Sardent — Wikipédia

Sardent
Sardent
Balustrade sculptée représentant le nom de la commune
Blason de Sardent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Thierry Gaillard
2020-2026
Code postal 23250
Code commune 23168
Démographie
Gentilé Sardentais, Sardentaises
Population
municipale
757 hab. (2021 en évolution de −3,32 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 00″ nord, 1° 51′ 18″ est
Altitude Min. 455 m
Max. 679 ou 680 m
Superficie 41,11 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ahun
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Sardent
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Sardent
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Sardent
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Sardent
Liens
Site web http://www.sardent23.fr/

Sardent est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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L'étang de Masmangeas.

Dans la moitié ouest du département de la Creuse, la commune de Sardent est incluse dans l'aire urbaine de Guéret[1] et s'étend sur 41,11 km2. Elle est arrosée au nord sur environ quatre kilomètres par la Gartempe, et parsemée de plusieurs étangs importants (les Brandes, Marque, Masmangeas, Masrivet).

L'altitude minimale, 455 mètres, se trouve localisée au sud du lieu-dit Marque, là où le ruisseau de Marque quitte la commune et entre sur celle de Thauron. L'altitude maximale avec 679[2] ou 680 mètres est située à l'ouest, au sud du lieu-dit le Mathubert[Note 1].

À l'intersection des routes départementales (RD) 34a3 et 50, le bourg de Sardent est situé, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres au sud de la préfecture Guéret.

La commune est également desservie par les RD 33, 34, 34a2 et 60, ainsi que par la RD 940a (l'ancienne route nationale 140), qui traverse l'ouest du territoire sur deux kilomètres. Un nouveau tronçon, la RD 940, traverse le territoire communal du nord au sud sur neuf kilomètres, passant juste à l'est du bourg.

Communes limitrophes

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Carte de Sardent et des communes avoisinantes.

Sardent est limitrophe de dix autres communes, dont Peyrabout au nord-est sur environ 500 mètres.

Villages et hameaux

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Outre le bourg de Sardent proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux[3] :

  • Bassegeas
  • les Caurades
  • les Chabannes
  • la Chaise
  • la Chassoule
  • les Chatrelles
  • la Chaumette
  • la Cheminade
  • les Chiers
  • le Chironceau
  • Cœurgne
  • Colombourg
  • le Condrot
  • les Couteilles
  • la Crouzetière
  • la Fay au Bost
  • la Feyte
  • Fontarade
  • le Grand Blessac
  • le Grand Chiroux
  • la Jarrige
  • Maisonniaux
  • Marque
  • le Masbolle
  • Masmangeas
  • le Masriche
  • le Masrivet
  • le Mathubert
  • le Mazeau
  • le Mazelet
  • le Mondoueix
  • le Mont de Sardent
  • le Monteil
  • la Mouline
  • Nouallet
  • le Petit Blessac
  • le Petit Chiroux
  • le Pradeau
  • les Quatre Viats
  • la Rebeyrolle
  • la Ribière Jalade
  • la Ronze
  • la Royère
  • Secondat
  • Seilloux
  • Teillaucher
  • le Thouraud
  • Tressagne
  • la Vergne
  • Villechadeau
  • Villejaleix
  • Villevegoux

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 115 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontarion à 5,74 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Sardent est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,9 %), prairies (30,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), zones urbanisées (1,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sardent est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sardent.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 574 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 67 sont en aléa moyen ou fort, soit 12 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sardent est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Dans les premières années de la Révolution, la commune de La Royère fusionne avec Sardent[21].

Des années 1920 aux années 1960, le village a été marqué par une importante immigration de tailleurs de pierre italiens, fuyant le fascisme et s'installant ici pour y exploiter le granit dont on faisait les bordures de trottoirs et les pavés utilisés dans les villes[22].

Les Hospitaliers

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Sardent fut une paroisse des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dépendante de la commanderie de Maisonnisses et du grand prieuré d'Auvergne. Le commandeur de Maisonnisses y était seigneur avec le droit de mainmorte et dîmier général sur certains villages de la paroisse[23].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    François Rioublant   Notaire
         
1871 1872 Laurent Ganivot    
1900 1900 Pierre Graule    
mai 1900 1907 Arsène Guittard    
fév 1907 1912 Léonard Soumy    
avr 1912 1917 Jean Pasquet    
déc 1917 1925 Eugène Cassier    
mai 1925 septembre 1935 Alphonse Vincent[Note 3] SFIO Médecin
Conseiller général du canton de Pontarion (1925-1935)
octobre 1935 1959 Amédée Peyrot   Conseiller général du canton de Pontarion (1935-1940 et 1945-1951)
mars 1959 novembre 1975 Georges Mercier[Note 3] PRV Conseiller général du canton de Pontarion (1958-1975)
novembre 1975 mars 1977 Georges Aufaure    
mars 1977 mars 2001 Claude Chazeirat PS Conseiller général du canton de Pontarion (1976-1994)
mars 2001 mars 2003 René Baterosse PCF  
mars 2003 mars 2006 Jean-Pierre Decressin DVG  
mars 2006 En cours Thierry Gaillard DVD-LR Conseiller départemental du canton d'Ahun (depuis 2015)
Premier vice-président du Conseil départemental (depuis 2019)

