean Feutren », cote 259 FEU, Bibliothèque diocésaine de Quimper et Léon, Quimper.
  50. Marie-Rose Prigent, Marie-Pierre Cariou, Kristell Loussouarn, Yann Celton & Sandrine Koullen, dir. P. Galliou, « Chronique des archives et des bibliothèques du Finistère (année 2015) », in Bulletin, p. 333, SAF, Quimper, 2016.
  51. Fonds iconographique de l'abbé Jean Feutren, Diocèse de Quimper et Léon, Quimper
  52. « Dany Guillou-Beuzit », Faculté de lettres Victor Segalen, Brest.
  53. Fonds Feutren.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]