Judith (film) — Wikipédia
Réalisation | Daniel Mann |
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Scénario | John Michael Hayes Lawrence Durrell |
Acteurs principaux | |
Pays de production | États-Unis Royaume-Uni Israël |
Genre | Film dramatique |
Sortie | 1966 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Judith est un film américano-britannico-israélien réalisé par Daniel Mann, sorti en 1966.
Synopsis
[modifier | modifier le code]En 1947 Judith débarque clandestinement en Palestine, sous mandat britannique, pour retrouver son ex-mari Gustav Schiller, qui l'a autrefois dénoncée aux nazis comme juive. Celui-ci se trouverait en Syrie. Accueillie dans un kibboutz par Aaron Stein, Judith est ivre de vengeance. Mais elle éprouve également une certaine admiration pour Aaron et l'aide un soir à distraire l'attention des officiers anglais, chargés d'empêcher l'arrivée de nouveaux émigrants. C'est ainsi qu'elle met la main sur un dossier concernant son ancien époux. Celui-ci serait devenu formateur dans l'armée syrienne...
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre français : Judith
- Réalisation : Daniel Mann
- Scénario : John Michael Hayes et Lawrence Durrell
- Photographie : John Wilcox
- Musique : Sol Kaplan
- Montage : Peter Taylor
- Pays d'origine : États-Unis | Royaume-Uni | Israël
- Format : Couleurs - 2,35:1 - Mono
- Genre : drame
- Date de sortie : 1966
Distribution
[modifier | modifier le code]- Sophia Loren (VF : Jacqueline Carrel) : Judith Auerbach
- Peter Finch (VF : René Arrieu) : Aaron Stein
- Jack Hawkins (VF : Jean-Henri Chambois) : Major Lawton
- Hans Verner (VF : lui-même) : Gustav Schiller
- Frank Wolff (VF : William Sabatier) : Eli
- André Morell (VF : Louis Arbessier) : Haim
- Zaharira Harifai (VF : Nathalie Nerval) : Dr. Rachel
- Arnoldo Foà (VF: Michel Gatineau) : Interrogateur
- Peter Burton : Conklin
- Terence Alexander : Carstairs
- Zipora Peled (VF : Renée Simonot) : Hanna
- Daniel Ocko (VF : Henri Djanik) : Le guide
- Roland Bartrop : Officier de la Haganah
Réception critique
[modifier | modifier le code]Pour Jean de Baroncelli, « Daniel Mann a fait honnêtement son métier. Les paysages de Palestine sont bien photographiés, la couleur locale est respectée, l'atmosphère des premiers " kibboutz " semble fidèlement reconstituée », mais « Pas une seconde nous ne croyons à la réalité de ces faits, à l'authenticité de ces personnages. »[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :