Léon Renault — Wikipédia
Léon Renault | |
Fonctions | |
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Sénateur français | |
– (8 ans, 11 mois et 12 jours) | |
Circonscription | Alpes-Maritimes |
Député français | |
– (2 ans, 11 mois et 10 jours) | |
Élection | 26 février 1882 |
Circonscription | Alpes-Maritimes |
Législature | IIIe (Troisième République) |
Groupe politique | Centre gauche |
Prédécesseur | Léon Chiris |
Successeur | Circonscription supprimée |
– (5 ans, 7 mois et 18 jours) | |
Élection | 20 février 1876 |
Réélection | 14 octobre 1877 |
Circonscription | Seine-et-Oise |
Législature | Ire et IIe (Troisième République) |
Groupe politique | Centre gauche |
Prédécesseur | Circonscription créée |
Successeur | Paul Remoiville |
Préfet de police de Paris | |
– (4 ans, 3 mois et 20 jours) | |
Prédécesseur | Louis Ernest Valentin |
Successeur | Félix Voisin |
Conseiller général des Alpes-Maritimes | |
– (6 ans) | |
Circonscription | Canton de Cagnes-sur-Mer-Ouest |
Prédécesseur | Hippolyte Guis |
Successeur | Antoine Maurel |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Maisons-Alfort |
Date de décès | (à 93 ans) |
Lieu de décès | 17e arrondissement de Paris |
Nationalité | France |
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Léon Renault était un homme politique français né à Maisons-Alfort (Seine) le et mort le . Il a été député de la Troisième République.
Biographie
[modifier | modifier le code]Léon Renault était le fils d'Eugène Renault, vétérinaire, directeur de l'École vétérinaire de Maisons-Alfort.
Docteur en droit de l'Université de Paris, avocat et républicain modéré, il est nommé préfet du Loiret (1871) puis préfet de police (1871-1876).
Élu député dans la circonscription de Corbeil en , il siège au Centre gauche et il est signataire, lors de la crise politique de mai 1877, du manifeste des 363. Réélu en , il est cependant battu en .
Il se présente alors dans la circonscription de Grasse, en , et remporte les élections. Il devient ensuite sénateur des Alpes-Maritimes, en , mais ne se représente pas en 1894.
Il a été également conseiller général du canton de Cagnes-sur-Mer-Ouest (1883-1889).
Il est fait chevalier de la Légion d'honneur (1873), officier en 1875.
Dans les années 1880, il demeure au 8 de la rue Murillo à Paris, près du parc Monceau[1].
- No 8, rue Murillo.
- No 8 : entrée.
Mandats
[modifier | modifier le code]- Député de la Seine : 1876-1881
- Député des Alpes-Maritimes : 1882-1885
- Conseiller général des Alpes-Maritimes : 1883-1889
- Sénateur des Alpes-Maritimes : 1885-1894
Notes et références
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacques Basso, Les élections législatives dans le département des Alpes-Maritimes de 1860 à 1939, Paris, LGDJ, 1968
- « Léon Renault », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
- « Léon Renault », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Liens externes
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- Ressources relatives à la vie publique :