Jeanne de Lusignan — Wikipédia

Jeanne de la Marche
Titres de noblesse
Dame de Couhé et de Peyrat
Biographie
Naissance
V. 1263
Décès
5 déc. v. 1323
Autres noms
Jeanne de Lusignan
Jeanne de Joinville
Époque
XIIIe – XIVe siècles
Période d'activité
Famille
Père
Mère
Fratrie
Conjoint
Bernard Ezi IV d'Albret
Pierre de Joinville
Enfants

Mathe d'Albret
Isabelle d'Albret

Jeanne de Joinville
Béatrix de Joinville
Maud de Joinville
Autres informations
Grands-Parents
Héritier
Armoiries de Jeanne de la Marche
dite de Joinville

Jeanne de la Marche[1] ou Jeanne de Lusignan[2] (v. 1263- v. 1323), dame de Couhé et de Peyrat, est une aristocrate poitevine de la maison de Lusignan. Elle porte également le nom de Jeanne de Joinville sur son sceau et contre-sceau[3],[4],[5],[6],[7].

Jeanne est une fille cadette d'Hugues XII de Lusignan (av. 1241-ap.) comte de la Marche, d'Angoulême, seigneur de Lusignan (1250-1270) et de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273), dame de Fougères et de Porhoët suo jure[8] (1256-ap. 1273).

Jeanne a deux frères et trois sœurs : Hugues XIII le Brun (1259-1303), qui succède à leur père comme comte de la Marche et d'Angoulême (1270-1303), Yolande (1257-1314), Marie (v. 1265-ap.1312) comtesse de Sancerre, et Isabelle (v. 1267-1323) moniale à l'abbaye royale de Fontevraud et Guy (v. 1269-1308), dernier seigneur de Lusignan de la ligné.

Anthroponyme

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Elle porte le prénom de sa mère, Jeanne de Fougères.

Perte des possessions mélusines

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En 1308, à la mort de leur frère Guy Ier de Lusignan, Jeanne et sa sœur Yolande deviennent cohéritières des comtés de la Marche et d'Angoulême. En , les deux sœurs sont obligées de céder ces deux territoires au roi de France, Philippe IV le Bel, avec abandon des droits. En retour, le , il est convenu qu'au décès de son oncle Guy de la Marche[9], Jeanne héritera à titre héréditaire des seigneuries et châteaux de Couhé et de Peyrat. De plus, elle se voit remettre la somme de 1 000 livres tournois de la part du roi[10],[11],[12]. Philippe IV le Bel donne plus tard le comté de la Marche en apanage à son fils, le futur roi de France, Charles IV le Bel.

Jeanne de Lusignan meurt un , probablement en 1323[13].

Mariages et descendance

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Jeanne se marie deux fois et devient successivement dame d'Albret (ap. 1275-1280), puis dame de Stanton Lacy (ap. 1280-av. 1292)[14].

Bernard Ez IV d'Albret

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Après 1275, Jeanne se marie d'abord à Bernard Ezi IV d'Albret[15] (v. 1260-), fils d'Amanieu VI d'Albret (♰ 1270), seigneur d'Albret, et de Mathe de Bordeaux, dont elle a deux filles[16] :

  • Mathe d'Albret (v. 1275-ap. 1283), dame d'Albret (1280-v. 1283).

Les morts successives de Mathe et d'Isabelle permettent à leur oncle, Amanieu VII d'Albret, de prendre le pouvoir sur toute la seigneurie d'Albret, sans que l'on connaisse les circonstances précises de cette mainmise[18].

Pierre de Joinville

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Veuve, Jeanne épouse en secondes noces, avant le , Pierre de Joinville (v. 1255-1292)[19],[20],[21],[22], fils de Geoffroy de Joinville, (1225/1233-), seigneur de Vaucouleurs[23], et de Mahaut de Lacy (v. 1230-1304).

Ils ont trois filles[24] :

Sceaux et armoiries

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Sceau [1309-1310]

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Avers : Navette, 45 × 30 mm[3],[31],[4],[32],[33],[6].

Description : Dame debout, légèrement de trois-quarts, sur un piédouche, portant une robe ample et longue et un manteau doublé de vair. Elle tient l'attache de son manteau de la main droite et porte un faucon de la gauche. À sa droite, un écu à trois broyes au chef chargé d'un lion issant (Joinville) ; à sa gauche, un écu burelé de quatorze pièces (Lusignan), le tout sur champ de feuillages.

