La Fin du cheval — Wikipédia
La Fin du cheval | |
Couverture en relief de la première édition | |
Auteur | Pierre Giffard |
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Pays | France |
Genre | Essai |
Éditeur | A. Colin |
Date de parution | |
Illustrateur | Albert Robida |
Couverture | Albert Robida |
Nombre de pages | 238 |
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La Fin du cheval est un essai historique de Pierre Giffard, illustré par Albert Robida et paru en 1899. Il évoque la disparition de la traction hippomobile à l'époque où les progrès techniques, économiques et sociaux entraînent la perte de toute légitimité accordée au cheval en tant que moyen de transport. L'essai fait le point sur l'avancée des techniques de la locomotive, de la bicyclette et de l’automobile, et rend compte du déclin de l'utilisation du cheval jusque dans les campagnes. Il se révèle assez nostalgique de l'univers de sensations et de gestes qui forme le quotidien du travail avec le cheval. La sortie de cet ouvrage entraîne de fortes réactions politiques en raison de la concurrence entre le comte de Dion et Henri Desgrange. Les prétentions politiques de Giffard à la députation sont bloquées par la sortie de son livre.
Réédition
[modifier | modifier le code]L'ouvrage a été réédité aux presses universitaires de Valenciennes en 2015, avec une préface de Georges Vigarello[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « La fin du cheval », sur www.lcdpu.fr (consulté le )
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [Giffard 2015] Pierre Giffard (préf. Georges Vigarello, ill. Albert Robida), La fin du cheval, vol. 2 de Transports & Mobilités, Valenciennes, Presses Universitaires de Valenciennes, , 240 p. (ISBN 978-2-36424-029-2 et 2-36424-029-8)