Après les élections départementales de , Thierry Gaillard a été élu conseiller départemental, en binôme avec Catherine Defemme, et a été ensuite élu huitième vice-président chargé de l'environnement, eau, assainissement et gestion des déchets.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 757 habitants[Note 4], en évolution de −3,32 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6041 6511 4501 4771 8962 1462 2852 5062 507
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6102 4182 4272 5262 4462 3132 4042 3122 337
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2742 1952 0231 6551 5561 5411 5021 3161 178
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1191 0851 047944845801835838785
2015 2020 2021 - - - - - -
783760757------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Voir aussi le site des archives départementales de la Creuse[Note 5].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Martin, du début du XIIe siècle alors que ses chapelles sont postérieures, conserve toujours plusieurs croix et un reliquaire en cuivre émaillé et doré, des XIIe et XIXe siècles. L'édifice est inscrit partiellement en 1926 au titre des monuments historiques pour son portail méridional, puis en totalité en 2018[27].
  • En bordure de la place de l'église, la balustrade en pur granite creusois est sculptée en forme de lettres composant le nom « SARDENT ».
  • Sur cette même place se trouve un grand monument érigé en 1937 grâce à une souscription populaire pour rendre hommage au docteur Alphonse Vincent (1880-1935), surnommé « le médecin des Pauvres » en raison de son dévouement et de sa générosité. Ce monument est l'œuvre du sculpteur Évariste Jonchère (1892-1956). La triple masse de granite qui le constitue est surmontée d'un buste en bronze, accompagné de deux bas-reliefs latéraux également en bronze. En 1942 sous le régime de Vichy, le buste est déboulonné et fondu dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux, destinée à soutenir l'industrie de guerre allemande. Les deux bas-reliefs avaient été respectés. En , une réplique du buste (refondue à partir du plâtre original que le sculpteur avait donné à la veuve du docteur Vincent) a été remise en place au cours d'une importante cérémonie. Le plâtre se trouve depuis cette époque en mairie de Sardent.
  • La chapelle de Saint-Pardoux, érigée en 1870 sur le mont de Sardent où se recueillait l'ermite saint Pardoux, donne lieu à un pèlerinage à la Pentecôte[28], tous les sept ans.
  • L'espace culturel Claude-Chabrol a été inauguré en 2015[29].
  • Le café « Chez Bichette », établi au cœur du village, a fermé début  ; les causes de sa fermeture sont explicitées dans un article du quotidien Libération[30] et sont symptomatiques de la désertification des campagnes françaises.

Personnalités liées à la commune

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  • Saint Pardoux (vers 657-vers 737) y est né et y a vécu en ermite[28] avant que le comte Lantarius lui demande de fonder un monastère autour duquel s'établira ce qui deviendra la ville de Guéret[31].
  • Eugène Jamot (1879-1937), médecin militaire rendu célèbre par la lutte qu'il mena pendant 27 ans en Afrique centrale contre la maladie du sommeil (ou trypanosomiase africaine). Il exerça brièvement à Sardent de 1908 à 1910, puis revint s'y installer en 1936. Il fut contraint à ce retour après la survenue de graves accidents thérapeutiques dans la région de Bafia au Cameroun, où près de 700 Africains étaient devenus aveugles à la suite d'un traitement mal appliqué par l'un de ses adjoints. Il est décédé à Sardent d'un accident vasculaire cérébral le .
  • Jean-Louis Dumet (1907-1966), homme politique, né à Sardent.
  • Claude Chabrol (1930-2010), metteur en scène, sardentais d'origine, tourna son premier film Le Beau Serge dans la commune.
  • Francis Girod (1944-2006), metteur en scène, a tourné le film L'Oncle de Russie dans la commune.

Héraldique

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Blason de Sardent Blason
De sinople au chevron ondé d'argent accompagné de deux pics de carrier d'or, celui de dextre posé en barre et celui de senestre posé en bande et en pointe d'une tête de cheval du même[32].
Détails
Création Jean-François Binon, adoptée en 2014.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 679 mètres sur la carte et 680 sur son ancien site.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. a et b Décédé en fonctions.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Le site des archives départementales de la Creuse, section recherches généalogiques
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Aire urbaine de Guéret (190), Insee, consulté le 22 décembre 2018.
  2. « 679 » sur Géoportail (consulté le 22 décembre 2018)..
  3. « Sardent » sur Géoportail (consulté le 22 décembre 2018)..
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Sardent et Pontarion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sardent », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sardent », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Jean Métégnier, Ernesto Timor et Estelle Coquin, Cogner le granit - Italiens tailleurs de pierre en Creuse, Limoges, Les Ardents Éditeurs, 2015, (ISBN 978-2-917032-61-9).
  23. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 117, lire en ligne sur Gallica
    Contrairement aux paroisses de Lépinas, Maissonnisses, Peyrabout et Savennes où les Hospitaliers percevaient la dîme dans son intégralité.
    .
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Notice no PA00100198, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 février 2022.
  28. a et b Sardent : pèlerinage à saint Pardoux, Paroisse Saint-Pardoux, consultée le 23 décembre 2018.
  29. La famille de Claude Chabrol (1930-2010) était présente mardi pour l'inauguration de l'espace culturel de Sardent.
  30. Tristan Berteloot (photogr. Ed Alcock), « Jean-Paul Peyrot, allez, on ferme ! » [html], sur liberation.fr, Libération, .
  31. http://membres.multimania.fr/sardent/chapelle.htm
  32. « 23168 Sardent (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).