Légende : …GILLVM IOH..NE DE GEYNV…

Légende transcrite : Sigillum Johanne de Geynville

Contre-sceau : Rond, 20 mm[3],[34],[5],[32],[33],[7].

Description : Écu parti de trois broyes au chef chargé d'un lion issant (Joinville) et burelé de quinze pièces (Lusignan).

Légende : ✠ S'IOHANNE DE GEYNVILE

Légende transcrite : Secretum Johanne de Geynville

Armoiries [1309-1310]

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Blason Blasonnement :
Écu d'azur portant trois broyes d'or en fasce sous un chef d’argent chargé d’un lion issant de gueules
Commentaires : Armoiries de Jeanne de Joinville, d'après les empreintes d'un sceau entre 1309 et 1310.

Références[3],[31],[4],[32],[33],[6]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de quatorze pièces
Commentaires : Armoiries de Jeanne de Joinville, d'après les empreintes d'un sceau entre 1309 et 1310.

Références[3],[31],[4],[32],[33],[6]

Blason Blasonnement :
Écu mi-parti d'azur à trois broyes d'or au chef d’argent chargé d’un lion issant de gueules, et burelé d'argent et d'azur de seize pièces
Commentaires : Armoiries de Jeanne de Joinville, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1309 et 1310.

Références[3],[34],[5],[33],[7]

Notes et références

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  1. Nom dans les chartes : Johanna de Marchia (1310) & (1313).
  2. Nom figurant dans l'Obituaire de Fontevraud : Johanna de Lugenien.
  3. a b c d e et f Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13 & 13 bis, p. 77
  4. a b c et d Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 850 : Jeanne de la Marche, Sœur de Guyard, comte de la Marche (1309), p. 400
  5. a b et c Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 850 bis : Jeanne de la Marche, Sœur de Guyard, comte de la Marche (1309) / contre-sceau, p. 400
  6. a b c et d SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne de La Marche - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  7. a b et c SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne de La Marche - Contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  8. de son propre droit.
  9. Guy de la Marche (v. 1243-août 1310/août 1311), seigneur de Couhé et de Peyrat ; fils d'Hugues XI le Brun (v. 1221-1250) et de Yolande de Dreux (1218-1272).
  10. Comtes de la Marche (Lusignan) (éd. Jean de Cessac) (parchemin, copie du XIXe siècle, d'après original (AN, J//407, no 15)), Limoges, Archives départementales de la Haute-Vienne, coll. « 5 F : Fonds Auguste Bosvieux [1852-1871], Inventaire sommaire / H4 » (no 32), (présentation en ligne)
    1310, 18 Janvier, Paris, sacristie du couvent des Augustins : Jeanne de la Marche, soeur de Guy, comte de la Marche et d'Angoulême, était en conflit avec le roi de France, Philippe [IV le Bel], car elle avait demandé à être admise à l'hommage pour le tiers des comtés de la Marche et d'Angoulême et de la baronnie de Lusignan. Le procureur du roi soutenait au contraire que ces terres appartenaient au roi par confiscation en raison des dettes de 300 000 livres tournois qui pesaient sur le comte, à cause de la donation faite au roi par Hugues [XIII] de la ville d'Angoulême et des châtellenies de Cognac et de Merpins dans le codicille de son testament avant de mourir, que Guy avait dissimulé et brûlé et en raison du crime de lèse-majesté et des autres méfaits commis par ce dernier contre le roi et son royaume comme l'ont attesté plusieurs témoins. Jeanne abandonne donc ses droits sur l'héritage de son frère en échange des châtellenies de Couhé et de Peyrat que le roi promet de lui remettre à titre héréditaire dès la mort de son oncle, Guy de la Marche, seigneur de Couhé et Peyrat, et d'une somme de 1000 livres tournois. Elle devra faire hommage au roi des châteaux et châtellenies et si elle décide de les vendre, le roi aura un droit de préemption.
  11. George W. Watson, « The families of Lacy, Geneva, Joinville and La Marche », The Genealogist, New Series, vol. 21,‎ , p. 237-240. (lire en ligne [PDF])
  12. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 52 (« La succession de Guy de Lusignan, comte de la Marche (1308-1316). »), p. 211.
  13. chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in diœcesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiæ chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (2)), (lire en ligne), « Obituaire de Fontevraud », fo 107
  14. George W. Watson, « The families of Lacy, Geneva, Joinville and La Marche », The Genealogist, New Series, vol. 21,‎ , p. 241-242 (lire en ligne [PDF])
  15. Les deux époux descendent de Guillaume VI Taillefer (♰ 1179), comte d'Angoulême (5e degré de parenté).
  16. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 55 (« Le bouclage consanguin Lusignan-Albret »), p. 214
  17. Jean Bernard Marquette, Les Albret : L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle-1360), Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), (présentation en ligne), p. 75
  18. Jean Bernard Marquette, Les Albret : L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle-1360), Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), (présentation en ligne), p. 135
  19. Hugh [de Lusignan] XIII, le Brun, count of La Marche and Angoulême, to Edward I : the proposed marriage of Peter de Geneville and Joan his sister (manuscrit français, original du XIIIe siècle), Kew, The National Archives, coll. « Ancient Correspondence of the Chancery and the Exchequer / SC 1/19/96 », 1283-1284 (présentation en ligne) :

