Julien Lagarrue — Wikipédia
Julien Lagarrue
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Julien Lagarrue, né le à Rochefort et mort pour la France le à Thessalonique[1], est un officier français des troupes coloniales.
Biographie
[modifier | modifier le code]En service au Tonkin (2e régiment de tirailleurs tonkinois[2]) et intéressé par la sinologie, il pousse à la création des tirailleurs chinois en 1899[3] et rédige également un dictionnaire français-cantonais[4]. Il reçoit le commandement du bataillon de tirailleurs chinois de 1902 à 1905[3].
En 1910-1911, il est commandant militaire de la colonie de Côte d'Ivoire[5].
Références
[modifier | modifier le code]- « Julien LAGARRUE », sur Mémoire des hommes (consulté le )
- Joseph Gallieni, Trois Colonnes au Tonkin (1894-1895), Paris, Librairie Chapelot, (lire en ligne), p. 14, 16, 25-26
- Maurice Rives et Éric Deroo, Les Lính tập: histoire des militaires indochinois au service de la France, 1859-1960, Lavauzelle, (ISBN 978-2-7025-0436-9, présentation en ligne), p. 39
- Edouard Huber, « Lagarrue : Eléments de langue chinoise : dialecte cantonnais », Bulletin de l'École française d'Extrême-Orient, vol. 1, no 1, , p. 265–266 (lire en ligne, consulté le )
- Fabio Viti, « Les massacres de Diapé et de Makoundié (Côte-d'Ivoire, juin 1910) », Cahiers d’études africaines, no 225, , p. 59–88 (ISSN 0008-0055, DOI 10.4000/etudesafricaines.20564, lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressource relative aux militaires :
- Ressource relative à la vie publique :