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DeutschLaurent Kurth — Wikipédia
| Laurent Kurth | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Conseiller d'État du canton de Neuchâtel | |
| – (quatre mandats) | |
| Département | Finances et santé |
| Prédécesseur | Jean Studer |
| Successeur | Frédéric Mairy |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Nationalité | suisse |
| Parti politique | Parti socialiste |
| Diplômé de | Université de Neuchâtel |
| Profession | Enseignant Collaborateur scientifique Économiste |
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Laurent Kurth, né le à La Chaux-de-Fonds (originaire de Rütschelen), est une personnalité politique suisse, membre du Parti socialiste.
Biographie
[modifier | modifier le code]Laurent Kurth naît le à La Chaux-de-Fonds[1]. Il est originaire de Rütschelen, dans le canton de Berne[2]. Il a deux sœurs. Leur père est enseignant ; leur mère, secrétaire[3].
Il grandit à La Chaux-de-Fonds[3]. Après une licence en économie à l'Université de Neuchâtel obtenue en 1991[1], il devient successivement enseignant et formateur d'adultes, collaborateur scientifique puis chef du service de l'emploi du canton de Neuchâtel[2] de 1994 à 2004[1].
Il est en couple et vit à La Chaux-de-Fonds[2].
Parcours politique
[modifier | modifier le code]Il adhère en 1993 au Parti socialiste[1].
Il se lance en politique à la Chaux-de-Fonds en 2000 en entrant au Conseil général. Quatre ans plus tard, il passe à l'exécutif communal, lors de la première élection du Conseil Communal par le peuple. Il y passe 8 ans[4].
Le , il est élu au Conseil d'État du canton de Neuchâtel, succédant à Jean Studer, démissionnaire[5]. Il est réélu le , devenant ainsi le doyen de fonction à ce poste. Il prend en charge le nouveau département des finances et de la santé[6]. Il préside le gouvernement de juin 2022 à mai 2023[2].
En 2017, le peuple refuse son projet de concentration des soins hospitaliers aigus dans le bas du canton de Neuchâtel. Lors de la pandémie de COVID-19, il préside la Conférence latine des affaires sanitaires et sociales, ce qui lui donne une visibilité nationale[7].
Il annonce le sa démission pour la fin février 2024[8].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Léo Bysaeth, « Laurent Kurth vise le château », L'Impartial, , p. 5 (lire en ligne)
- « Laurent Kurth - République et canton de Neuchâtel », sur www.ne.ch (consulté le )
- « Sur les pas de Laurent Kurth - Une jeunesse contestataire, en rediffusion », sur rts.ch, (consulté le )
- « Ville de La Chaux-de-Fonds », sur chaux-de-fonds.ch (consulté le ).
- ats, « Canton de Neuchâtel: Laurent Kurth élu au Conseil d’État neuchâtelois », Le Matin Bleu, (lire en ligne, consulté le ).
- « Législature 2013-2017: répartition et réorganisation des départements », sur ne.ch (consulté le )
- Yan Pauchard, « « C’est sans doute la fin de ma carrière politique » », Le Temps, , p. 7 (ISSN 1423-3967, lire en ligne
, consulté le ) - « Le conseiller d'État neuchâtelois Laurent Kurth présente sa démission », sur rts.ch, (consulté le )