    « A son trez excellent segnor, mon sengnor Eddoart, par la grace de Deu, rey Dengleterre, sire de Yllanie et duc Daquitaine, Hugues Lebrun, conte de la Marche e Dengolseme, sire de Fougeres, saluz e toute maniere et […] appareille a toute sa volente. A voustre excellence a nous tres chiere savons […] que noble home, [mon] sor Gieffrey de Gienville, est venuz a nous e nous a requis et fait requerir Johanne, nostre [soror, feme] jadus feu Bernart, segnor de Lebret, por reson de mariage a mon sor Pierre, son fils, laq[el chose] nous avon volu occiier sanz voustre volente, mes chier sire, s'il vous plest entendre, […] vous i veizzez leprou de la damoyselle a nos plest que vous de ce faire […] volente laquelle nos somes appareillz, ce faire et de […] en totes choses. [Nostre sire vous gart.] »

    1283-1284 : Hugues [XIII] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême et seigneur de Fougères, écrit au roi d'Angleterre, Édouard [Ier], qu'il a reçu Geoffroy de Joinville, seigneur de Vaucouleurs, qui a demandé en mariage sa sœur, [Jeanne de Lusignan], veuve de Bernard Ez [IV] d'Albret pour son fils Pierre. Il n'a pas voulu prendre de décision sans consulter le roi.
  20. Guy de Lusignan, lord of Cognac, to Edward I : he advises against the marraige of Peter de Geneville and the daughter of the count of La Marche (manuscrit français, original du XIIIe siècle), Kew, The National Archives, coll. « Ancient Correspondence of the Chancery and the Exchequer / SC 1/19/81 », 1283-1284 (présentation en ligne) :

    « A son tres excellent segnor, mon sor Oddoart, par la grayce de Deu, rey [Dengle]terre, sire de Illande e duc de Aquienne, Guy de Lezignan, seygnor de Fere et de Cohec, saluz e lui toziorz appareille a sez bons plesirs […]ine mon sor Geffrey de Gyenville, requierge nostre chiere niepce, damoiselle Jehanne, soror nostre chier neveu le conte de la Marche por reson de mariage a mon sor Pierre son filz, laquel chose nous ne noz autres amis per de ça li avon volu occiier sanz voustre volente, mes sire s'il vous pleseit entendre ceste chose e vous i ententendissez le prou a la damoyselle sire nos e les autrs en ferons e tendrions ce que vous en plereit a ordener e voustre volenté en totes. Nostre sire vous gart. »

    1283-1284 : Guy de Lusignan, seigneur de la Fère-en-Tardenois et de Couhé, écrit au roi d'Angleterre, Édouard [Ier], que Geoffroy de Joinville, seigneur de Vaucouleurs, ayant demandé en mariage sa nièce, Jeanne [de Lusignan], veuve de Bernard Ez [IV] d'Albret pour son fils Pierre, ni lui, ni ses amis n'ont voulu prendre de décision sans consulter le roi.
  21. Guy de Lusignan, lord of Cognac, to Edward I : he advises against the marriage of Peter de Geneville and the daughter of the count of La Marche (manuscrit français, original du XIIIe siècle), Kew, The National Archives, coll. « Ancient Correspondence of the Chancery and the Exchequer / SC 1/19/82 », 1283-1284 (présentation en ligne) :

