Lavaufranche — Wikipédia
Lavaufranche | |||||
Commanderie hospitalière du XIIe siècle. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Creuse Confluence | ||||
Maire Mandat | Patrice Orsal 2020-2026 | ||||
Code postal | 23600 | ||||
Code commune | 23104 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lavaufranchais, Lavaufranchaises | ||||
Population municipale | 240 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 19′ 17″ nord, 2° 16′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 375 m Max. 485 m | ||||
Superficie | 16,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Boussac | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Creuse Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
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Lavaufranche est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est à 3,6 km de Soumans[1], 5,4 de Leyrat et 8 de Bord-Saint-Gorges.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- Carte de l'occupation des sols de Lavaufranche sur le Géoportail de l'ARB Nouvelle-Aquitaine : Entités paysagères:
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité 2 faible.
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau traversant la commune :
- La Petite Creuse[2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boussac à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 896,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lavaufranche est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,9 %), zones agricoles hétérogènes (39,4 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (1,3 %), terres arables (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lavaufranche est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 177 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 31 sont en aléa moyen ou fort, soit 18 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lavaufranche est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- D 7 vers Montebras.
- D 917 vers Soumans.
- D 67 vers Pradeau.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Réseau TransCreuse.
SNCF
[modifier | modifier le code]Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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L25 | FELLETIN/MONTLUÇON > GUÉRET > LIMOGES | ||||||||
Felletin/Montluçon ⥋ Limoges | |||||||||
Ouverture / Fermeture — / — | Longueur — | Durée — | Nb. d’arrêts 18 | Matériel TER / CAR | Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D | Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / O / N / O | Voy. / an — | Dépôt SNCF | |
Desserte :
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Autre : Circule toute l'année, même les jours fériés. |
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Creuse Confluence.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le bourg et la commanderie de Lavaufranche formaient une paroisse du diocèse de Limoges[20] jusqu'à la Révolution française[21].
Du point de vue administratif et de la justice, on se trouvait dans le bailliage d'Issoudun au sein de la province du Berry[22].
Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]La commanderie hospitalière datant des XIIe et XVe siècles, est de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie de Lavaufranche fut fondée vers 1180. Le donjon carré date probablement de cette époque, le reste des bâtiments du XVe siècle pour l'essentiel.
Dans la chapelle qui servait d'église paroissiale[23], on peut voir le tombeau du commandeur Jehan Grimau (mort vers 1480?) ainsi que de belles fresques du XVe siècle récemment mises au jour. Parmi les commandeurs de Lavaufranche, on trouve le nom de Guy de Blanchefort, qui devait devenir grand maître des Hospitaliers.
L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1963[23] ;
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 187 000 €, soit 770 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 161 000 €, soit 662 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 25 000 €, soit 105 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 49 000 €, soit 202 € par habitant ;
- endettement : 14 000 €, soit 58 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,24 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 35,50 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 46,45 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 440 €[25].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
- Élevage de vaches laitières.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Chambres d'hôtes, Hôtels à Boussac, Nouzerines, Saint-Palais, Mesples.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité à Préveranges, Boussac, Boussac-Bourg.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 1], en évolution de −3,61 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établisements d'enseignements[30] :
- École maternelle et primaire.
- Collèges à Boussac, Parsac-Rimondeix, Huriel, Châtelus-Malvaleix, Domérat.
- Lycées à Montluçon.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et services de santé[31] :
- Médecins à Huriel, Prémilhat, Domérat, a Chapelaude, Sainte-Sévère-sur-Indre, Saint-Désiré, Saint-Julien-la-Genète, Sannat, Montluçon.
- Pharmacies à Soumans, Huriel, Prémilhat, Domérat, La Chapelaude.
- Hôpitaux à Montluçon, Pouligny-Notre-Dame, Néris-les-Bains, Saint-Vaury.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Ste Croix des Deux Creuse[32], Diocèse de Limoges.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La commune de Lavaufranche a la particularité de ne posséder ni église ni cimetière alors que ce fut une paroisse jusqu'à la Révolution française[21].
- Gare de Lavaufranche[33].
- Ancienne Commanderie hospitalière du XIIe siècle[34].
- Monument aux morts[35] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - AFN-Algérie (1954-1962).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Léonard Judet, né le à Soumans, mort le à Lavaufranche, agriculteur et homme politique français.
- François Victor Judet, né le à Lavaufranche, mort le à Saint-Georges-Nigremont (Creuse), avocat et un homme politique français.
- George Sand situe certaines péripéties de son roman Jeanne (paru en 1844) dans les environs de Lavaufranche.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Distances
- La Petite Creuse
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Lavaufranche et Boussac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lavaufranche », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lavaufranche », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Michel Aubrun, L'ancien diocèse de Limoges des origines au milieu du XIe siècle., Presses Universitaires Blaise Pascal, , 468 p. (ISBN 978-2-8774-1020-5, présentation en ligne), p. 388.
- Poitou et Marteau 2000, p. 468.
- Poitou et Marteau 2000, p. 40.
- Notice no PA00100096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établisements d'enseignements
- Professionnels et services de santé
- Paroisse Ste Croix des Deux Creuse
- « Voie ferrée : ligne Tours-Montluçon », notice no IA18000238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancienne commanderie », notice no IA04001683, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Monument aux morts
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Christian Poitou et Isabelle Marteau, Creuse, vol. 23, coll. « Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique », , 865 p. (ISBN 978-2-2710-5761-7, présentation en ligne)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Lavaufranche, p. 668
- Françoise Mousson, « La commanderie de Lavaufranche », Revue d'Auvergne, t. 102, no 1, , p. 45-53 (présentation en ligne)
- Lavaufranche, sur geneawiki.com/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Creuse
- Communauté de communes Creuse Confluence
- Commanderie hospitalière
- Liste des communes de France sans église
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Lavaufranche sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région