    « A son tres excellent segnor, mon sor Oddoart, par l[a grayce de Deu, rey de] Englet[erre, sire de Illande e duc] de Aquitenne, Guy de Lezignan, seygnor de Compnac et de Archiac [… saluz e lui toziorz appareille a sez bons] plesirs. Tres chier sire, come mon sor Geffrey de Gienvill, requierge nostre chiere [niepce] Johanne de la Marche, soror nostre chier neveu le conte por reson de mariage [a mon sor] Pierre son filz, laquel chose nous ne noz este […] mes [sire] s'il vous pleseit entendre a ceste chose e vous i ententendissez le prou a la damoisel[le …] volente a laquelle nos somes prez de obeir en totes choses. Nostre sire gart […] »

    1283-1284 : Guy de Lusignan, seigneur de Cognac et d'Archiac, écrit au roi d'Angleterre, Édouard [Ier], que Geoffroy de Joinville, seigneur de Vaucouleurs, ayant demandé en mariage sa petite-nièce, Jeanne [de Lusignan], veuve de Bernard Ez [IV] d'Albret pour son fils Pierre, il n'a pas voulu prendre de décision sans consulter le roi.
  22. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 59 (« Le mariage de Jeanne de Lusignan avec Pierre de Joinville : une décision collective (1283-1284) »), p. 218
  23. Henri-François Delaborde, « Un frère de Joinville au service de l'Angleterre : Geoffroy, sire de Vaucouleurs », Bibliothèque de l'École des chartes, no 54,‎ , p. 334-343 (lire en ligne)
  24. Henri-François Delaborde, « Un frère de Joinville au service de l'Angleterre : Geoffroy, sire de Vaucouleurs », Bibliothèque de l'École des chartes, no 54,‎ , p. 340-341 (lire en ligne)
  25. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Chatellenie de Couhé - Geoffroy de Morthemer, seigneur de Couhé - sceau aux contrats », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  26. Auguste-François Lièvre, Notes sur Couhé et ses environs, Niort, Clouzot, (lire en ligne), Seigneurs, « Mortemer », p. 50-51
  27. Marcel Fouché, « Les Seigneurs de Mortemer au Moyen-Age », Bulletin de la Société des antiquaires de l'Ouest et des musées de Poitiers, 4e série, vol. VIII,‎ 3e trim. 1966, p. 502 (lire en ligne)
  28. Marcel Fouché, « Les Seigneurs de Mortemer au Moyen-Age », Bulletin de la Société des antiquaires de l'Ouest et des musées de Poitiers, 4e série, vol. VIII,‎ 3e trim. 1966, p. 514 (lire en ligne)
  29. José Enrique Ruiz Doménec, « Système de parenté et théorie de l’alliance dans la société catalane (environ 1000-environ 1240) », Revue Historique, no 262,‎ , p. 305-326 (lire en ligne Accès payant [PDF])
    José Enrique Ruiz Doménec propose de substituer à la notion généalogique de branche cadette le concept de « sous-lignage » : issu d'une souche principale qui en encadre les membres, il est toujours prêt à combattre à son service.
  30. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 19 (« Les sous-lignages d'Angles et de Lezay »), p. 178
    Issu de Simon Ier le Brun (v. 1110-v. 1181), fils d'Hugues VII de Lusignan (v. 1060-v. 1148).
  31. a b et c Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13, pl. IV
  32. a b c et d Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 453, p. 226 & pl. XVI
  33. a b c d et e Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. X (« Filles / Jeanne de Lusignan / sceau [1310] »), p. 348-350
  34. a et b Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13 bis, pl. IV

Sources et bibliographie

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Sources sigillographiques

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Bibliographie

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  • Jean Bernard Marquette, Les Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle-1360), Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), 2010, 702 p. [présentation en ligne]
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : Structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]
  • George W. Watson, « The families of Lacy, Geneva, Joinville and La Marche », The Genealogist, New Series, vol. 21, 1905, p. 73-82, 163-172 et 234-243. [lire en ligne]

Articles connexes

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